Archive | 27 avril 2011

Poly Styrene, l’icône punk est décédée…

Née Marianne Elliot-Said en juillet 1957, la légendaire chanteuse Poly Styrene, leader du groupe punk X-Ray Spex, est décédée, hier, des suites d’un cancer de la moelle épinière et de la poitrine.

 

Après une adolescence fugueuse, elle enregistre en 1976 Silly Billy sous le nom de Mari Elliot, un premier single reggae sans grand succès. Le jour de son 18e anniversaire, elle se rend à un concert des Sex Pistols : un véritable choc !

Elle décide de monter un groupe punk, prend le pseudo de Poly Styrene et sort l’album Germ Free Adolescents en 1978 avec le cultissime extrait Oh Bondage Up Yours !. Poly Styrene devient dès lors, une figure féministe incontournable du mouvement punk.

La suite sera plus chaotique. Après la séparation du groupe, elle signe en 1980, un album solo Translucence au succès critique mitigé. Elle choisit peu après d’abandonner un temps l’industrie musicale et rejoint avec sa fille, un temple Hare Krishma, situé au nord de Londres. Véritable période expiatoire pour l’artiste.

En 1986, toujours sous le pseudo de Poly Styrene, elle sortira l’opus God’s & Godesses à la musicalté plus jazzy, puis en 2004, l’album Flower Aeroplane, de style new-age.

Le grand retour se déroule en 2007, avec la reformation de X-Ray Spex pour quelques concerts. De nombreux admirateurs décriront l’énergie intacte du groupe, quelques trente ans plus tard.

En mars 2011, Poly Styrene venait de nous offrir Generation Indigo, produit par Martin Glover de Sonic Youth : un album qui sonne comme le testament musical d’une véritable icône punk…

Ces messieurs en maillot

Hugh Jackman

Pour batifoler dans l’eau, le comédien Hugh Jackman n’a pas besoin de grand-chose, si ce n’est d’un bermuda de bain noir ultra classique. C’est sûr qu’avec un corps pareil, il n’a pas besoin de porter un short rose fluo pour être remarqué.

Ashton Kutcher

En voyant Ashton Kutcher en maillot de bain, on comprend bien pourquoi la marque Calvin Klein a fait appel à lui pour sa ligne de sous-vêtements alors qu’il était encore un jeune étudiant à la fac.

Justin Timberlake

Il est rare d’apercevoir le chanteur américain Justin Timberlake en maillot de bain. Lors de ces occasions si attendues, les fans le décortiquent de la tête au pied : a-t-il pris du poids ? A-t-il de nouveaux tatouages ? etc.

Matthew McConaughey

Le comédien américain Matthew McConaughey adore se dépenser sur la plage. Lorsqu’il ne fait pas des abdominaux à même le sable, voilà qu’il se lance dans un jogging tonique. Et toujours en maillot de bain s’il vous plaît.

Daniel Craig

Le comédien Daniel Craig, alias James Bond au cinéma, n’est apparemment pas porté sur le slip de bain. Pour être à l’aise sur les plages du monde entier, c’est bermuda ou rien.

Zach Braff

Zach Braff, le héros de la série Scrubs, ne quitte jamais son regard mystérieux, qu’il soit dans les rues de Los Angeles, sur un plateau de tournage ou sur la plage en train de promener ses chiens.

James Blunt

Le chanteur britannique James Blunt possède une jolie villa à Ibiza. Tous les ans, il s’y rend pour profiter des soirées, du soleil et bien sûr de la mer.

Jesus Luz

Lorsque le top model brésilien Jesus Luz sort de l’eau, il est impossible de ne pas s’arrêter quelques minutes sur ses pectoraux. On comprend mieux pourquoi Madonna s’est laissée subjuguer.

Cristiano Ronaldo

Espérons que Cristiano Ronaldo emmène prochainement son fiston né le 17 juin au bord de l’eau, histoire de lui faire découvrir les joies de la baignade. Pendant ce temps-là, curieux et curieuses pourront admirer le footballeur vêtu d’un simple short de bain.

Simon Baker

En vacances, le comédien Simon Baker abandonne son costume de mentaliste pour revêtir une tenue plus adéquate aux chaudes températures. En bermuda de bain, il laisse les baigneuses contempler son torse viril. On dit ‘merci’.

Jude Law

Il faut bien se faire une raison, le comédien britannique Jude Law a enfin l’intention d’épouser l’actrice Sienna Miller. Pourvu que la future mariée ne compte pas lui interdire de se baigner. Ce serait vraiment du gâchis.

Christian Slater

Le comédien américain Christian Slater a fait partie des sex symbols des années 1990. L’acteur n’a rien à regretter, il a encore de beaux restes !

Orlando Bloom

Qui l’eut cru ? Lorsque le comédien britannique Orlando Bloom se sépare de ses vêtements pour une petite baignade, il n’est plus qu’une simple crevette au bord de la piscine. Apparemment, l’acteur ne sait pas ce que le mot « muscu » signifie.

Amaury Nolasco

Révélé au public français par la série Prison Break, le comédien Amaury Nolasco a su s’attirer les faveurs de la gent féminine. Il faut dire qu’avec son joli minois et son corps de rêve, comment en aurait-il pu être autrement ?

Chace Crawford

Le comédien américain Chace Crawford cartonne dans la série Gossip Girl aussi bien pour son talent d’acteur que pour son physique de jeune premier. Le préférez-vous en costume ou en short de bain ?

Gavin Rossdale

Le musicien britannique Gavin Rossdale est accro au sport, comme sa femme Gwen Stefani. Les amoureux, qui affichent des silhouettes parfaites, veulent montrer l’exemple à leurs fils Kingston et Zuma.

Des bimbos célèbres…

Pamela Anderson

La bimbo par excellence n’est autre que l’actrice américaine Pamela Anderson. Pulpeuse à souhait, elle a su faire de ses formes généreuses un atout de séduction et une source non négligeable de revenu.

Paris Hilton

Paris Hilton joue très bien le rôle de bimbo en se faisant passer pour une blonde écervelée. Mais la jeune femme s’est révélée être une businesswoman de génie, qui a su multiplier les dollars rien qu’en faisant de son nom un véritable outil marketing.

Tara Reid

Tara Reid était une comédienne prometteuse lorsqu’elle s’est lancée dans le milieu du cinéma. Ses mauvaises fréquentations l’ont rapidement poussée à opter pour une carrière de jet-setteuse/bimbo. Elle ne pense qu’à faire la fête et est obsédée par sa plastique : déprimant !

Kim Kardashian

Comme toute bimbo qui se respecte, l’Américaine Kim Kardashian est du genre mégalo. Même si elle paraît moins peste que sa rivale Paris Hilton, elle n’en reste pas moins obnubilée par son nombril.

Carmen Electra

L’actrice américaine Carmen Electra fait indéniablement partie des bimbos des années 1990. Tenues moulantes, maquillage grossier voire vulgaire et poses lascives font partie de son secret pour être sexy et pas franchement glamour

Katie Price

Si vous cherchez une bimbo britannique, pas besoin d’aller plus loin : voici Katie Price. Avec elle, tout y est : les longs cheveux épais, la bouche sublimée de gloss, une tenue affriolante et bien évidemment une poitrine loin d’être 100% naturelle.

