Archive | 18 Mai 2011

La magnifique Ewelina Olczak, la sirène de votre soirée…

Alors que les festivités se poursuivent en grande pompe sur la Croisette pour encore six jours et six nuits consacrés au 64e Festival de Cannes, il est venu l’heure de vous présenter la sirène qui va enivrer votre nuit et s’afficher dans notre fameuse chronique dite de la « Dame du Soir ».

Relativement méconnue alors qu’elle a commencé sa carrière très tôt, à l’âge de 15 ans, le superbe mannequin polonais Ewelina Olczak, aujourd’hui âgée de 20 ans, possède une plastique qui laisserait presque Elle Macpherson elle-même dans l’ombre.

Avec des mensurations parfaites de 88/60/90 réparties sur 175 centimètres de charme pur, ce superbe jeune top de l’Est ne pouvait que l’afficher pour le bonheur des marques. C’est le cas de la griffe Swimwear qui l’a choisie comme égérie de sa nouvelle collection été 2011

Affaire DSK: Un homme brisé, détenu dans une terrible prison… dernières infos

Arrêté samedi 14 mai, formellement inculpé de violences sexuelles, et après plus de 30 heures de garde à vue, Dominique Strauss-Kahn est arrivé lundi matin au tribunal de New York, menotté et sous l’oeil des caméras et des photographes. Cette Cour Criminelle de Justice était présidée par la juge Melissa Jackson, qui a décidé de maintenir Dominique Strauss-Kahn en détention, après une audience d’environ 20 minutes. La raison invoquée par la juge, qu’elle a annoncée d’un ton sans concession, est la possibilité de fuite du « toujours » président du FMI en raison de son interpellation à bord de l’avion d’Air France prêt à décoller pour la France à l’aéroport Kennedy à New York, quelques heures seulement après l’agression présumée.

Hier soir, DSK a donc été conduit dans l’immense prison de Rikers Island, une île de l’East River à côté de Manhattan. La prison occupe toute l’île. Alors que cet établissement a une terrible réputation de violence, que les détenus sont dans de grandes cellules de 30 personnes, Dominique Strauss-Kahn bénéficie heureusement d’une cellule individuelle, selon un porte-parole de l’administration pénitentiaire. « Il n’est pas en contact avec les autres prisonniers », a précisé à l’AFP le porte-parole. « Cela ne veut pas dire qu’il sera toujours dans sa cellule. Cela veut dire que quand il en sortira, il sera toujours accompagné d’un gardien ». C’est plus prudent… Cette prison est l’une des plus grandes du monde et « abrite » actuellement 12 000 détenus. DSK a été placé dans une unité pour les détenus souffrant de maladies transmissibles… On comprend mieux qu’il ne soit pas en contact avec les autres prisonniers. Il ne devrait recevoir la visite de sa femme, Anne Sinclair – qui est arrivée (seulement ?) hier en fin d’après-midi à New York – que jeudi, la veille d’un jour crucial pour lui. Il dispose de la télévision et peut téléphoner.

Les 7 chefs d’accusations qui pèsent contre lui sont très graves
Nous avons pris connaissance du document que le district Attorney Cyrus R. Vance (l’équivalent de notre procureur) a fait distribuer aux journalistes présents hier devant la Cour Criminelle de Justice.

« Le peuple de l’État de New York contre Dominique Strauss-Kahn »

Le détective Steven Lane, matricule 03295 de la brigade de détectives de l’Unité spéciale de Manhattan, constate ce qui suit. Le 14 mai 2011, vers midi, à l’adresse 45 West 44th Street, dans le comté et l’État de New York, la plaignante a déposé plainte sur les chefs d’accusations de :

