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L’AMOUR……..

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L’amour, ça ne se prépare pas,
L’amour, ça ne se commande pas,
L’amour, ce n’est pas tout rose parfois…
On n’a pas de manuel  » du comment vivre
l’amour parfait pour toute une vie « ,
L’amour, ça se découvre que parce que
chacun a sa façon d’aimer,
L’amour, ça se partage,
L’amour, ça se construit,
L’amour, c’est la confiance totale…..

Personne ne peut affirmer qu’il sait à
l’avance, si oui ou non c’est le bon, s’il finira
ses jours  avec….
L’amour c’est un mystère,
L’amour c’est beau,
L’amour c’est triste,
L’amour c’est le doute et la passion,
Ce sont les engueulades et les
réconciliations…

L’amour, c’est être deux et ne faire qu’un…

Le secret du bonheur

 Un enfant demande à son père :

 « Dis papa, quel est le secret pour être 

   heureux ? »

 Alors le père demande à son fils de le suivre ; Ils

 sortent de la
 maison, le père sur leur vieil âne et le fils

 suivant à pied.

Et les gens du village de dire:
 « Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son   

 fils d’aller à pied ! »

 « Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison

  » dit le père.

 Le lendemain ils sortent de nouveau, le père 

 ayant installé son fils
 sur l’âne et lui marchant à côté.
 Les gens du village dirent alors :
  » Quel fils indigne, qui ne respecte pas son

 vieux père et le laisse aller à pied ! »
 « Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »

Le jour suivant, ils s’installent tous les deux

  sur l’âne avant de quitter la maison.
 Les villageois commentèrent en disant :
 « Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger

 ainsi ! »

 « Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »

 Le jour suivant, ils partirent en portant eux-

 mêmes leurs affaires, l’âne trottinant derrière 

 eux.
 Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire :

 « Voilà qu’ils portent eux-mêmes leurs bagages 

  maintenant ! C’est le
 monde à l’envers ! »

 « Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »

 Arrivés à la maison, le père dit à son fils :

 « Tu me demandais l’autre jour le secret du 

 bonheur.

 Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours 

 quelqu’un pour y trouver à redire. Fais ce qui te

 plaît et tu seras heureux. »

LA BANQUE…

Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte de 86400 €

Simplement, il y a deux règles à respecter.

La première règle est que tout ce que vous n’avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé le soir. Vous ne pouvez pas tricher, ne pouvez pas virer cet argent sur un autre compte, ne pouvez que le dépenser mais chaque matin au réveil, la banque vous rouvre un nouveau compte, avec à nouveau 86400 € pour la journée.

Deuxième règle :

La banque peut interrompre ce « jeu » sans préavis ; à n’importe quel moment elle peut vous dire que c’est fini, qu’elle ferme le compte et qu’il n’y en aura pas d’autre. Que feriez-vous ? A mon avis, vous dépenseriez chaque euro à vous faire plaisir, et à offrir quantité de cadeaux aux gens que vous aimez. Vous feriez en sorte d’utiliser chaque euro pour apporter du bonheur dans votre vie et dans celle de ceux qui vous entourent.

Cette banque magique, nous l’avons tous, c’est le temps !

Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86400 secondes de vie pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir, il n’y a pas de report.

Ce qui n’a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer.

Chaque matin, cette magie recommence. Nous jouons avec cette règle incontournable : la banque peut fermer notre compte à n’importe quel moment, sans aucun préavis ; à tout moment, la vie peut s’arrêter. Alors qu’en faisons-nous de nos 86400 secondes quotidiennes ?

« La vie est courte, même pour ceux qui passent leur temps à la trouver longue »…

… alors profitez-en !

Le bol de bois

Je vous assure que vous vous rappellerez du Bol de bois demain, dans une semaine, un mois , une année

Un vieil homme tout frêle va vivre avec son fils, sa bru et son petit-fils de quatre ans.
La main du vieil homme tremblait, sa vue était embrouillée et sa démarche vacillante.