Clara Morgane

L’ex-star du porno Clara Morgane a quelque chose de ‘bimbonesque’. Mais il ne faut pas s’y tromper : derrière ses airs naïfs se cache une véritable femme d’affaires qui est à la fois animatrice télé, chanteuse, styliste, etc.

Victoria Silvstedt

La jolie Victoria Silvstedt, qui joue la potiche dans l’émission La roue de la fortune, est du genre bimbo qui s’assume. La Suédoise travaille son look, ses mimiques et son attitude pour entretenir son image de blonde écervelée. Et ça paye : sollicitée de toutes parts, elle voyage aux quatre coins de la planète !

Celyne Durand

Dernièrement, la comédienne Celyne Durand s’est illustrée dans l’émission de télé réalité La Ferme Célébrités sur TF1. Nombreux sont ceux à l’avoir surnommée la bimbo de la ferme. Voilà un rôle qu’elle ne regrette pas : elle savait pertinemment qu’elle avait été choisie par TF1 pour son joli minois et non pour sa conversation.

Sabrina

La chanteuse italienne Sabrina a marqué des générations en dansant dans une piscine vêtue d’un bikini dix fois trop petit pour elle dans le clip de son titre Boys, boys, boys. Aujourd’hui, Sabrina a préféré abandonner le look vulgaire au profit d’un style plus glamour et plus chic.

Samantha Fox

La chanteuse anglaise Samantha Fox a connu un énorme succès dans les années 1980 grâce à ses tubes endiablés et son incroyable tour de poitrine. Icône sexy, elle fait partie des bimbos les plus emblématiques de la planète.

Nicole Scherzinger

On ne dirait pas comme ça, et pourtant, la chanteuse américaine Nicole Scherzinger, du groupe Pussycat Dolls, est bel et bien une bimbo. La jeune femme a du talent mais joue plus que de raison de ses charmes pour séduire le public. Vêtements moulants et crinière sauvage sont ses marques de fabrique.

Heidi Montag

L’Américaine Heidi Montag n’est autre que l’une des héroïnes de la série-documentaire The Hills, diffusée sur MTV. En l’espace de quelques années, elle est devenue une véritable bimbo. Elle a subi plusieurs opérations de chirurgie esthétique et elle tente tout ce qui est possible pour retenir l’attention des photographes.

Loana

Lorsque Loana a remporté la première édition de l’émission de télé réalité Loft Story, elle incarnait la bimbo par excellence. Grande, blonde, poitrine généreuse et corps particulièrement bien sculpté lui ont rapidement collé l’étiquette d’écervelée sexy.

Shauna Sand

La playmate américaine Shauna Sand passe son temps à lézarder sur la plage dans les plus petits bikinis de sa collection. Dans son sac de plage, elle n’oublie pas sa crème solaire pour ne pas attraper de coup de soleil ainsi qu’une large paire de lunettes de soleil : ce serait tellement dommage d’être repérée par la foule en délire.

Les stars sans fards

Claire Danes

Forte d’un Golden Globe pour son rôle dans la mini-série ‘Temple Grandin’, Claire Danes est très demandée. Du coup, elle ne prend même plus le temps de se maquiller avant de sortir ! Mais elle assure avec son teint diaphane et ses lèvres naturellement colorées. L’actrice veut-elle nous réconcilier avec la tendance naturelle ?

Pamela Anderson

Avec ce chignon indiscipliné et ces yeux qui ne sont plus habitués à vivre sans faux-cils et rimmel, Pamela Anderson a perdu de sa superbe ! Dur pour l’ex-bimbo de la série ‘Alerte à Malibu’ qui, à l’aube de ses 43 ans, doit revoir à la baisse son titre de poupée blonde !

Natalie Portman

L’actrice nominée aux Oscars pour son rôle de danseuse classique dans ‘Black Swan’ n’a rien d’une ballerine sur ce cliché. Les sourcils froncés et le regard anxieux, elle se mord les doigts d’être sortie sans ses lunettes de soleil ou un peu de blush !

Amanda Seyfried

Mamma mia, la séance de fitness a dû être rude ! La talentueuse Amanda Seyfried s’est dépensée au point de faire virer la pigmentation de sa peau au pourpre. Avec son look foutraque, l’actrice américaine fait mentir ceux qui l’érigent au rang des beautés d’Hollywood !

Hayden Panettiere

Un serre-tête perlé, voilà une idée brillante pour illuminer une mine fatiguée. Mais ce n’est pas suffisant pour l’héroïne de la série ‘Heroes’. Hayden Panettiere s’est déjà montrée sous des jours meilleurs !

Whitney Houston

Méconnaissable sur la plage, Whitney Houston n’a plus besoin de bodyguard avec cette silhouette fatiguée et cette mine défraîchie. Que cherche-t-elle du regard ? Un miroir ? Un magicien ?

Ashley Greene

Difficile d’imaginer que cette femme est en fait l’actrice phénoménale de la saga ‘Twilight’. Après s’être dépensée dans une salle de sport à Los Angeles, Ashley Greene a bien besoin d’être épongée…

Liv Tyler

Oh les valises ! Celles qui se sont logées sous le regard de la comédienne américaine Liv Tyler sont bien visibles. L’actrice a sérieusement besoin de vacances… Elle peut aussi se contenter de tirer vers le bas sa capuche fourrée !

Lily Allen

Dans les rues de Londres, la chanteuse britannique n’a jamais aussi bien porté ses 25 printemps. Elle arbore la mine d’une adolescente en manque cruel de sommeil et de vitamines. Rien de grave Lily : Smile !

Jessica Biel

Une silhouette sculptée et des muscles saillants ne suffisent pas à supplanter un visage épuisé. La comédienne Jessica Biel a beau se cacher sous une casquette, ses cernes et ses yeux rougis ont soif… de fond de teint et de poudre aux yeux !

Gisele Bündchen

La nature est trop injuste ou trop généreuse avec le top model brésilien. Même sans une once de maquillage, Gisele Bündchen est radieuse. Qu’importent le regard effaré et la mèche rebelle de la jeune femme, ses fossettes naturellement rosées la gardent au top !

Ali Larter

Le soleil californien flatte le teint de l’héroïne de la série ‘Heroes’. Avec l’eau de mer qui ruisselle sur son visage, Ali Larter a raison d’adopter cette attitude fière.

Gwyneth Paltrow

Sous son vilain bonnet, la comédienne britannique est transparente. La température polaire ne lui réussit pas, ses sourcils non-dessinés et ses lèvres sèches ne lui rendent pas grâce. Gwyneth Paltrow devrait demander conseil à son amie Madonna qui ne sort jamais sans mascara !

Kate Moss

Le top model britannique est une icône de beauté. Mais elle aussi connaît des jours sans : avec ses petits yeux et son nez rougi, Kate Moss n’est plus la même. Vite de la poudre et du rouge aux lèvres pour que la brindille retrouve de sa superbe !

Sienna Miller

Où est donc passé le teint frais et lumineux de l’irrésistible Sienna Miller ? Dans les rues de Londres, l’actrice a eu la main légère sur le maquillage. Coiffure ébouriffée et peau à nue, elle n’en reste pas moins craquante !

Sharon Stone

Le temps qui passe n’arrange rien pour Sharon Stone. Avec sa peau chiffonnée et ses rides apparentes, l’actrice américaine a beau sourire, on lit dans son regard l’envie de se cacher loin… sous des couches de make-up !