1. Acte sexuel criminel au premier degré (ce qui représente deux chefs d’accusation)

2. Tentative de viol au premier degré (un chef d’accusation)

3. Abus sexuel au premier degré (un chef d’accusation)

4. Séquestration au second degré – preuve par ADN admise (un chef d’accusation)

5. Agression sexuelle au troisième degré – preuve par ADN admise (un chef d’accusation)

6. Attouchement sexuel – preuve par l’ADN admise (un chef d’accusation)

L’accusé a tenté d’avoir, par la force, une relation sexuelle anale et orale avec une autre personne. L’accusé a tenté par la force d’avoir des rapports vaginaux avec une autre personne. L’accusé a forcé une autre personne à un contact sexuel. L’accusé a séquestré une autre personne : l’accusé a obligé une autre personne à un contact sexuel sans le consentement de cette dernière. L’accusé a de façon intentionnelle et sans raison légitime touché les parties sexuelles et autres parties intimes d’une autre personne dans le but d’avilir une autre personne et d’abuser d’elle, et dans le but d’assouvir le désir sexuel de l’accusé. Ces attaques ont été commises dans les circonstances suivantes : le soussigné déclare qu’il a été informé par une personne connue des services du procureur que l’accusé :

1) a fermé la porte de la pièce et a empêché la plaignante de quitter cette pièce.

2) a attrapé la poitrine de la plaignante sans son consentement.

3) a tenté de retirer de force le collant de cette personne et de toucher la zone de son vagin de force.

4) a forcé la bouche de la plaignante à toucher son pénis à deux reprises.

5) a pu commettre ces actes en utilisant sa force physique.

Toute fausse déclaration est passible d’un délit de classe A prévu par l’article 210.45 du code pénal (cette clause étant pour la plaignante bien sûr). A lire, comme ça, c’est extrêmement violent !

C’est sur la base de ce document et des pièces de preuves qui sont jointes, que le Grand Jury (composé de 23 habitants de Manhattan tirés au sort, qui sont déjà à l’oeuvre depuis hier) prendra la décision d’inculper (ou non) DSK. Alors que ce débat est à huis clos – le District Attorney est seul présent, il n’y a pas de juge – la victime peut être interrogée par le jury, mais il n’y aura pas de confrontation avec « l’accusé » et il ne pourra pas citer de témoins. De leur côté, les avocats de la défense, Benjamin Brafman et William Taylor – qui ont perdu la première manche de la bataille judiciaire hier, enfin ce n’est que Me Brafman qui a pris la parole (bien mollement, à notre humble avis…) – pourront présenter leurs arguments de défense, mais DSK ne pourra pas intervenir, mais pourait être présent s’il le souhaite. Si cette « chambre d’accusation » décide d’inculper formellement l’ancien ministre du gouvernement Jospin, c’est devant un autre magistrat d’une juridiction plus élevée, que sa liberté sera à nouveau demandé, avec une très importante caution proposée, pour éviter le revers d’hier. Ce vendredi 20 mai est un jour clé pour Dominique Strauss-Khan. Suivant la décision du Grand Jury, DSK pourra encore décider s’il plaide coupable ou non coupable. Inutile d’extrapoler sur ce qui pourrait se passer ensuite… ce serait un scénario catastrophe !

Qui est la victime présumée ?

D’après les informations recueillies par Europe 1 entre autres, elle s’appelerait Nafissatou Diallo (surnommée Ophélia par ses collègues de travail), 32 ans, et habiterait dans le Bronx avec sa fille de 9 ans (d’après l’AFP), 16 ans d’après d’autres sources, prénommée Dana. RMC et BFMTV ont rencontré son grand frère prénommé Blake, la première personne qu’elle a appelée samedi après-midi après son agression présumée. Le grand frère est gérant d’un restaurant de Harlem, à New York « Le café 2115 ».

« J’ai été attaquée » !