La famille mangeait ensemble à la table. Mais , le vieux grand-papa éprouvait de la difficulté à manger. Les petits pois glissaient de sa cuillère et tombaient sur le plancher.
Quand il prenait son verre de lait, il le renversait sur la nappe.
  
   Le fils et son épouse étaient irrités par le gâchis.
Le fils affirmait « On devrait faire quelque chose à propos de papa »
« J’en ai marre du lait renversé, du bruit qu’il fait en mangeant et de la nourriture sur le plancher. »
Alors, avec son épouse, il installait une table dans un coin de la cuisine.
Là, le grand-père mangeait seul pendant que la famille prenait le repas.
Étant donné que le vieil homme avait brisé de la vaisselle, sa nourriture était servie dans un bol de bois.
Quand la famille jetait un coup d’oeil en direction de grand-papa, il leur arrivait de voir une larme glisser sur la joue du vieil homme pendant qu’il était assis tout seul.
> > > > >      Malgré tout, ils continuaient à maugréer contre lui lorsqu’il échappait sa fourchette ou sa nourriture.
Le petit-fils observait tout en silence.
Un soir, avant le souper, le papa remarquait son fils qui jouait avec des morceaux de bois qui jonchaient le plancher.
 
     Il lui demanda gentiment, « que fabriques-tu? » Tout aussi gentiment le petit garçon répondit,
« Oh! Je fais un petit bol pour toi et maman pour que vous mangiez votre nourriture lorsque je serai plus grand. »
Le petit garçon sourit et continuait son travail.
  
   Ces mots ont eu l’effet d’une bombe sur les parents qui devinrent silencieux. Des larmes commençaient à ruisseler le long de leurs joues Sans dire un mot, ils savaient ce qu’ils devaient faire.
Ce soir-là, le fils prit la main de son père pour le ramener gentiment à la table familiale.
Pour le reste de ses jours il mangea tous ses repas avec la famille. Et pour quelque raison, ni le fils ou son épouse ne firent de cas quand il échappait sa fourchette, renversait du lait ou salissait la nappe.
Sur une note positive, j’ai appris que, peu importe quoiqu’il arrive, aussi mauvais que cela semble aujourd’hui, la vie continue, et elle sera meilleure demain.
J’ai appris que nous pouvons en dire beaucoup au sujet d’une personne de la façon qu’elle se comporte devant quatre choses :
Une journée de pluie, les personnes âgées, des bagages égarés et des lumières d’arbre de Noël emmêlées.
J’ai appris que gagner sa vie n’est pas la même chose que de « vivre sa vie. »

J’ai appris que la vie nous donne quelquefois une deuxième chance.
J’ai appris que l’on ne doit pas poursuivre sa vie avec une mitaine de receveur dans chaque main. Nous avons besoin de remettre quelque chose aux autres quelquefois. 
J’ai appris que si on poursuit le bonheur, il va nous échapper.

Mais, si vous vous concentrez sur votre famille, vos amis, les besoins d’autrui, votre travail et l’accomplissement des choses au meilleur de vos capacités, le bonheur vous trouvera bien.
J’ai appris que lorsque je prends une décision avec mon cœur, je prends normalement la bonne décision.
J’ai appris que même si je ressens de la douleur, je n’ai pas besoin de devenir un casse-pieds pour les autres.
J’ai appris que chaque jour, nous devrions étendre le bras et toucher quelqu’un d’autre.
Le monde aime cette touche humaine se tenir par la main, une accolade chaleureuse ou simplement une tape dans le dos.
J’ai appris que j’en ai encore beaucoup à apprendre.

LECONS DE VIE….

La vie n’est pas juste, mais elle est quand même bonne.

La vie est trop courte pour pour perdre votre temps à détester qui que ce soit.

Votre travail ne prendra pas soin de vous quand vous serez malade. Vos amis et votre famille le feront. Restez donc en contact.

Quand vous êtes dans le doute, faites juste un pas en avant.

Pleurez avec quelqu’un. Ca guérit mieux que de pleurer tout seul.

Il n’y a pas de problème à être en colère après Dieu. Il peut le supporter.