Jessica Alba

Mais comment fait Jessica Alba pour rester séduisante sans artifices ? Même si elle ne peut pas cacher les ombres qui ourlent ses yeux et qui font d’elle une femme comme les autres, l’actrice reste divine. Ne lui reste plus qu’à sourire un peu…

Hilary Swank

Il est rare de voir la star de ‘Million Dollar Baby’ aussi négligée. A peine sortie de la douche, les cernes encore creusées et la peau terne, Hilary Swank n’a pas le coeur à rire. Elle a bien raison, sa mine n’est pas réjouissante !

Naomi Watts

La nuit a-t-elle été trop courte pour l’actrice de ‘King Kong’ ? Sans maquillage, le visage de Naomi Watts affiche des rougeurs et une peau tirée qui mériterait bien du repos, un peu de soleil ou un bon coup de pinceau !

Beyoncé

En maillot de bain sur son yacht, la diva du R’n’B arbore un visage naturel, sans une trace de gloss et de paillettes qu’elle affectionne tant. Ouf, les boucles d’oreilles bling-bling et son teint caramel lui sauvent la peau. Chanceuse !

Foire de Dijon : L’île Maurice invitée d’honneur de l’édition 2011 !

Dans un communiqué reçu mardi 26 avril 2011, Dijon Congrexpo informe que l’île Maurice sera le pays hôte d’honneur de la 81e foire internationale et gastronomique de Dijon, qui se tiendra du 1er au 13 novembre 2011. 

Pour en savoir plus, lire le communiqué ci-dessous.  

« C’est officiel : l’île Maurice sera le pays hôte d’honneur de la 81e foire internationale et gastronomique de Dijon, qui aura lieu du 1er au 13 novembre 2011. Après la Grèce en 2009 et la Hongrie en 2010, cette île paradisiaque de l’océan indien apportera incontestablement une touche d’exotisme et de dépaysement à la 5e foire de France.  

Située au cœur de l’archipel des Mascareignes, à 10 000 km de la France, l’île Maurice cultive ses airs de carte postale tropicale : plages de sable blanc, cocotiers et mer bleue turquoise pourraient facilement résumer les attraits touristiques de l’île si cette destination n’offrait d’autres atouts indéniables. Les amoureux de la nature apprécieront le cœur de l’île avec ses luxuriantes forêts indigènes et le sud, doté de panoramas époustouflants. 

Outre une nature enchanteresse, Maurice possède une richesse inestimable : l’extrême diversité de sa population. Indiens, Créoles et Chinois cohabitent dans une joyeuse harmonie colorée et enrichissent le patrimoine de l’île de leurs us et coutumes propres. Maurice est considérée comme un véritable melting-pot culturel. Dans tout le pays, festivals et fêtes traditionnelles rythment la vie multiculturelle d’une population attachante et chaleureuse. 

La cuisine mauricienne est aussi cosmopolite que les habitants de l’île et se situe au carrefour des traditions indienne, chinoise, créole et européenne. Le poisson, les fruits de mer, le curry, le gingembre, la coriandre et le riz en sont les ingrédients de base. Les rougails et carries sont le pilier de la cuisine créole mauricienne. L’économie mauricienne se porte bien. Les principales richesses de l’île proviennent de la culture de la canne à sucre, de l’industrie textile, du tourisme et des services financiers offshore. Maurice produit également du thé et du tabac. 

L’île Maurice possède donc de nombreux atouts qui justifient le choix de ce pays comme hôte d’honneur de la prochaine foire internationale et gastronomique de Dijon. »

MAISONS DE STARS

Shaquille O’Neal, le géant, a trouvé une maison à sa taille !

Pour le confort de ce géant du basket, il fallait au moins cette villa colossale. Shaquille O’Neal profite chaque jour de son accès privé à la plage de Miami. Il peut ensuite effectuer une partie de tennis et un plongeon dans sa piscine privée. Dure, la vie de star !

Rosie O’Donnell face à la baie de Miami

Cette villa où les palmiers forment une haie d’honneur appartient à Rosie O’Donnell. Actrice et animatrice de télévision américaine, elle reste discrète mais n’a pas pu résister aux sirènes de Miami ! La piscine et la vue imprenable sur l’océan sont à tomber.

Cher dans une maison-village

Cher a choisi un terrain isolé de tout, à Malibu, pour construire la maison de ses rêves. Et le résultat est époustouflant : arcades, pierres couleur café, court de tennis, pelouse vallonnée. C’est tellement grand qu’elle pourrait y faire vivre un village !

Pamela Anderson dans une maison rose !

Courir en maillot de bain rouge sur la plage a permis à Pamela Anderson d’acquérir cette immense villa à Los Angeles. Ce havre de paix, aux murs rose pâle, a tout pour satisfaire la naïade mais elle s’en est déjà lassée et prévoit de le vendre !

Ricky Martin vit dans un immense manoir !

Miami est résolument la terre de prédilection des stars fortunées. C’est ici que Ricky Martin a acquis ce manoir imposant. Sa position sur la baie est aussi bien étudiée que sa facture méditerranéenne. Une villa qui fait des envieux !

Lionel Richie trône dans un château

C’est un château, rien de moins ! Lionel Richie a fait construire une demeure gigantesque, servie par des dizaines d’escaliers, de terrasses et de petits jardins sur une colline. Un cadre idyllique qui a servi de décor pour le mariage de sa fille Nicole Richie, en décembre 2010.

Céline Dion, sa villa démesurée

Il faudrait bien plus qu’une seule photo pour représenter la villa titanesque de Céline Dion. Située sur l’île de Jupiter en Floride, elle comporte des piscines interminables, un parc aquatique et deux courts de tennis. Elle vaut 19,5 millions de dollars !

Jennifer Aniston sous le soleil de Malibu

C’est ici que l’héroïne de Friends parfait son bronzage : dans cette magnifique piscine bleu intense, au bord de cette villa aux tons clairs. L’actrice est ravie : son amie Courteney Cox vit à deux pas !

Tori Spelling aime le style contemporain

On pouvait s’attendre à une maison plus clinquante pour la fille du richissime producteur Aaron Spelling, et pourtant Tori Spelling vit dans cette bâtisse californienne où la végétation est luxuriante et l’architecture bien contemporaine.

Tom Cruise et Katie Holmes dans un manoir british

Tom Cruise a investi dans ce manoir aux atours british, d’une valeur de 35 millions de dollars, à Los Angeles. Avec sa femme Katie Holmes, il a choisi de s’installer sous le soleil californien juste à côté de ses amis, les Beckham !

Matt Damon agrandit encore sa maison !

Matt Damon n’avait pas assez de son immense propriété au toit de brique située à Miami, alors il a racheté la maison voisine. Après l’avoir rasée, il est en train de construire la nouvelle aile de sa villa… Il faut bien loger sa famille nombreuse !

Billy Joel opte pour le style méditerranéen

Le chanteur aux six Grammy Awards a pris sa retraite en 1993 après une vie artistique couronnée de succès. Il coule des jours heureux dans cette maison méditerranéenne achetée 13,5 millions de dollars. Et si la piscine est trop petite, il lui reste la mer chaude au bout de l’allée…

Mariah Carey, une maison à l’abri des regards

Cette maison nichée à Bel Air, bien à l’abri des regards, permet à Mariah Carey de s’adonner à ses plaisirs personnels. Avec des espaces verts étirés sur plus d’un hectare et les différentes ailes de la maison, elle pourra élever tranquillement ses jumeaux.