Voilà ce qu’auraient été les premiers mots de l’employée du Sofitel de New York qui accuse Dominique Strauss-Kahn d’avoir tenté de la violer. Son frère raconte dans un témoignage au site internet du quotidien britannique Daily Mail publié mardi après-midi : « Ma soeur n’est qu’une simple victime » se révolte le grand frère. « Quelqu’un m’a fait quelque chose de mal », a confié la jeune femme de 32 ans à son aîné, âgé de 43 ans. « Elle pleurait tout le temps », raconte-t-il trois jours après l’agression présumée qui a envoyé Dominique Strauss-Kahn en prison. Pour lui, pas de doute, sa soeur « est une femme travailleuse qui n’est qu’une simple victime » dans cette affaire. « C’est une superbe immigrée d’Afrique de l’Ouest qui veut juste travailler dur », a-t-il témoigné. Le coup de téléphone aurait été passé « une heure après l’agression supposée », à en croire les confessions de la femme de ménage relayées par son frère. Elle était en présence de policiers et de médecins. Il n’en dira pas plus. Il explique que la jeune femme se trouve actuellement sous protection policière dans un lieu secret. La police de New York refuse de confirmer son identité. On apprendra également qu’elle est « une musulmane dévouée », qu’elle ne porte pas le voile mais se couvre les cheveux. « Elle va mieux maintenant parce qu’elle a pu parler à un avocat » a-t-il encore précisé. D’après BFMTV, l’avocat choisi s’appelle Jeffrey Shapiro.

D’autres témoins décrivent une femme discrète et timide. « Elle est toujours très calme. Je ne l’ai jamais vue s’énerver « , a déclaré un voisin, « Je la croise quand elle part travailler ou parfois quand elle rentre. Mais je vois surtout sa fille, une fille très sympa. Et sa mère est vraiment gentille. Ça a été un sacré choc », poursuit‑il. Même réaction d’une autre voisine : « Je pense qu’elle ne méritait vraiment pas ça ». « Voyez ce que cet homme lui a fait. Il ne mérite pas d’être un jour président. Je l’ai vu dans le journal. C’est comme s’il n’avait aucune compassion pour elle. Rien du tout », estime‑t‑elle. « Ce sont de bonnes personnes », a déclaré un autre voisin. « Elle n’a jamais créé de problème. Elle est très discrète « , ont également affirmé d’autres voisins cités par la chaîne française I‑Télé.

Rappelons qu’elle a également reçu le soutien de son employeur, l’hôtel Sofitel. « Elle travaille au Sofitel New York depuis trois ans », avait fait savoir le directeur général de l’hôtel Sofitel Jorge Tito, qui s’est dit « entièrement satisfait de son travail et de son comportement ». Le groupe Accor, propriétaire de Sofitel, aurait indiqué que l’employée modèle était « notée 4,5 sur 5 «  par sa direction. Elle fait partie des rares employés autorisés à travailler au 8e étage de l’hôtel où se trouvent les suites présidentielles.

Des sources proches de la défense de Dominique Strauss-Kahn, citées par le New York Post, évoquent maintenant un « rapport sexuel consenti »… Des informations à prendre avec de grosses pincettes car depuis le début, les deux avocats de Dominique Strauss-Kahn déclarent avec force : « Il nie ces accusations. Il est présumé innocent selon la loi » ou encore « Mon client bénéficie d’une ligne de défense forte » et il est « tout à fait probable qu’il soit innocenté en fin de compte« . « Il est important de comprendre que cette bataille ne fait que commencer« , a déclaré Brafman après l’audience d’hier, lui qui a vu son client être mis en détention provisoire.

Il est plus probable que les avocats de la défense fourbissent leurs armes et comptent s’organiser autour de l’emploi du temps de samedi de DSK. Ils affirment que le toujours président du FMI aurait déjeuné avec sa fille Camille – ce qui semble vrai – qui vit à New York, vers 13h. Ce qui n’est pas une preuve puisque l’agression présumée aurait eu lieu vers 12h. La bataille va être difficile et il faut espérer qu’ils auront d’autres arguments que ceux donnés après avoir croisé la jeune femme au commissariat de Harlem : « Elle n’est pas du tout séduisante« ! Ça, franchement, c’est bas et insultant.

Tous ces éléments sur la personnalité de l’employée de l’hôtel rendent peu crédible la thèse d’un rapport sexuel consenti, estimaient ce mardi plusieurs commentateurs américains.