Quand il est question de chocolat, la résistance est futile.

Faites la paix avec votre passé de façon à ne pas compliquer votre présent.

Ne comparez pas votre vie à celle des autres. Vous n’avez aucune idée de ce qu’est leur voyage.

Prenez une grande respiration. Ca calme l’esprit.

Débarrassez-vous de tout ce qui n’est pas nécessaire, joli ou joyeux.

Il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse. Mais la seconde fois regardez-vous et personne d’autre.

Brûlez les bougies, utilisez les beaux draps, portez les beaux habits et les belles lingeries. Ne gardez pas ça pour une occasion spéciale. Aujourd’hui est spécial.

Soyez excentrique maintenant. N’attendez pas d’être vieux pour porter du rouge.

Personne n’est responsable de votre bonheur sinon vous.

Encadrez chaque soi-disant catastrophe par ces mots « Dans cinq ans,  est-ce que cela aura de l’importance »?

Le temps guérit presque tout. Donnez du temps au temps.

Aussi bonne ou mauvaise qu’une situation soit, elle va changer.

L’organe sexuel le plus important, c’est le cerveau.

Préparez-vous à tout, puis laissez-vous porter par la vague.

Tout ce qui compte vraiment à la fin, c’est que vous ayez aimé.

Si nous mettions tous nos problèmes en tas et qu’on voyait les problèmes des autres, nous reprendrions certainement les nôtres.

L’envie est une perte de temps. Vous avez déjà tout ce dont vous avez besoin.

Le meilleur est à venir.

Qu’importe comment vous vous sentez, levez-vous, habillez-vous et participez.

La vie n’est pas décorée par un ruban, mais c’est quand même un cadeau.

Les amis sont la famille que l’on se choisit…….

 

« 

J’ai trouvé ce texte vraiment magnifique et des propos vraiment réalistes, que je m’empresse de vous le faire partager et je terminerais par ma citation favorite

« LA VIE NE VAUT RIEN…MAIS RIEN NE VAUT LA VIE »

BELLE HISTOIRE A MEDITER……..

Un jour, un homme revenant du travail très tard, fatigué et agacé trouva son fils de 5 ans, à l’entrée de la porte. 

« Papa, je peux te poser une question ? »
« Qu’est-ce que c’est? » répondit l’homme. 
 « Papa, combien tu gagnes par heure ? « 

« Ce n’est pas ton problème … Pourquoi une question pareille ? » répondit l’homme, d’une façon agressive.  
« Je veux juste savoir. S ‘ il te plaît combien tu gagnes par heure? »
« Tu sais quoi? .. Je gagne  12 €  par heure! » 
  « Ah! … » répondit le garçon, avec sa tête vers le bas. « Papa, prête-moi seulement 6 € … »
 Le père était furieux, « C ‘est pour cette raison que tu demandais cela ? …. Penses-tu que c’est comme ça que tu peux obtenir de l’argent pour acheter des jouets ? Vite au lit dans ta chambre.
 
Je travaille durement chaque jour pour de tels enfantillages ? »
Le garçon restant silencieux, entre dans sa chambre et ferme la porte..

L’homme assis devient de plus en plus nerveux sur les questions de l’enfant. Comment ose-t-il poser ce genre de questions juste pour gagner de l’argent ?
 
Une heure plus tard, l’homme se ressaisit et se dit : Peut-être qu’il avait vraiment besoin d’acheter quelque chose avec ces 6 € et après tout ce n’est pas dans ses habitudes. L’homme alla à la chambre du gamin et ouvrit la porte.  