Lenny Kravitz vit à Miami, évidemment !

Lenny Kravitz a acheté cette immense propriété cernée de palmiers, sur la baie de Miami. Le chanteur a vu aussi grand que sa carrière, avec cette oeuvre architecturale aux lignes droites qui en imposent à côté des maisons voisines.

Jennifer Lopez, une maison de diva !

Tous les signes ostentatoires de luxe sont réunis dans la propriété de Jennifer Lopez. La star latina n’avait pas assez de sa maison à New York, ni de celle de Los Angeles, alors elle a acheté l’une des plus grandes de la baie de Miami. Et y a amarré son yacht !

Robbie Williams s’offre un domaine à Beverly Hills

Paradisiaque ! Cette immense résidence aux lignes parfaites a tout de la maison de princesse. C’est celle que Robbie Williams s’est offert pour s’installer avec son épouse Ayda Field. A 37 ans, le chanteur vit dans ce manoir au coeur de Beverly Hills, qu’il a payé 20 millions de dollars !

Enrique Iglesias, une maison sur la mer

Le chanteur Enrique Iglesias a grandi à Miami et n’a jamais voulu quitter cette parcelle de paradis. Déjà bien loti par son père Julio Iglesias, il s’est fait un nom avec ses propres tubes et n’a pas lésiné sur les moyens en s’installant à Sunset Island.

Anna Kournikova sous le soleil de Miami

Anna Kournikova a peut-être arrêté rapidement sa carrière de tenniswoman, mais elle a eu le temps d’épargner assez d’argent pour investir dans cette coquette maison à fleur d’océan, à Miami. Elle a choisi de vivre sous le soleil de la Floride à deux pas de son boyfriend Enrique Iglesias.

X Factor : Une vraie showwoman éliminée, C. Willem « pas fier d’être français » !

Ah que ce mardi 26 avril 2011, les onze candidats encore en lice dans la phase finale de X Factor, en direct depuis les studios du Lendit de la Plaine Saint-Denis, se devaient d’allumer le feu pour tenter d’embraser une audience jusque-là dramatiquement faiblarde (même si les jurés ne se sentent pas forcément concernés !) et pour faire honneur à l’invité très spécial de ce second prime live : Johnny Hallyday (« ah que c’est les studios du Lendit ou du mardi, alors ?« , aurait-il demandé, selon des sources proches des Guignols de l’info).<:aside>

 

 

M6 a bien compris qu’il fallait pimenter encore le jeu pour avoir une chance de redresser la barre. Pour cela, deux solutions : s’en remettre exclusivement aux protagonistes (hasardeux…) ou mettre de l’huile sur le feu après un premier prime live marqué la semaine dernière par l’élimination du groupe Twem sur fond de très vives tensions qui se sont déclarées entre les jurés Olivier Schultheis et Henry Padovani. « Cette semaine, le combat continue« , anticipe la voix off, tandis que défile un medley des banderilles échangées par les deux jurés-compétiteurs. 

Est-ce un effet secondaire de cette volonté de corser le programme : Henry Padovani se trouve rebaptisé « le Corse » ! Attention, ça risque de péter… Véronic DiCaire : « Avec Christophe, on se reculait pour laisser passer les couteaux qui volaient bas. » Les couteaux qui volent bas : c’est un mélange de coups bas et de poignards dans le dos.

Sandrine Corman fait son entrée au son de Allumer le feu – l’original, pas une reprise des onze candidats, sinon Johnny aurait risqué de faire demi-tour. La chanson incendiaire a visiblement inspiré la blonde animatrice : chevelure ébouriffée, rouge à lèvres pétant assorti au bracelet – ça claque après le style de secrétaire médicale la semaine passée.

En lice pour ce second prime live : Olivier Schultheis avec Marina D’Amico, Sarah Manesse, Bérénice Schléret ; Christophe Willem avec Cécile Couderc, Vincent Léoty, Maryvette Lair ; Véronic DiCaire avec Florian Giustiniani (victime d’une rhino-pharyngite qui l’a rendu aphone peu avant l’émission, mais qui va monter sur scène « comme un grand champion », assure maman Véronic), Raphaël Herrerias, Matthew Raymond-Barker ; Henry Padovani avec Seconde Nature et Omega.

Au menu de la soirée : une ambiance de western sur le plateau entre jurés ; une coalition anti-Schultheis « le terroriste » formée par Christophe, narquois, et Henry, viril ; un verdict du public totalement improbable qui pousse un Christophe déjà mauvais joueur par nature, et passé du mariage au divorce, à faire une sortie carrément violente. Voici notre compte-rendu de X Factor du 26 avril !

« Nous, on va très bien« , lâchent d’entrée et à l’unisson Véronic et Christophe, des sourires entendus sur le visage, tandis qu’Henry et Olivier, dents serrées, semblent prêts pour le round 2. Olivier ramasse une petite huée de base, à peine a-t-il pris la parole. Dur, dur d’être exigeant dans un programme qui ne l’est peut-être pas autant. De toute manière, c’était dans le script : il faut un méchant, et c’est lui. Espérons qu’Henry Padovani, de blanc vêtu, ne tire pas son sabre laser.

Christophe Willem gaga de sa protégée !

Véronic avait ouvert le feu avec son fantasque Anglais le 19 avril, Christophe s’en chargeait ce 2- avril en dégainant sa showwoman : « Quand mes deux idoles se rencontrent, ça donne Cécile Couderc qui retourne le plateau. » Extatique au sujet de la performance explosive – un sacré numéro, il faut l’avouer, sur un standard disco – de sa protégée la semaine dernière, Christophe jubile déjà à l’idée d’ouvrir le bal avec sa diva, Cécile, qui le décrit comme « un super manager, un ami, un confident« . « Si elle fait un album elle, où elle va aller ? Elle va faire un album de reprises ?« , s’interroge Olivier Schultheis.

Une bande enregistrée démarre tandis que Cécile se tient immobile, sculpturale, au milieu d’un groupe de danseurs. Coiffée et maquillée à la Emma Bunton, elle se lance dans une cover discoïde du dernier hit de Lady Gaga (oui, c’était elle l’autre idole de l’ami Christophe), Born this way. La voix est mal assurée, la justesse aléatoire, l’ampleur du son moindre que la semaine passée, malgré un show moins intense chorégraphiquement. Aurait-elle un problème de retour micro ? Sur la toute fin, on perçoit que sa voix craque, usée, sur une note… Entraînement trop intensif dans la semaine ? Malgré l’ovation du public, une prestation légèrement en-deçà cette semaine de la part de Cécile, toutefois toujours impressionnante en volume énergétique et en aisance sur scène… Il faudra faire un chouia plus fort lorsque Lady Gaga débarquera sur le plateau des studios Lendit.

Olivier : « On attaque très très fort, X Factor a besoin de toi, ce serait moins fun sans toi. Tu es une très très grande performeuse. Mais ton coach et toi, vous êtes dans votre zone de confort… J’ai rien à dire, c’est super. Moi, je veux la même chose en français. » « Si je n’achète pas ton album, j’achèterai sûrement ton DVD » : belle formule d’Henry, qui rebondit sur les commentaires d’Olivier, pour souligner le show. Véronic, enthousiaste, attire l’attention sur l’articulation. Répondant à Olivier, Christophe flatte sa protégée : « Tu as montré que tu pouvais faire des choses actuelles. Olivier, tu n’as qu’à lui écrire des chansons de Lady Gaga en français, ça n’existe pas ! » « Pourquoi pas ? On a une super chanteuse… Pourquoi pas ?« , réplique l’intéressé.

