Archive | août 2010

DOUCE MELODIE

Douce mélodie du ruissellement

Tendre symphonie de ta voix m’appelant

Douce chaleur qui m’envahit

Ton souffle me parcourant, mon corps frémit

Douce brise m’effleurant

Sur moi délicatement tes doigts me caressant

Doux parfum floral que je puisse humer

De celui de ton corps j’en suis enivrer

Douce et splendide beauté naturelle

Simplement de ton amour qui m’ensorcelle

Douce sensation de bien-être

Lorsque je suis si près de toi, mon être

J ‘ouvre les yeux tu n ‘es plus là

Tendrement je vais les refermer

Pour que je ne puisse te laisser … t’envoler

 

BEAUX MECS

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

JE SUIS COMME DANS UN REVE

 

Mon corps était en sommeil

mon corps était en veille

Depuis que je r’ai rencontré

Je suis dans un rêve et j’ai peur de me réveiller

 

J’ai envie de t ‘aimer

J’ai envie de t’embrasser

Jusqu’à la déraison

Jusqu’à l’assouvissement de ma passion

 

Tu es l’ange du mal

Même sans me faire mal

Tu es mon démon à moi

Mon  maître vénéré c’est toi

 

Lorsque ton corps sur mon corps

Et que je t’en demande encore

Tu me fais perdre toute retenue

Affamée de baisers, je me sens perdue

 

De ton corps je veux me rassasier

Tu me caresses et tout est oublié

Je ne suis la même

Depuis que je suis devenue tienne

 

Par mon abandon je veux te prouver

Combien je veux t’aimer

Pourtant j’ai aussi pouvoir sur  toi

Par le désir que je sens monter en toi

 

Je suis si faible face à toi

Tu fais ce tu veux de moi

Dans tes bras abandonnée

Mon corps à tes désirs, laissé

 

Etre tout à toi

Te faire don de moi

Sans foi ni loi

Te vouloir être qu’à moi

 

A peau me frotter

Sans limites, à toi m’abandonner

Gémir de désir

Et t’enivrer de plaisir

 

Te faire goûter à tous les délices 

Jouer de nos corps avec malice

Sous tes doigts, mes cheveux tirés

Vers toi mon corps attiré

 

Sentir ton plaisir monter en moi

Jusqu’à l’extase, te sentir exploser en moi

Oublier toute réalité

Ton regard vers moi les yeux mouillés

 

Plus fort encore je voudrais t’aimer

Dans tes bras toujours me serrer

Jusqu’à la mort t’appartenir

Tes désirs toujours les assouvir