Alors que les leaders politiques font le tour des chaînes de télévision française pour pleurer sur le sort de leur ami, copain ou leur leader DSK, pour déclarer – « je suis sous le choc« , « c’est impossible« , « c’est un coup monté » « j’ai pas dormi de la nuit » etc… – et que d’autres jugent avant même d’avoir entendu la version du « présumé » coupable, on assiste à un grand déballage, peu élégant. Ils sont contents de montrer leurs têtes à la télévision pour faire plaisir à leurs électeurs ? Relevons cependant que Robert Badinter et Bernard-Henri Levy ont chacun poussé « un coup de gueule » concernant les images dégradantes, le « présumé innocent » bafoué et qui a volé en éclats, mais n’ont pas fait la tournée des studios de télé. Notons qu’il y en a quand même bien peu qui se penchent sur le sort de cette victime présumée – depuis hier, certains ont un peu redressé la barre… – et ne se posent même pas la question d’un possible coup de folie… « Et si c’était vrai » ? Et tout cas, le travail des politiques continue, et çà, c’est affligeant.

Dominique Strauss-Kahn est présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu’au jugement définitif de cette affaire. Il risque entre 15 et 74 ans de prison s’il devait être condamné. On n’en est pas là.

Paris Hilton : Elle gagne un Grand Prix de moto, on aura tout vu !

C’est une activité que l’on ignorait chez Paris Hilton, elle a lancé une écurie de motos ! Une passion comme une autre pour la riche héritière qui réussit à étendre son empire avec brio, entre télé-réalité, parfum, musique et cinéma…

Ravie, Paris Hilton doit l’être depuis dimanche 15 mai. Son poulain, le pilote star de sa team Blusens by Paris Hilton Racing, le jeune Espagnol Maverick Vinales a remporté le Grand Prix de France dans la catégorie 125 cc.

Sur le circuit Bugatti du Mans, le jeune sportif a gagné son premier Grand Prix en championnat du monde, sur une des motos Aprilia de Paris Hilton, faisant le bonheur de la jolie blonde de 30 ans, qui a dû tout suivre avec intérêt.

Cette année, en 2011, Paris Hilton a lancé sa propre écurie avec l’enseigne SuperMartXé VIP comme sponsor.

Peut-être sous les conseils avisés de son nouveau chéri Cy Waits, qui est un vrai mec…

Paris Hilton dans le monde de la moto, on aura tout vu !

Cannes 2011 : Jean-Paul Belmondo honoré avec sa Barbara et tous ses amis !

Comme prévu dans le cadre du 64e festival de Cannes, Jean-Paul Belmondo, 78 ans, a assisté ce 17 mai à la première du documentaire de Vincent Perrot et de Jeff Domenech intitulé Belmondo, Itinéraire…. Un projet événement – diffusé en simultané sur la chaîne France 2 – suivi d’un dîner et d’une fête, rendant hommage à l’artiste incroyable qu’il est, inoubliable dans Le Magnifique, Pierrot le fou, Itinéraire d’un enfant gâté ou encore Borsalino. Selon l’AFP, ce portrait était entrecoupé d’extraits de films et des commentaires de ses proches, le tout monté avec humour et émotion.

C’est avec une grande émotion que le héros de L’As des as – absent du décor cannois depuis dix années (il n’était pas venu fouler le red carpet depuis l’hommage rendu à Gérard Oury en 2001)est apparu au bras de sa compagne, la controversée et très apprêtée Barbara Gandolfi, dont il est toujours inséparable. Malgré sa difficulté à se déplacer – il est handicapé depuis depuis son AVC (accident vasculaire cérébral) survenu il y a 10 ans -, il s’est débrouillé comme un chef, élégant à souhait dans son beau costume ! Interrogé par Laurent Weil pour Canal + à son arrivée, il a confié avec bonheur et sensibilité : « J’espère qu’on va faire une bonne fête« .

Lorsque le passionné – qui aimerait retourner et jouer au théâtre malgré ses capacités amoindries – a remonté le solennel tapis rouge qui mène au palais des festivals, tous les photographes, qui avaient posé leurs appareils photo, et les fans l’ont applaudi sur l’incontournable Chi Mai, composé par Ennio Morricone et issu du film Le Professionnel. Un moment poignant.