Première passe d’armes : les jurés bien plus mordants que les jugés !

Sarah Manesse avait divisé les jurés la semaine dernière, reprenant, d’une manière assez monotone, qui ne nous avait d’ailleurs pas embarqués non plus, le nouveau single majestueux d’Adele, Rolling in the deep. Cette fois, Olivier Schultheis a travaillé avec la demoiselle – « le plus gros potentiel de X Factor« , pour lui – dans un registre complètement différent. Exit la pop soul pour nu-diva, Sarah entre, guitare électrique saturée en bandoulière, sur un accord résonnant, en blouson de cuir rouge, pour revisiter au féminin le duo électrisant d’Axel Bauer et Zazie : A ma place. Sarah n’a évidemment pas de duettiste, mais l’interprétation des couplets en voix grave, celle du refrain dans les aigus, offre une illusion de duo assez séduisante. Ce qui ne maquille pas pour autant les lacunes de la jeune femme : pas de souffle ni de coffre dans les graves, une justesse parfois précaire dans les aigus, une interprétation inégale qui se raccroche à des moments de surjeu. Canalisée cette fois par le fait de jouer de l’instrument simultanément.

Henry : « Sarah, tu es toujours aussi belle. Mais, comme au premier prime, j’ai mes doutes. Le monde dans lequel tu vas ne me plais pas. La mise en scène, c’est pas le rock que j’aime… » Et de retourner une pique d’Olivier la semaine dernière : « Olivier a demandé de l’aide. » « Ne me répète pas ce que j’ai dit« , sursaute Olivier, sourire carnassier. Comme pour Cécile, Véronic remarque le trac qui a en partie déstabilisé la candidate.

Christophe, lui aussi, remarque le trac de la demoiselle, mais préfère en imputer la faute à Olivier : « Tout le monde à ta place (jeu de mots involontaire) serait stressé, surtout avec Olivier Schultheis. » Ce dernier a de la répartie : « Pour moi, là c’est une vraie prise de risque, Christophe, pas comme ta première candidate. Il y a le fait de jouer de la guitare en live, et il y a une empreinte, de reprendre ce duo. » Christophe reprend : « La voix de Sarah, je ne l’entendais pas sur les couplets, je la retrouvais sur les refrains (…) Ah bon, ça va être la faute à la technique, maintenant« , réagit-il finalement à une objection de son collègue.

Sarah dédouane son coach : « Pour le moment, c’est moi qui choisis mes chansons. » « On est en accord artistique totale« , complète Olivier.

« En tout cas, c’est chaud entre les jurés ce soir« , ne peut que constater Sandrine Corman.

EVENEMENT : Sandrine Corman pointe le doigt et la caméra vers un cube néonisé orange dans lequel se trouve Jérôme Anthony pour Fan Factor, le suivi live sur Internet de la soirée. Ouaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh, c’est bôôôôôôô ! Une couverture Internet qui offre de nombreuses vidéos exclusives entre chaque prime, mais bénéficie de bien peu de publicité… Ce cube, c’est un peu un placard pour Jérôme Anthony…

Vincent Farmer : l’instant X… Factor ?

Christophe Willem présente ensuite son second candidat, Vincent Léoty, d’une voix aussi caverneuse en magnéto qu’il fut criard sur scène lors des auditions et du premier prime. Blessé par la précédente remarque – justifiée – d’Olivier, qu’il a « prise en pleine poire« , sur le choix attendu de sa chanson du précédent prime, il a à coeur de convaincre. Olivier craint qu’il s’obstine sur les chansons à voix, auquel cas « il n’existera pas », mais Christophe annonce un choix de chanson « carrément improbable » : on croit reconnaître l’intro d’Ailleurs de Jean-Louis Aubert… Perdu, l’orchestration nous a trompés : c’est du Mylène Farmer (ce ne serait pas une autre idole de Christophe, là ?) : Rêver !

Effectivement, le choix est décalé. Pas forcément gagnant. Car si cette distance artistique permet une vraie réinvention du morceau, Vincent, lui, ne se réinvente pas du tout. Sa toute première attaque est gueulée, la force prend le pas sur la justesse, le vibrato horripilant, le maniérisme et les vibes frivoles s’invitent encore, les éclats de voix intempestifs aussi… Pas concluant. Les jurés sont pourtant plus sensibles aux aspects positifs qu’aux points noirs.

Christophe Wil…lem pas la critique !

« On ne peut que s’incliner devant une telle performance vocale. Tu es un très grand chanteur. Mais… Je ne voudrais pas que tu le prennes mal, parce que je dirais la même chose sur mes filles, mais je préfererais quelque chose d’imparfait avec une marque. Un univers. Là tu as dix ans de retard. » Olivier a bien du mal à aller jusqu’au bout de son commentaire malgré ses remarques positives et son incitation au vote de la part du public. Henry estime lui aussi que c’était sublime mais… pas asse griffé. Véronic, étonnamment, abandonne son consensus usuel et dit clairement : « Je n’ai pas aimé ton numéro (…) Je sais que tu peux faire mieux. »

Christophe est piqué au vif : « Vincent, je suis désolé, tu n’es pas tombé sur le bon coach avec moi, puisque les trois personnes qui sont ici ont la prétention de penser qu’ils feraient mieux avec toi. J’ai rarement entendu quelqu’un se plaindre de quelqu’un qui est parfait. »

Seconde Nature ? On préfèrerait une minute aromatisée…

Avec Seconde Nature, groupe fabriqué à la va-vite par la récupération de cinq recalés des garçons – 25 ans, Henry Padovani est certain de tenir un boysband fait pour marquer les annales : « C’était un pari de faire un groupe avec quatre, non : cinq individus… » C’est le trac Henry ? Olivier, qui réclame la preuve d’une « âme de groupe », en prend pour son grade dans les effets d’annonce d’Henry, pour qui « ces gamins méritent d’exister pendant longtemps dans le paysage musical. »

Le club des 5 de Seconde Nature, fringués à mi-chemin entre Captain Samouraï Obispo et Village People, revisitent Fan, du chanteur girondin. On confirme le verdict de la semaine dernière : il n’y en a qu’un qui sache chanter. En solo, tous s’en sortent à peu près ; en choeur, c’est de nouveau la cata. La plupart n’accrochent pas les notes d’harmonie, ce qui se traduit par une chorale de chattes enrhumées, avec des filets de voix hésitants sous la ligne mélodique. Et quelle mollesse ambiante ! Ils sont vraiment cinq ? Pas des hologrammes ?

Comme la semaine dernière, Véronic commence par se fendre d’un laïus sur le mode « je vous adore ». Des cajoleries qui annoncent un « mais » : « je n’ai pas senti d’unité, il faut travailler sur votre groupe. » Christophe félicite Henry et note des progrès concrets, soulignant « des harmonies très belles » (en fait, des coups de bol) et une interprétation « très moderne« . « Votre meilleure prestation jusqu’à maintenant. »

Olivier distribue les bons points : « Bon choix de chanson – tu vois, Henry ? Imprimer une personnalité encore plus forte, mais vraiment, par rapport à la semaine dernière, c’est le jour et la nuit. » Henry est fier et demande au public de voter pour le groupe : « on n’est jamais à l’abri, vous voulez les revoir, votez pour eux« , justifie-t-il son incentive.

