Archive | 26 Mai 2011

LE CHRÉTIEN…

Il y avait, dans un village, que des protestants et seulement une personne chrétienne (cette personne est un peu maniaque. Il transporte sa tondeuse partout). Un jour, un protestant nommé Serge, alla voir le chrétien et lui dit subitement:

– Tu sais, dans quelques heures, le Pape fera une escale dans notre village. Il faudra te préparer à 3 questions qu’il te posera. Elles sont très simples.

– D’accord, dit l’homme.

– Première question: Comment se nomme le Christ?

– Euh……… Je ne le sais pas.

– Mais c’est Jésus…….. J’ai une idée, je vais écrire son nom sur ta tondeuse, comme ça, si tu ne t’en souviens plus, tu n’auras qu’à la regarder.

– D’accord.

– Deuxième question: Comment se nomme sa mère?

– Euh……… Je ne le sais pas.

– Mais c’est Marie……. Je vais faire comme à la première question, je vais le marquer sur ta tondeuse.

Serge s’apprête à poser la question finale que les trompettes se font entendre dans tout le village. Le Pape arrive! Tous s’en vont le rencontrer. Quand il voit arriver le chrétien, il vint le voir pour poser ses 3 questions. Il dit:

– Bonjour mon cher ami! Je viens te voir pour te poser 3 questions.

– Je suis prêt!

– Première question: Comment se nomme le Christ?

L’homme regarda sa tondeuse et dit:

– Jésus!

– Bravo! Deuxième question: Comment se nomme sa mère?

L’homme, de nouveau, regarda sa tondeuse et dit:

– Marie!

– Encore une bonne réponse, Bravo! Maintenant, voici la dernière question, la plus difficile de tous. Nommez-moi deux apôtres de Jésus.

Le chrétien regarda sa tondeuse et fini par dire:

-« Black & Decker ! »


Booba : Le rappeur est dans le chagrin, son meilleur ami s’est suicidé…

Réactualisation : Le rappeur Brams s’est bien suicidé. Alors que l’émotion reste vive dans le quartier de Pont-de Sèvres à Boulogne-Billancourt, Ibrahima Keita, alias Brams, s’est bien suicidé dans la nuit de samedi à dimanche. L’enquête policière confirme absolument que cette figure du rap a bien mis fin à ses jours. Il avait d’ailleurs envoyé un courrier électronique à plusieurs membres de sa famille pour leur dire sa volonté d’en finir. Il s’est jeté, vers 4 heures du matin, du haut de l’immeuble sis au 95, allée du Forum, un bâtiment de quinze étages… Les conclusions de l’enquête après examen des empreintes relevées sur les lieux du drame attestent que Brams est monté seul sur le toit de cet immeuble. Ce sont des jeunes de la cité qui ont découvert son corps. Il gisait sur le dos, sans blessures apparentes. Toute thèse d’une agression a été exclue. Depuis plusieurs mois, le rappeur était suivi pour une sévère dépression.

Le 22 mai, nous écrivions :

L’immense rappeur Booba, qui était à Cannes pour le dernier festival, originaire des Hauts-de-Seine, mais qui vit aujourd’hui à Miami, est en deuil : son meilleur ami, Bram’s, est décédé.

Bram’s, de son vrai prénom Ibrahima, était rappeur lui aussi, un bon rappeur. Souvent en featuring avec Booba, il faisait partie du collectif 92i, aux côtés de Mala, Djé et Booba. Il n’a sorti aucun album en solo, mais apparaît dans un nombre conséquent d’albums considérés aujourd’hui comme classiques.

Lui qui a créé le groupe Malekal Morte avec Mala et Issaka, dans les années 2000, accompagnait Booba sur toutes ses tournées, dont l’actuelle qui présente au public l’album Lunatic, sorti en novembre dernier. Booba, Bram’s et Mala étaient unis comme les doigts de la main. Présent sur de nombreux titres comme Du Biff, On contrôle la Zone, Pazalaza pour sazamuser, sur les différents opus de Booba, Bram’s avait marqué nos esprits très récemment en posant sa voix si particulière, lui l’adepte du vocoder, sur le morceau larmoyant Si tu savais extrait de l’album Lunatic de Booba.