Sa famille artistique, composée notamment de Jean Rochefort, Pierre Vernier et Jean-Pierre Marielle, ses amis du Conservatoire, mais également Nicole Calfan, Guy Bedos, Richard Anconina très ému, Claudia Cardinale, Claude Lelouch, Albert Dupontel, Xavier Beauvois, Cédric Klapisch, Danièle Thompson ou Georges Lautner étaient à ses côtés afin de redécouvrir cet « amoureux de la vie, acteur en liberté, il a géré sa carrière en alternant harmonieusement les genres, de Godard à Oury« , a confié Vincent Perrot.

Son fils Paul Belmondo, accompagné de son épouse Luana, a également pris part à la projection prestigieuse. Avant le coup d’envoi du documentaire, sur scène, le comédien mythique a reçu une Palme d’Or pour sa carrière. Selon l’AFP, il a déclaré : « Je suis très ému par cette Palme qui me va droit au coeur. Je veux remercier tous ceux qui sont ici, ceux que je connais et ceux que je ne connais pas. Un grand merci du fond du coeur !« , sous un tonnerre d’applaudissements dans le théâtre Debussy du palais des Festivals.

Une belle soirée pour un grand homme qui a fait beaucoup pour le cinéma… et pas le contraire.

Biographie de Jean-Paul Belmondo

Né le 9 avril 1933 à Neuilly-sur-Seine, Jean-Paul Belmondo est le fils du célèbre sculpteur Paul Belmondo (1898 – 1982). Elève dissipé et bagarreur, il s’intéresse tout d’abord à la boxe et au football. Adolescent, il est victime d’une infection des bronches et profite d’une mise au vert en Auvergne pour prendre une décision ferme et définitive : il sera comédien.

Il prend des cours de théâtre sous la direction de Raymond Girard qui l’aide à entrer au Conservatoire d’art dramatique en 1951. En 1953, il fait ses débuts sur les planches dans deux pièces, Médée de Jean Anouilh et Zamore de Georges Neveux. Il obtient son premier rôle au cinéma en 1957 dans Sois belle et tais-toi de Marc Allegret.

Deux ans plus tard, sa prestation dans A bout de souffle de Jean-Luc Godard en fait un des acteurs les plus en vue de la Nouvelle-Vague. En 1964, avec L’Homme de Rio de Philippe de Broca, il accède au rang de star du cinéma français.

Pendant plusieurs années, il alterne les films d’auteurs avec des comédies légères. A partir de la fin des années 70, il joue dans des films écrits pour lui, où son personnage de héros solitaire et revanchard séduit un large public et remplit chaque fois les salles. En 1989, il se voit attribuer un César, son premier, pour son interprétation dans Itinéraire d’un enfant gâté de Claude Lelouch. Néanmoins, il refuse le César, arguant que le sculpteur César, créateur de l’objet, a dit un jour du mal de son père…

Séducteur dans ses films, il l’est également dans sa vie. Il se marie en 1953 avec Elodie Constantin, une danseuse avec qui il fait trois enfants : Patricia, en 1958 (décédée dans un incendie en 1994), Florence, en 1960 et Paul, en 1963. Il divorce en 1966 et connaît alors de nombreuses aventures sentimentales. La presse en fera ses choux gras, notamment lors de sa liaison avec Ursula Andress puis Laura Antonelli. En décembre 2002, il épouse Natty, une ex Coco-Girl dont il partage la vie pendant 13 ans. Ensemble, ils ont une fille, Stella, née le 13 août 2003.

En août 2001, Jean-Paul Belmondo a été victime d’un accident vasculaire cérébral qui a nécessité plusieurs jours de soins intensifs à l’hôpital Saint-Joseph de Paris.

Fin 2008, Jean-Paul Belmondo et Natty annoncent leur séparation, quelques mois avant la sortie sur grand écran d’Un homme et son chien, signant le grand retour de Bebel.