Johnny, première !

Dans ce second prime de X Factor, c’est un artiste pour le prix de deux (Nolwenn Leroy et Ben l’oncle Soul étaient sur le plateau la semaine passée), mais qui bosse deux fois plus : Johnny Hallyday doit chanter deux titres de son nouvel album, Jamais seul, réalisé avec Matthieu Chedid, Maxim Nucci (Yodelice) et Vincent Polycarpe (Gush). Le Taulier, qui a un programme très chargé devant lui, look et guitare noirs, entonne La Douceur de vivre, son second single servi par un clip tendre. Ce n’est pas du Jojo qui allume le feu, c’est du Jojo qui balade son talent avec une ballade. Inutile de dire que, même pour qui ne serait pas fan du rockeur, la différence est assommante pour les débutants de X Factor ! Une petite page de pub nous permet de comparer le live de Johnny et la version studio de sa Douceur de vivre… C’est la soirée Johnny Factor !

Retour au direct. Après la pub pour Fan Factor, la pub pour l’appli X Factor vous est proposée par Sandrine Corman – qui fait heureusement un peu moins animatrice de télé-shopping que mardi dernier.

Si je reviens, je traduis tout !

Matthew Raymond-Barker. « Charisme, personnalité, tout est là pour moi« , dit Olivier en magnéto. Ben… et la voix alors ? Olivier, t’as des oreilles en carton, toi aussi, comme Henry ? « Quand vous l’avez devant le nez, il se passe quelque chose de fort, mais il a des grosses lacunes au niveau de la justesse« , complète le maestro toujours en magnéto, tandis que le sympathique Anglais fait un appel du pied au public dans son séduisant français approximatif.

Si elle lui a fait chanter le franco-anglais Supreme de Robbie Williams la semaine dernière, Véronic ne prend pas le risque d’entraîner Matthew en dehors de sa langue maternelle. Elle a choisi pour son second passage en direct Price Tag, le très cool single de la nouvelle bombe britannique, Jessie J, que nous vous avons fait découvrir. Une petite bombinette pop nonchalante, sans difficulté, majeure. Et justement, c’est là le problème : quand on n’a pas la sensualité piquante de Jessie J, sa voix superbe et son flow de bad girl, ça vire au soporifique. Tout est dit, la coolitude n’est pas grand-chose, au final…

Christophe a trouvé la performance « super bonne« , mais reproche un « manque de prise de risque« . Olivier constate le chemin parcouru depuis les auditions (trous de mémoire, justesse) : « On peut pas te demander du jour au lendemain d’être un grand chanteur. Mais j’ai passé un super bon moment. » « Quand est-ce que tu vas chanter français ? Parce que prise de risque zéro ! Véronic, le mec il est anglais, il chante en anglais. Aucune prise de risque, c’est pas tolérable« , martèle Henry.

(RE-)EVENEMENT : Véronic se rebiffe ! « Matthew, Henry a la mémoire courte, parce que la semaine dernière, tu as chanté un peu en français. » Bon, c’est pas très violent, comme ruade franco-canadienne. « Si je suis pris pour la semaine prochaine, je chanterai complètement en français« , promet le candidat. » Lui, il a tout compris au principe de la télé-réalité…

Christophe Willem va se marier !

Trapéziste-comédienne, Maryvette Lair a de nouveau démontré la semaine dernière sa personnalité de funambule de la chanson, reprenant, candidement perchée sur un piano à queue et dans une marinière, le classique Si j’avais un marteau de Claude François dans une version méconnaissable.

« Elle peut chanter ce qu’elle veut, on est suspendu à ses lèvres, elle vit ce qu’elle chante« , s’enflamme Christophe à son sujet. « C’est un grand frère« , dit de lui Maryvette. Véronic aimerait lui découvrir plus de maturité, Olivier se demande si elle en a encore sous le pied pour les épater.

C’est avec rien de moins que le Bang Bang de Cher repris par Nancy Sinatra, immanquablement associé à Kill Bill, que Maryvette défend ses chances, en français. Envolée la marinière, place à une minirobe en cuir moulante. Une composition de femme fatale dont font les frais les danseurs-figurants, éjectés un à un par la candidate au fil des mots. Mais la chanson elle aussi en pâtit, souffrant d’une interprétation qui relève plus du soliloque dramatique que de la chanson. C’est intense, mais c’est du jeu, plus que de la chanson. « Et ton album ?« , devrait objecter Olivier (ce qu’il ne fera pas). Des silences trop marqués, des cris rageurs trop sortis de nulle part, un ennui mortel à trop tirer sur la corde. Dommage, car il est incontestable qu’elle peut nous emporter n’importe où.

« Là, on ne peut pas dire qu’il n’y a pas d’univers. J’ai passé un moment magique. Fais juste attention de ne pas trop intellectualiser« , débriefe Olivier. Henry : « La semaine dernière, j’étais pas très tendre, je t’avais dis que c’était branché. Là, je suis scotché. Tu es magnifique. Si j’étais une maison de disques, je te signerais sur le champ. » Véronic, euphorique d’avoir une femme devant elle : « Moi, j’aime ton univers théâtral, ta manière de rentrer dans les paroles, dans l’interprétation. » Christophe : « C’est l’excellence même (…) S’il vous plaît, votez pour elle, comme ça je me marie avec elle à la fin de l’émission, c’était magnifique. » Olivier : « c’est vrai ? » Christophe : « Evidemment ! »

Bérénice Schléret avait hérissé les poils des jurés avec sa relecture à fleur de peau de Mon Vieux, de Daniel Guichard. Véronic aimerait la voir gagner en présence, Henry se demande lui aussi si sa voix rauque qui plaît suffira encore. Donnant l’impression d’être toujours sur le fil du rasoir vocalement et en termes de sensibilité, Bérénice vient avec une proposition différente : I Still haven’t found what I’m looking for. La voici de retour dans l’univers rock qui sied à sa voix : après un couplet emprunté où l’écorchement de sa voix confine à la crise maniaco-dépressive, elle lâche les chevaux sur le refrain, se déplaçant sur scène un peu maladroitement. Des éclats très Bonnie Tyler font leur retour, mais c’est hélas trop sporadique. Le tremblement de la voix n’est pas qu’un effet musical, cela trahit aussi une limite… Le tout manque globalement de punch et de conviction, dans le regard notamment…

Henry : « Je t’ai défendue la semaine dernière, je croyais à chacun de tes mots. Mais là je n’aime pas cette façon d’utiliser le rock. Je trouve que tu avais l’air terrorisée en chantant. Je ne sais pas ce qui s’est passé entre vous – it’s my turn, Olivier. Là ça ne fonctionne pas. » Véronic lui reconnaît le mérite de s’être déplacée : « Respect, you rock, girl« … mais avoue que c’était raté et que c’est comme tout : ça s’apprend.