Les circonstances de sa mort, hier soir samedi 21 mai, sont encore à éclaircir, mais sur internet les explications circulent déjà. Certains parlent d’un suicide, d’autres expliquent qu’il est tombé du 15e étage d’une tour à Pont-de-Sèvres. Le quartier où Booba revenait voir ses amis quand ils lui manquaient…

Mike Connors, alias Mannix, poursuit les producteurs de la série !

Mike Connors, 85 ans, héros de la série culte des années 60 Mannix, a décidé de poursuivre ses anciens producteurs devant la Cour supérieure de Los Angeles. L’acteur américain leur reproche un arriéré de royalties conséquent qui pourrait dépassé plusieurs millions de dollars.

Vendue dans le monde entier et sortie en support numérique depuis quelques années, Mike Connors affirme n’avoir touché aucun rémunération sur les profits réalisés par la série, contrairement au contrat signé à l’époque qui lui assurait 10% sur les bénéfices nets des ventes internationales et 10 % sur l’utilisation de son nom, passant à 20% sur les trois dernières années de la série.

CBS et Paramount qui détiennent en partenariat les droits sur la série n’ont, à l’heure actuelle, pas réagi aux poursuites engagées. Celui qui interprétait le fameux détective Joe Mannix, rôle qui lui valu quatre nominations aux Emmy Awards, démontrerait dans son dossier que le contrat était rédigé de telle façon qu’il lui est impossible de percevoir une rétribution significative depuis l’arrêt du feuilleton en 1975.

Chenôve (21) : Le maire dépose une motion contre l’implantation d’une future prison

C’est quand même un peu fort de café ! Les élus de Chenôve ont d’autres ambitions pour ces 35.000 m2. J’aurais voulu le Zénith ou l’hôpital privé, mais non : pour nous, c’est l’établissement pénitentiaire. Alors ce sera non ! » (Lire notre article ici). Mi-mai 2011, le maire de Chenôve, Jean Esmonin, ne mâchait pas ses mots quant à la possible implantation de la future prison de Dijon (Lire nos articles ici et ici).

Lundi 23 mai, à l’occasion du conseil municipal, le maire a donc présenté une motion relative à la future maison d’arrêt. « Ce texte a été adopté à l’unanimité des élus moins deux votes contre et une abstention des trois élus du groupe d’opposition UMP/Nouveau Centre », rapporte ainsi la mairie, dans un communiqué reçu mercredi 25 mai. Par la présente motion, les élus de Chenôve « refusent catégoriquement de se voir imposer une telle mesure qui ajoute à la ségrégation territoriale et à une stigmatisation injustifiée par l’implantation d’un équipement de cette nature sur une ville par ailleurs pleinement engagée dans une révolution urbaine, structurelle et culturelle d’envergure ». Le maire souhaite rencontrer le plus rapidement possible Michel mercier, ministre de la Justice.

Pour en savoir plus, lire la motion ci-dessous. 

« Motion – « Non à la prison sur Chenôve » 

Conseil municipal de Chenôve – session du 23 mai 2011

Le 5 mai dernier, le gouvernement, par le biais du Ministre de la Justice, annonçait à la presse les grands axes de son nouveau programme immobilier pénitentiaire. 

A cette occasion, le Garde des Sceaux a indiqué aux médias son intention d’implanter, entre autres possibilités, la future maison d’arrêt de Dijon sur le site d’Europa 2000 à Chenôve, en remplacement de l’actuelle prison de la rue d’Auxonne.

Les élus de Chenôve s’étonnent qu’une information de cette nature soit rendue publique de la sorte alors même que, pour leur part, ils n’ont fait l’objet d’aucune concertation préalable !

Ils dénoncent fermement de telles méthodes dont la brutalité et le caractère unilatéral vont à l’encontre de la souveraineté communale, fondement républicain essentiel, à la base du bon fonctionnement de notre démocratie.

Par la présente motion, les élus de Chenôve veulent manifester leur total désaccord face à cette tentative de passage en force qui n’est que le reflet du mépris évident manifesté par le gouvernement pour les élus locaux et donc pour leurs concitoyens. 

Par la présente motion, les élus de Chenôve refusent catégoriquement de se voir imposer une telle mesure qui ajoute à la ségrégation territoriale et à une stigmatisation injustifiée par l’implantation d’un équipement de cette nature sur une ville par ailleurs pleinement engagée dans une révolution urbaine, structurelle et culturelle d’envergure.