Filmographie :
2008 : Un homme et son chien, de Francis Huster
2000 : Les Acteurs, de Bertrand Blier
2000 : Amazone, de Philippe de Broca
1999 : Peut-être, de Cédric Klapisch
1998 : Une chance sur deux, de Patrice Leconte
1996 : Désiré, de Bernard Murat
1995 : Les Misérables, de Claude Lelouch
1995 : Les Cent et une nuits de Simon Cinéma, d’Agnès Varda
1992 : L’Inconnu dans la maison, de Georges Lautner
1988 : Itinéraire d’un enfant gâté, de Claude Lelouch
1987 : Le Solitaire, de Jacques Deray
1986 : Les pros, de Florence Moncorgé-Gabin (documentaire)
1985 : Hold-up, d’Alexandre Arcady
1984 : Les Morfalous, d’Henri Verneuil
1984 : Joyeuses Pâques, de Georges Lautner
1983 : Le Marginal, de Jacques Deray
1982 : L’As des as, de Gérard Oury
1981 : Le Professionnel, de Georges Lautner
1980 : Le Guignolo, de Georges Lautner
1979 : Flic ou voyou, de Georges Lautner
1977 : L’Animal, de Claude Zidi
1976 : Le Corps de mon ennemi, d’Henri Verneuil
1976 : L’Alpagueur, de Philippe Labro
1975 : Peur sur la ville, d’Henri Verneuil
1975 : L’Incorrigible, de Philippe de Broca
1974 : T’es fou Marcel…, de Jean Rochefort (court-métrage)
1974 : Stavisky… (L’empire d’Alexandre), d’Alain Resnais
1973 : Le Magnifique, de Philippe de Broca
1973 : L’Héritier, de Philippe Labro
1972 : La Scoumoune, de José Giovanni
1972 : Docteur Popaul, de Claude Chabrol
1971 : Les Mariés de l’an II, de Jean-Paul Rappeneau
1971 : Le Casse, d’Henri Verneuil
1970 : Borsalino, de Jacques Deray
1969 : Un homme qui me plaît, de Claude Lelouch
1969 : Le Cerveau de Gérard Oury
1969 : La Sirène du Mississippi de François Truffaut
1969 : Dieu a choisi Paris documentaire de Gilbert Prouteau et Artuys
1968 : Ho ! de Robert Enrico : François Holin, dit « Ho »
1967 : Le Voleur, de Louis Malle
1967 : Casino Royale, de John Huston (sketch)
1966 : Tendre Voyou, de Jean Becker
1966 : Paris brûle-t-il?, de René Clément
1966 : Le Démoniaque, de René Gainville (non crédité)
1966 : La Bande à Bebel, de Charles Gérard (court-métrage documentaire)
1965 : Pierrot le fou, de Jean-Luc Godard
1965 : Par un beau matin d’été, de Jacques Deray
1965 : Les Tribulations d’un Chinois en Chine, de Philippe de Broca
1965 : Jean-Paul Belmondo, de Claude Lelouch (court-métrage documentaire)
1964 : Week-end à Zuydcoote, d’Henri Verneuil
1964 : Les Don Juan de la Côte d’Azur, de Vittorio Sala (non crédité)
1964 : La Chasse à l’homme, d’Edouard Molinaro
1964 : L’homme de Rio, de Philippe de Broca
1964 : Echappement libre, de Jean Becker
1964 : Cent mille dollars au soleil, d’Henri Verneuil
1963 : Peau de banane, de Marcel Ophüls
1963 : Le jour le plus court, de Sergio Corbucci
1963 : Le Doulos, de Jean-Pierre Melville
1963 : La mer à boire (Mare Matto), de Renato Castellani
1963 : L’Aîné des Ferchaux, de Jean-Pierre Melville
1963 : Dragées au poivre, de Jacques Baratier
1962 : Un singe en hiver, d’Henri Verneuil
1962 : Un coeur gros comme ça, de François Reichenbach (documentaire)
1962 : Cartouche, de Philippe de Broca
1961 : Une femme est une femme, de Jean-Luc Godard
1961 : Un nommé La Rocca, de Jean Becker
1961 : Riviera-Story, de Wolfgang Becker
1961 : Les Amours célèbres, de Michel Boisrond
1961 : Léon Morin, prêtre, de Jean-Pierre Melville
1961 : La Novice, d’Alberto Lattuada
1960 : Moderato Cantabile, de Peter Brook
1960 : Les Distractions, de Jacques Dupont
1960 : La Viaccia (Le mauvais chemin), de Mauro Bolognini
1960 : La Française et l’amour, d’Henri Verneuil
1960 : La Ciociara (La paysanne aux pieds nus), de Vittorio de Sica
1960 : Classe tous risques, de Claude Sautet
1960 : A bout de souffle, de Jean-Luc Godard
1959 : Mademoiselle ange, de Geza Radvanyi
1959 : Charlotte et son jules, de Jean-Luc Godard (court-métrage)
1959 : A double tour, de Claude Chabrol
1958 : Un drôle de dimanche, de Marc Allégret
1958 : Sois belle et tais-toi, de Marc Allégret
1958 : Les Tricheurs, de Marcel Carné
1957 : Les copains du dimanche, d’Henri Aisner
1957 : À pied, à cheval et en voiture, de Maurice Delbez
1956 : Molière, de Norbert Tildian (court-métrage