Christophe en remet une couche sur le mythe du Schultheis qui terrorise ses ouailles – il doit en savoir quelque chose puisqu’il lui doit en partie son album Inventaire : « Avec Olivier, c’est peut-être dur, mais on te sent terrorisée. C’est un trait commun aux candidates d’Olivier. Quand tu étais là aux castings, tu lâchais tout, mais là, dès que tu regardes Olivier, tu n’oses plus. » Olivier en rigole. « La justesse du premier couplet, c’était pas ça, mais quand tu chantes, il se passe quelque chose, ce qui n’est pas le cas de leurs candidats. C’était super, et toi tu es magique. » Il défend avec ferveur son coup de coeur de toujours.

Johnny, le retour rageur !

Johnny Hallyday est prié de faire son deuxième passage : au diable la « douceur de vivre », place à l’épique Guitar Hero vrombissant de solos de guitare, résonnant d’une ligne de basse épuisante, emplissant l’espace de la voix tonitruante d’un Jojo en pleine foforme qui en vocifère de rock-attitude. OK, Bérénice ? Remballe ton ptit U2.

Sandrine Corman : « Johnny, cet album signe votre retour au rock ? » Oui, Sandrine, c’est exactement le commentaire que Johnny faisait plus tôt, après son premier passage. Il complète avec le morceau manquant : « le rock et le blues, oui. » On enchaîne avec la remise du triple disque de platine récompensant les ventes de l’album Jamais Seul. Et Johnny, qui a repris son souffle, en profite pour placer un « Mais je suis très content d’être là » qui sonne bien. Ah, tout le monde est content, quel bonheur…

Omega et l’opportunité d’un méga-règlement de comptes à OK Corral !

« On a bien traité Florian, il y a eu un bon réchauffement » : à sa manière, Véronic DiCaire écarte les craintes quant à l’état de santé de son protégé Florian, mais c’est le groupe Omega d’Henry Padovani, poussé au ballottage la semaine dernière (une dernière chance d’ailleurs peu convaincante sur Jeune et con), qui se présente. Omega, « ça peut s’essouffler », craint Christophe. Le trio lillois a concocté une réorchestration de L’Opportuniste de Jacques Dutronc, prouvant que leur jeunesse n’est un frein à aucune audace. Loin de l’univers sulfureux, embrumé de fumée de cigare, ombrageux et contestataire de l’original, cet Opportuniste-là a des airs positifs de Two Princes, de Spin Doctors !

Véronic, qui confie ne pas connaître l’original, apprécie cette veine plus soft rock que la semaine dernière, mais déplore un manque d’efficacité par rapport aux passages des auditions. Christophe : « J’ai préféré votre prestation cette semaine. Moi, je connais l’originale, et j’ai bien aimé cette modernisation. On a l’impression que c’est votre chanson et plus une reprise. Maintenant, c’est tellement éloigné de ce que moi j’apprécie musicalement, c’est dur d’être objectif… » Olivier : « Faire mieux que la semaine dernière, c’était pas compliqué. Mais il y a peut-être un problème avec coach Henry. Henry, toi qui connais le rock, explique moi le rock, parce que là c’était plus proche de la fête populaire. Et faire du rock, ça n’empêche pas de chanter juste, Henry. »

Henry rue dans les brancards : « On n’a pas de groupe de rock sur la compétition, Olivier tente de faire semblant avec ses rockeuses. On est monté d’un cran , je suis sûr que les gens vous ont appréciés. Alors votez pour eux, on a besoin d’un groupe de rock dans X Factor. » On se rend coup pour coup, entre Henry et Olivier, qui rendait là à son collègue la monnaie de sa pièce de son commentaire sur Bérénice. On se dispute même le monopole de la science du rock, c’est dire.

Pas sur la bonne voix/e…

Florian Giustinani, victime d’une rhino-pharyngite, a-t-il récupéré sa voix ? Pas évident, aux premiers mots de Io so che tu, chanson de l’Italien Davide Esposito, qui en offrit une version francisée (ainsi que d’autres chansons) au regretté Grégory Lemarchal (Ecris l’histoire). En clin d’oeil, Florian chante les couplets en italien, le refrain en français. Même en se ménageant (il laisse tomber les notes supérieures du refrain, prouvant une certaine adaptabilité), sa voix casse par endroits, encore fragile, l’articulation pâtit de son état de santé. Ce qui ne change rien au fait que la prestation du jeune homme est terriblement lisse. Christophe met en doute le choix de la chanson, et il n’est pas le seul…

Olivier : « Quel gâchis, quel choix de chanson, c’est tout ce qu’il ne faut pas que tu fasses. Véro, je te le dis. C’est la grande soupe, la grande variété… » Henry : « J’ai un peu de compassion, je vois bien que c’est difficile. Cela dit : c’est facile : tu vas chercher une chanson qui nous apporte de l’émotion, mais c’est pas toi qui nous donne l’émotion. Et là, je rejoins Olivier : c’est de la soupe. Ca plaît au public, mais ça ne m’atteindra jamais. »

Véronic, énervée : « Je me fous du choix de titre, je me fous de la mise en scène, je me fous des lumières. Ce qui compte, c’est que tu sois là ce soir, que tu chantes la chanson. » Ouah, elle est en rogne…

Riha-phaël se fait du mal… et ça fait du bien !

Hors d’elle la minute précédente, Véronic retourve sa bonne humeur et son humour, prenant l’accent espagnol façon Stéhane Rousseau pour annoncer son dernier candidat : Raphaël Herrerias, qui avait livré mardi dernier une belle copie sur un monument de Gainsbourg, Initials B.B.. Véronic annonce : « Ce soir, il va nous faire du Rihanna« . Pour le coup, Henry ne peut pas reprocher à Véro une prise de risque zéro ! Au piano, d’abprd solo puis additionné d’une bande son, Raphaël interprète S&M de la princesse de la Barbade. Sacré challenge !

Seul point noir : une maîtrise douteuse de l’anglais. On ne comprend rien. Aussi intelligible que Shaggy chantant en norvégien. Mais c’est toujours aussi convaincant vocalement. De plus, étrangement, le fait d’être assis menotté au clavier sert le jeune homme, à créditer d’une présence de dingue : son travail rythmique est percutant, son charisme évident, délesté des maniérismes qu’on a pu lui reprocher. Un quelque chose de Justin Timberlake sur ce numéro. Remarquable, le meilleur passage de la soirée. Ce qui confirme nos impressions depuis les auditions : un sérieux candidat pour la suite.

« Ce soir, j’ai vu Raphaël, c’était toi, brut, habité par ton son, c’était parfait. Un bon choix de chanson, une interprétation à la sublime. » (Christophe)

« Je t’ai encouragé et aimé la semaine dernière, je t’ai encore plus adoré cette semaine. Tu es parti pour rester très longtemps. » (Olivier)

« J’arrive pas à croire que tu ais eu autant de présence assis sut un tabouret« , s’extasie Henry Padovani. « Véronic, tu as de la chance de travailler avec un tel artiste. »

« C’était écoeurant« , conclut Véronic dans un rire, aux anges.

Pour Olivier, sa protégée de 16 ans a enfin mis ses couilles sur la table ! (sic)

Marina D’Amico, benjamine du concours, clôt la salve, avec un enjeu : prouver qu’elle n’est pas seulement capable d’être impressionnante techniquement, mais également d’envoyer de l’émotion. Pour tenter cette démonstration, Olivier Schultheis lui a choisi une pure merveille : It’s a man’s, man’s world, de James Brown. Une chanson d’homme que la minette s’approprie avec une puissance, une fougue et un appétit qui plaident en sa faveur. Elle a progressé. Le signe qui ne trompe pas : son regard noir, embrasé, intense après sa note tenue finale. Mais toujours le même constat : un manque de « vécu », de feeling authentique, une situation qui rappelle le cas de la toute jeune Marie lors de la saison 1 de X Factor.