Les élus de Chenôve demandent donc une audience rapide au Ministre de la Justice, en personne, afin de lui exprimer officiellement et directement leur position argumentée, leur opposition de principe, leur détermination sans faille et, si besoin, leur mobilisation résolue, tout en lui indiquant leurs plus grandes réserves quant à la faisabilité à la fois technique et écologique d’une telle opération sur Europa 2000, compte tenu des contraintes environnementales liées à la présence de la nappe phréatique.

Les élus de Chenôve profitent enfin de la présente motion pour rappeler les fortes potentialités de cette zone Europa pour la place de Chenôve et des Cheneveliers au sein de l’agglomération dijonnaise et leur souhait de la voir accueillir des activités structurantes, adaptées aux contraintes environnementales évoquées, dans le cadre du nécessaire développement du grand sud dijonnais dont Chenôve doit être la porte ouverte !

Football l Dijon en Ligue 1 : Les conséquences de la (presque) montée

Combien coûtera la montée du Dijon Football Côte-d’Or (DFCO) en Ligue 1 pour le contribuable dijonnais ? Quelles retombées économiques la ville peut-elle attendre d’un tel événement ? Quels travaux devront être réalisés ? A l’heure où la montée du DFCO ne pourrait être empêchée que par un incroyable coup de théâtre, dijOnscOpe détaille les conséquences de cet exploit sportif en compagnie de Gérard Dupire, adjoint aux Sports à la mairie de Dijon, François Perrault, directeur départemental de la sécurité publique en Côte-d’Or, et Patrick Laforêt, président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte-d’Or (CCI 21)…

894.000 euros de travaux… et une nouvelle tribune polémique

Vendredi 27 mai 2011, après son déplacement en terres angevines, le Dijon football Côte-d’Or (DFCO) ouvrira une page de son histoire dans l’élite du football français. Cette montée en Ligue 1 aura d’abord des conséquences purement footballistiques puisque le Parc des sports devra impérativement faire peau neuve afin de répondre aux exigences de la L1… « Le stade appartient à la ville de Dijon et est loué au club pour une utilisation exclusive. Il avait été pensé, avec la construction des tribunes Nord et Sud, dans la perspective d’une montée en L1 : beaucoup de travaux avaient donc déjà été engagés », introduit Gérard Dupire, adjoint aux Sports à la mairie de Dijon. Pour autant, la Ligue 1 a ses impératifs, qui demanderont aux collectivités un investissement de 894.000 euros.

Pour quoi faire ? Tout d’abord, de nouvelles salles pour les sportifs et les journalistes à hauteur de 100.000 euros, « ce qui ne présente pas de problème de délai puisque la dépense est réalisée sur des lignes budgétaires existantes aux Sports ou aux Travaux », selon Gérard Dupire. L’augmentation du parc de caméras de vidéosurveillance coûtera quant à elle 190.000 euros. « Le plus cher, pour nous, sera d’adapter l’éclairage du stade aux exigences des télévisions : tandis qu’Eurosport filme avec 1.200 lux, Canal + a besoin de 1.700 lux pour tourner… Coût total de l’opération : 500.000 euros », détaille Gérard Dupire. Sur le principe, le Grand Dijon a déjà donné son accord pour participer aux frais à hauteur de 100.000 euros, la Région pour 50.000 euros et le Département n’a pas encore formulé sa réponse. Voilà pour l’investissement. « En ce qui concerne le fonctionnement du DFCO pour la saison 2011-2012, le Grand Dijon ne modifiera pas sa subvention. Il reviendra au club de monter un budget, fort de nouveaux revenus : il percevra en effet plus de droits, aura des produits à vendre complètement différents, des partenaires nationaux… », souligne Gérard Dupire.