« Tu dors, mon fils ? » demanda l’homme …
 
« Non papa, je suis éveillé » , répondit le gamin …
« Je pense que j ‘ai été trop dur avec toi mon fils… 

J ‘ai eu une journée très dure, à tel enseigne que je me suis déchargé sur toi. Voici les 6 € que tu as demandé. »  
Le petit tout souriant s’écria …. « Oh, merci papa! »
L’homme a vu que le gamin avait déjà de l’argent, et commença à se fâcher de nouveau.  
Le garçon comptait son argent doucement, puis regarda son père.
« Pourquoi voulais-tu plus d’argent si tu en avais déjà ? »  
« Papa, c’est  parce que je n’en avais pas assez. », répondit le gamin.  
« Papa, maintenant j’ai 12 €. Puis-je acheter une heure de ton temps ? … S’il te plaît, arrive demain une heure avant à la maison … J ‘aimerais dîner avec toi. » 

Le père a été brisé. Il a mis ses bras autour de l’enfant et a demandé pardon…
juste un petit rappel à tous ceux qui travaillent dur dans la vie.. Nous ne devons pas la laisser filer entre les doigts sans avoir passé un temps, ou une  partie de ce temps avec ceux qui en ont vraiment le besoin, ceux qui sont proches de notre cœur. N’oubliez pas de partager ces 12 € (la valeur de votre temps) avec quelqu’un que vous aimez.          
Si on meurt demain, la société pour laquelle nous travaillons, pourrait facilement nous remplacer dans les prochaines heures. Mais la famille et les amis que nous avons laissés derrière sentiront la perte pour le reste de leur vie ….. 

PENSEE PROFONDE DE CONFUCIUS

 Peu importe ce que tu donnes à une femme, elle le rendra meilleur!
 Donne-lui un spermatozoïde, elle te donnera un bébé,

Donne-lui une maison, elle en fera un foyer, 
Donne-lui un sourire, elle te donnera son cœur.
Elle multiplie et amplifie ce qu’on lui donne. 

Donc, si tu lui donnes une vie de merde..
Ne t’étonne pas qu’elle te fasse chier !!! 

MESSAGE PERSONNEL

Bonjour à vous tous…

Me voici à l’âge de 55 ans, un mari extraordinaire, attentionné, une belle maison, deux beaux enfants qui sont mes deux plus belles merveilles au monde, un travail enfin tout quoi!!!!!!!!!!!ou presque…..alors me direz-vous: de quoi te plains tu???  alors là je dois dire que je suis bien d’accord avec vous… mais voilà… seulement un petit quelques chose me chiffonnne… et ce petit quelque chose est « LE TEMPS QUI PASSE » hé oui ce fameux « temps qui passe »…….. où bien évidemment on ne peut pas lutter contre lui… et malgré moi je lui en veux terriblement car celui-ci nous prend notre jeunesse, nous enlève nos proches que l’on a tant aimé, de temps en temps nous donne des petits bobos, et surtout bien conscient pourquoi pas nous donne des maladies plus graves etc……….

Alors je me dis.!! bien sur que celà est irréelle, mais pourquoi pas arrivé à un âge où tout va bien d’appuyer sur un bouton et de rester à cet âge là!!!

vous qui me lisez, parcourez mon blog, j’aimerais avoir votre avis et votre sentiment sur ma façon de réagir contre ce « TEMPS QUI PASSE »

je vous remercie de vos réponses, celà m’aidera peut-être à voir les choses différemments!!!

bien à vous

TEXTE A MEDITER……………

HABITUDE 1 : FAIRE PLAISIR A L’AUTRE

Dans les couples heureux, chacun se donne pour but de faire plaisir à l’autre.
Il s’agit de toujours être focalisé sur le but suprême qui est de faire plaisir à l’autre,
et de ne pas lui faire de la peine.
Ceci semble très simple; mais dans la pratique, cela peut s’avérer très difficile.

Tenez, essayez donc pendant une seule journée d’être constamment attentif,
pour chaque chose que vous faites ou que vous dites, en vous demandant :
" Est-ce que ce que je vais faire ou dire va faire plaisir ou de la peine à mon conjoint ? "
Pour contrôler vos succès, chacun de vous deux devrait tenir deux listes.
L’une pour les peines que vous cause votre conjoint,
et l’autre pour établir ce que vous souhaiteriez que votre conjoint fasse pour vous faire plaisir.
Puis, échangez vos listes; et vous saurez ce que vous auriez dû faire et ne pas faire.
Il n’est de lecture plus édifiante que celle-ci !