« Olivier, c’est un mec, le feeling et lui, ça fait deux« , prévenait en magnéto Henry, et son analyse va en ce sens : Marina « sait comment chanter la chanson, mais ne sait pas pourquoi. Ca ne m’a rien fait. » Même constat pour Véronic : « J’ai rien à dire vocalement. Mais maintenant, relève les épaules, regarde devant toi et avance. » Christophe : « La semaine dernière, tu étais en retenue. Là, Olivier a fait une vraie prise de risque. Cette semaine, je t’ai vue toi, une artiste en train de s’ouvrir. Ce choix de chanson t’a aidée à cela. »

Olivier : « Moi, je te poussais – je suis désolé, je vais être vulgaire – pour te faire mettre tes couilles sur la table. Et tu l’as fait. Deuxième étape, on va aller sur des chansons en français avec du texte. Troisième étape, on gagne X Factor. »

Les téléspectateurs étant priés de voter, les candidats assurent l’intermède, reprenant Double je, tube de Christophe Willem qui avait déjà été éreinté lors des auditions. Dans un arrangement quasi-lounge, les voix sont mises en relief – pas forcément à bon escient. Un gros patchwork vocal assez effrayant (les grimaces de l’interprète originel en témoignent, tandis que Schultheis, compositeur du morceau, reste aussi stoïque que possible), raccord avec les écrans éclaboussés de couleurs primires (des peinturlurages hommages au gilet de Christophe dont les manches semblent avoir trempé dans du guano ?).

Qu’avez-vous à dire pour votre défense ? Dernière volonté des jurés avant l’échafaud…

Henry : « J’suis un mec suffisamment cool, il ne me reste que deux groupes, n’insistez pas… »

Véronic : « Ils ont du talent ! » + un rire 100% Véro.

Christophe : « Encouragez les plus de 25 ans, il n’y a que ce programme qui le permet »

Olivier : « Faites en votre âme et conscience »

Séquence coups bas

Véronic dévoile son secret : une bible intitulée Comment gagner X Factor qui stipule que le port de la robe est nécessaire. Henry hésite… Olivier a son lacet défait : un coup d’Henry, c’est sûr ! Olivier : « Avec les filles, Henry, lui, est dans le paraître« , tandis que le Corse prend bonne note que porter des chemises rouges et noires augmente les probabilités de victoire.

Les places pour le prochain prime sont délivrées au compte-goutte : Omega s’évite un second rattrapage, Raphaël Herrerias, incontestablement vêtu du dossard de favori, continue, de même que Marina D’Amico, Vincent Léoty, Maryvette Lair, Florian Giustiniani, Matthew Raymond-Barker (WTF ?!), Bérénice Schléret, Seconde Nature.

En duel à mort, on retrouve donc, contre toute attente, Cécile Couderc et Sarah Manesse, deux candidates pourtant prometteuses… Les voies/x du public sont parfois impénétrables – cela étant, quand on est 5 d’horizons différents, le poids des familles et amis est démultiplié, n’est-ce pas les petits chanteurs au chemin de croix Seconde Nature ?

Une situation aberrante, un dénouement violent !

Pour Christophe, c’est une « aberration » que Cécile soit dans cette situation. Elle joue son va-tout sur une chanson de chanteuse, non de performeuse : Le monde est stone. Etonnant. Et émouvant : Christophe est en larmes pendant la prestation de sa protégée, dont les yeux s’embuent également au fil d’une interprétation habitée.

Olivier reprend le terme de son collègue Christophe : « C’est une aberration que ces deux jeunes femmes soient au rattrapage. » Et implore le public de sauver Sarah et son timbre de voix comme on en a « rarement en France« . Un timbre particulier qui s’aventure sur le territoire d’un autre timbre particulier, avec Amoureuse de Véronique Sanson. A l’instar du medley compilant son parcours jusqu’ici, cet ultime passage, pendant qu’Olivier se recueille, la tête dans ses mains, semble moins solide que celui de sa rivale…

Les jurés parviendront-ils à un verdict ou devront-ils s’en remettre au public, comme la semaine passée ?

Christophe et Olivier défendent leur protégées respectives ; Véronic donne son suffrage à Sarah ; Henry, fidèle à sa position depuis le début, soutient Cécile. Egalité. Maître Richard, l’huissier de mauvais augure, apporte le verdict ultime, celui du vote des téléspectateurs : Cécile Couderc est éliminée.

Réaction de Christophe : « J’suis dégoûté. Quand on essaye de faire bouger les choses en France, il se passe des trucs comme ça. J’suis pas très fier d’être français… » (NB : C’est à Londres qu’il élabore son prochain album, et là-bas qu’il a emmenés ses candidats lors de la dernière phase d’auditions).

Notre verdict (en bref… car on vous a déjà tout dit sans ambages !) :

Concernant le jury : D’une compétition en devenir lors du premier prime, on est passé à une ambiance pesante version western, le duel à couteaux tirés (qui volent bas…) entre Olivier Schultheis et Henry Padovani phagocytant dangereusement l’attention. Les attaques sont cinglantes, l’atmosphère en devient par moments nauséabonde (désamorcée pour l’instant par la fraîcheur de maman DiCaire, mais qui commence elle aussi à se monter le bourrichon), d’autant que les enfantillages railleurs de Christophe se font plus fréquents. De son côté, Henry Padovani a semblé passablement gavé, lassé, blasé. Coup de fatigue comparable à celui d’Alain Lanty l’an dernier (le merveilleux pianiste avait souffert de cette machine médiatique à laquelle il n’était pas habitué et des chamailleries avec ses rivaux jurés) ? Zénitude composée pour contrer les attaques acérées d’Olivier ? Le Henry Padovanneur fendard des castings nous manque…

Concernant le show : On retient évidemment l’éviction indigeste de Cécile Couderc, qui avait fait ses preuves et s’était imposée comme une des rares performeuses complètes du télé-crochet. Après son départ et celui de Twem, il ne reste plus grand-monde pour nous faire rêver en nous faisant groover… A moins que d’autres candidats suivent l’exemple exceptionnel de Raphaël Herrerias, impressionnant dans son numéro rihannesque sur S&M. A confirmer. Pour le reste, on relève de grosses disparités, entre les groupes mal dégrossis, les candidats à potentiel, ceux qui stagnent et ceux dont on se demande ce qu’ils font encore là. Globalement, ce n’est pas franchement transcendant. Ô que non. Surtout sur un programme que M6 s’obstine à maintenir sur une durée de trois heures…

Concernant l’animation : Quelques mots sur Sandrine Corman… Après avoir un peu joué les passe-plats lors du round d’observation mardi dernier (elle aussi avait besoin de prendre ses repères !), l’animatrice, au demeurant sympathique et énergique, a sorti la carte du rentre-dedans. Son rouge à lèvres voyant et sa crinière hirsute n’en ont évidemment pas fait une rockstar, mais elle s’est dépensée en déambulations toniques sur le large plateau et en mimiques exagérées. Toujours peu à l’aise sur les mini-interviews, mais chaleureuse. C’est juste… qu’elle n’a pas vraiment le profil du poste.