Seule ombre au tableau : la Ligue de football professionnel (LFP) demande également la construction de tribunes spéciales pour les supporters adverses, afin qu’ils soient isolés dans leur cheminement et ne croisent pas le public local – pour des raisons de sécurité. « La Ligue demande la construction d’une tribune tubullaire Nord-Ouest, qu’on ne veut pas faire », note Gérard Dupire. Et de préciser : « Leur proposition présente beaucoup de défauts. Tout d’abord, elle ne permettra d’accueillir que 450 personnes et cela ne suffira pas pour certains matchs, j’en suis sûr. Cela veut dire que nous devrons répartir des supporters ailleurs et c’est un risque. D’autre part, un très gros pylône d’éclairage va gêner la vue à cet endroit. Enfin, il nous faudrait la construire sur un support béton de 80 centimètres, ce qui représente un volume de travaux très important ! ». Pour la ville de Dijon, la solution serait plutôt de moduler une partie de la tribune Nord en fonction des matchs… « Lorient ne vient pas avec autant de monde que Marseille ou Paris ! », remarque l’adjoint aux Sports. Outre cette tribune modulable jusqu’à 900 places, Gérard Dupire proposera également à la Ligue d’ajouter des tribunes basses aux deux extrémités de la tribune Ouest, ainsi que 1.600 places debout au Nord et 1.600 au Sud.

Un centre de formation « pour éviter que tous nos joueurs filent en Angleterre »

Que la ville ait un club de football au sein de l’élite sportive est positif. Y rester plusieurs années le serait encore davantage. « Cela passe par le lancement du centre de formation du DFCO », remarque Gérard Dupire. Et de continuer : « Ce projet aurait dû être mis en place depuis trois ans puisque c’est une obligation pour tous les clubs professionnels. Nous avons perdu du temps avec l’étude d’une implantation à Chenôve et aujourd’hui, le mouvement est enfin enclenché ». Qu’apportera un centre de formation à l’équipe de Ligue 1 ? « Une telle structure est indispensable pour la pérennité et l’économie d’un club professionnel. Vous avez en effet, à Dijon et dans la région, de très bons joueurs formés dans les clubs locaux, qui disparaissent en Angleterre sans qu’on les ait vus passer ! Avoir un centre de formation nous évitera de nous faire « piquer nos joueurs ». A Dijon, d’ailleurs, la situation était encore pire puisque le pôle espoir Bourgogne Franche-Comté nous permettait de mettre en vitrine tous les bons jeunes avant qu’ils ne soient recrutés pas d’autres ! ». A l’heure actuelle, la construction d’un deuxième stade en synthétique est prévue au complexe sportif des Poussots et l’international Florent Malouda est d’ores-et-déjà associé au projet… Son objectif : faire venir des jeunes de pays défavorisés tels qu’Haïti pour les former au football à Dijon. « Plus nous aurons de bons jeunes, plus nous aurons de chances que le club soit performant dans la durée », souligne Gérard Dupire.

Autre conséquence attendue avec la montée : la recrudescence des inscriptions dans les clubs de football de la ville… « Nous observons très clairement ce mouvement dès qu’un sport brille sur le plan national en raison des Jeux olympiques ou de championnats du monde. A chaque fois, le nombre d’inscriptions dans les clubs suit l’événement d’une façon très sensible ! », remarque Gérard Dupire. Et de préciser : « Cela est d’autant plus valable quand c’est le club de la ville qui brille ».

D’une manière moins visible en terme d’infrastructures et d’économie, la montée semblerait également être vecteur de lien social à Dijon, selon l’adjoint aux Sports de la ville… « Les performances du DFCO fédèrent la population comme jamais, elles ont un grand écho. Il ne passe pas une heure sans que quelqu’un me demande : « Alors, le DFCO, c’est la Ligue 1 ? »… Même chez des gens qui ne s’intéressent pas du tout au football ! Je pense que sur ce point, fédérer une population autour des valeurs du sport est très positif », souligne-t-il.

Des retombées économiques et plus de travail pour la police…

D’un point de vue économique, les conséquence de la montée en Ligue 1 seront multiples. « Tout d’abord, le DFCO est une entreprise en tant que telle, enregistrée au registre du commerce. Cette montée induit donc un potentiel de croissance important, qui va entraîner des embauches au sein du staff technique et administratif pour porter l’effectif du club à plus de cinquante personnes », remarque Patrick Laforêt, président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte-d’Or (CCI 21), également membre du conseil de surveillance du DFCO. Côté sponsoring, les contrats devraient également être plus intéressants pour le club… « Je pense effectivement que le sponsoring va de pair avec la catégorie dans laquelle on joue. Evidemment, la montée va conforter les sponsors historiques : c’est à eux que je pense en premier lieu car ils nous ont soutenu et nous ont permis d’en arriver là. D’autre part, nous allons voir arriver d’autres types de sponsors, plus intéressés par le véritable aspect médiatique que par l’aspect passionné et personnel », analyse-t-il.