Elisabetta Canalis : Au large de la Croisette, elle dévoile son atout bikini !

La sculpturale Elisabetta Canalis déclarait récemment au magazine Be : « Il n’y a pas d’arme pour séduire« . Elle, en revanche, n’en manque pas… L’Italienne de 32 ans qui a conquis le coeur de George Clooney, le célibataire le plus endurci d’Hollywood, est réputée pour son corps de rêve, à la fois sportif et fin. Elle vient de le dévoiler pour la nouvelle campagne de l’association de défense des animaux PeTA en déclarant : « C’est vraiment un rêve qui se réalise. PeTA est l’une des associations les plus puissantes du monde et c’est véritablement un privilège de travailler avec eux. C’est le meilleur prétexte pour se dénuder. »

Un autre bon prétexte pour se déshabiller ? Être invitée sur le yacht d’un ami, le couturier Roberto Cavalli, qui a largué les amarres au large de la Croisette. Avant une éventuelle montée des marches, Elisabetta s’est offert une belle séance de bronzette entre copines. Le mieux, pour prendre soin de son teint, un minuscule maillot de bain. Il faut avoir confiance en son corps pour porter une chose pareille et visiblement, Elisabetta a vraiment foi en son ravissant fessier.

Allez, on fait un tour au dressing Cavalli et on monte les marches, plus vite que ça !

Biographie de Alain Barrière

Il est des chanteurs dont le nom est souvent associé à une chanson, un refrain. Alain Barrière est de ceux-là. L’inoubliable Ma Vie, c’est lui. Et pourtant, rien ne prédisposait ce breton à la chanson.
Fils de mareyeurs, Alain Bellec naît le 18 novembre 1935 à La Trinité sur Mer. Enfant de la nature solitaire, il s’intéresse à tout et devient un brillant élève. En 1955, il entre à l’Ecole Nationale des Ingénieurs des Arts et Métiers, et en sort diplômé en 1960. Entre temps, la guitare, les poètes Francis Carco et Robert Desnos sont entrés dans sa vie, et Alain Bellec couche ses premières chansons. Alors en poste à Paris dans une grosse société de pneumatiques, il participe en 1961 au concours du Coq D’or, un nom évocateur, sous le pseudo d’Alain Barrière ; il participe à la finale à l’Olympia et se fait remarquer avec sa chanson Cathy. Il signe alors son premier contrat avec Bruno Coquatrix.
En 1963, Alain Barrière est sélectionné pour représenter la France à l’Eurovision avec le titre Elle était si Jolie. Il termine cinquième, mais le succès est au rendez vous et sa carrière peut alors véritablement décoller. L’année suivante, son premier album, Ma Vie, confirme le talent du chanteur. Les hits s’enchaînent alors, comme Rien qu’un Homme, Emporte-moi ou les Ginguettes. Ses apparitions à l’Olympia sont triomphales, Alain Barrière est au sommet de la gloire.
Pour autant, il reste quelqu’un de marginal dans le milieu, préférant la rudesse d’un vieux moulin dans les Yvelines aux lustres des palaces parisiens. Il entretient peu de rapports avec les journalistes et le show-biz. Si bien qu’au début des années 70, il crée sa propre maison de disque, Albatros. Les radios et la télévision le snobent, mais son public lui reste fidèle. Pourtant, en 1975, son duo avec Noëlle Cordier, Tu t’en vas, se vend à plus d’un million d’exemplaires et se retrouve en tête des classements en Allemagne ! En février de la même année, il épouse Agnès qui lui donne un enfant quelques mois plus tard, Guénaelle. 75 reste une année marquante pour le breton, puisqu’il réalise un vieux rêve : dans la plus pure tradition bretonne, il construit un Théâtre-Discothèque-Restaurant à Carnac, Le Stirwen.
Mais tout n’est pas rose pour le chanteur, qui doit s’exiler aux Etats-Unis en 77 pour échapper à des problèmes qu’il rencontre avec le Fisc. Il tente un come-back 4 ans plus tard sans succès, et c’est alors au Canada qu’il s’installe avec sa famille. Au début des années 90, il retrouve le Stirwen, ruiné, mais heureux. En 1997, il occupe un temps le devant de la scène avec une compilation intitulée Ma Vie : Trente années de chansons et un nouvel album, Barrière 97. En 2003, il reçoit la récompense du Trophée de la Nuit, pour sa discothèque bretonne, couronnement des nuits qu’il organise depuis presque 30 ans… Une tournée au Canada et en France suite à une nouvelle compilation sortie en 2006, une biographie la même année, puis un nouvel album en 2007… Alain Barrière ne se pose plus de barrières lorsqu’il s’agit de sa carrière…