Matchs retransmis en direct sur Canal +, articles hebdomadaires dans le journal L’Equipe… Toutes les semaines, le nom de Dijon apparaîtra sur les écrans de télévision, dans les journaux ou sera entendu à la radio. « L’exposition sportive et médiatique en L1 est sans commune mesure avec celle de L2. Cette montée va aider à positionner encore mieux Dijon sur une carte géographique et conduire à un concept plus global qu’on appelle l’attractivité d’un territoire. En résumé, une ville a deux options : ou bien elle apparaît sur les écrans radars ou bien elle n’y est pas ! Et effectivement, au même titre que l’inscription de la côte viticole au patrimoine mondial de l’Unesco, que les grands événements culturels, que l’Auditorium etc., je crois que l’accession en L1 est très positive pour une ville comme la nôtre en terme d’attractivité », détaille Patrick Laforêt. Et de citer Patrick Chirac, personnage principal du film Camping : « Il disait que « Dijon, tout le monde sait où c’est mais personne ne s’y arrête » : souhaitons que cette nouvelle pierre à l’édifice inverse la tendance ! ». Une évolution qui ne pourra pas se faire « si l’ensemble du territoire économique n’est pas en ordre de marche sur tous les facteurs d’attractivité : la mise à disposition de foncier, de services, la qualité de déplacement – par l’aéroport, le TGV, le tramway – ou encore l’école de commerce… », selon Patrick Laforêt. Et de conclure : « Tous ces éléments-là constituent les éléments d’un bon dynamisme économique ; et pas seulement la montée en Ligue 1 ».

Du côté des forces de l’ordre également, l’accueil d’équipes comme le PSG ou l’Olympique de Marseille devrait présenter de nouveaux défis… « En terme de police, la montée va nous amener plus d’activité », souligne François Perrault, directeur départemental de la sécurité publique en Côte-d’Or. Et de préciser : « J’ai occupé le même poste dans l’Aube, quand l’Estac (ndlr : le club de Troyes) était en Ligue 1, donc j’ai l’habitude et l’expérience de ces saisons où l’on reçoit, sur les vingt matchs, quatre ou cinq équipes où les supporters doivent être plus encadrés… Mais aujourd’hui, l’exclusion des stades a beaucoup facilité les choses car nous pouvons surveiller en amont qui vient. Ensuite, nous avons une très bonne vision de ce qui se passe dans le stade depuis notre PC de sécurité : nous pouvons donc facilement interpeller tous les perturbateurs ». Seul hic : « Rappeler des fonctionnaires le week-end a un coût important, qu’il faudra assumer », conclut François Perrault… Entre travaux d’infrastructure, nouveau dynamisme économique, rayonnement de la ville et mutations des forces de l’ordre, la montée du DFCO en Ligue 1 transformera le visage de la ville. Ne reste plus qu’à espérer une saison 2011-2012 fructueuse pour l’équipe, afin que l’élite du football français soit plus qu’un rêve passager pour Dijon…

TOMBES CELEBRITES

Tombe de Marcel DASSAULT (cimetière de PASSY)

Tombe de FERNANDEL (Cimetière de PASSY)

Tombe de Charles BRONSON (Cimetière Brownsville à WEST WINDSOR – Etats Unis)

Tombe de Richard BURTON ( Cimetière protestant de CELIGNY – SUISSE)

Tombe de Joe DASSIN ( Cimetière Hollywood Forever – carré Israélite à Los Angelès – Etats Unis)

Tombe de Marilyn MONROE ( Cimetière Westwood mémorial park à Los Angelès – Etats Unis)

Tombe de Johnny WEISSMULLER (Cimetière panteon valle de luz à ACAPULCO – MEXIQUE)

Tombe de Marcello MASTROIANNI ( Cimetière monumentale al Vérano à ROME – ITALIE)

Tombe de MOULOUDJI ( Cimetière du Père LACHAISE)

Tombe de MOULOUDJI ( Cimetière du Père LACHAISE)