Alain Barrière : Après 50 ans de carrière, il prend une grande décision…

Début janvier, Alain Barrière était victime d’un nouvel accident vasculaire cérébral. Après une passage à l’hôpital américain de Neuilly, puis à celui de Vannes, le chanteur retrouvait sa maison de Bretagne pour s’y reposer. Dix jours après l’accident, sa fille Guénaëlle rassurait sur son état de santé. Le chanteur devait faire la promotion d’un triple best of, mais ces prestations télé ont dû être annulées.

Mardi, Alain Barrière annonce à l’AFP qu’il remontera sur scène à la rentrée. L’auteur de Ma Vie, Cathy ou Tu t’en vas se produira le 16 septembre au Palais des Congrès de Paris pour faire ses adieux à la scène après 50 ans de carrière : « Comme on m’avait relancé cette année pour que je fasse un concret gratuit à la Trinité-sur-mer [sa ville natale, ndr], je me suis dit que ce serait bien de faire aussi quelque chose à Paris et de repasser une très bonne soirée ensemble, le public et moi. Je vais chanter avec des amis [le public, ndr], qui parfois connaissent mieux mes chansons que moi, et on va chanter tous ensemble pour finir. » Alain Barrière promet également des surprises pour ses fidèles : « Je rajouterai peut-être une ou deux chansons nouvelles et il y aura peut-être la surprise d’une chanteuse qui viendra chanter avec moi« , a-t-il ajouté.

C’est donc à la fois une bonne nouvelle et un déchirement que ces adieux d’Alain Barrière : une bonne nouvelle de le savoir capable à 75 ans de remonter sur scène après cet inquiétant AVC. Inquiétant car il s’agissait déjà du troisième comme le révélait sa fille dans une interview à Ici Paris : un premier en 2007 et un second plus grave, tenu secret, en 2009 et pour lequel le chanteur a mis un an à se remettre.

Quelques jours avant ses adieux parisiens, Alain Barrière est attendu le 10 septembre lors d’un grand concert gratuit à la Trinité-sur-mer. Alain Barrière a démarré sa carrière en 1961 en participant au concours du Coq d’or de la chanson française avec Cathy. S’il ne gagne pas, il parvient à convaincre Bruno Coquatrix, créateur de L’Olympia, qui lui met alors le pied à l’étrier. En hommage a cette formidable carrière, réécoutons Cathy et Alain Barrière chanter : « J’irais cueillir pour toi des bouquets de muguet. Cathy si tu m’aimais au joli mois de mai. J’irais cueillir pour toi le plus bel arc-en-ciel. Cathy si tu m’aimais au mois du grand soleil…«