Archive | 25 avril 2011

Liane Foly parle de son compagnon : « 15 ans d’écart, c’est pas énorme ! »

Samedi 30 avril au soir, Liane Foly sera aux commandes de la seconde édition du Grand Show des enfants, sur TF1, en prime time. L’occasion pour la chanteuse de briller de nouveau devant les caméras en tant qu’animatrice télé, l’une de ses nombreuses compétences. Elle et la première chaîne (qui traverse une difficile période et a besoin de remonter la pente !) fonctionnent parfaitement bien, et il semblerait que leur collaboration ne s’arrête pas de sitôt.

 
 

A 48 ans, la pétillante artiste polyvalente, qui ne manque ni d’audace, ni de caractère et de talent, est en passe de devenir l’un de ses visages phares. Selon le magazine Télé Star, en kiosques lundi 25 mars et parti à la rencontre de Liane, elle a confié qu’elle allait prochainement retrouver Nikos Aliagas, avec qui elle avait animé Génération 90 en juillet dernier, pour une émission sur les années 80 et une sur les années 2000.

Une optique qui la ravit car faire de la télévision est pour elle un vrai plaisir. « Si demain on me propose une super émission, qu’elle soit hebdomadaire ou quotidiennement, pourquoi pas ?« , a confié celle qui est actuellement en tournée dans toute la France avec son spectacle La folle part en cure. Ferait-elle du teasing, pour annoncer doucement sa présence récurrente à la tête d’un nouveau programme ?

Amoureuse, l’interprète d’Au fur et à mesure a évoqué Grégoire, son compagnon et ingénieur du son. Parlant notamment leur différence d’âge (elle avait été qualifiée de « cougar » par le quotidien France Soir il y a quelques semaines, un terme qu’elle n’apprécie pas beaucoup), elle a lancé : « Nous avons juste quinze ans d’écart : c’est pas mal, mais ce n’est pas énorme ! Et il faut dire que je suis très enfant dans ma tête : j’adore m’amuser…« Sur son idylle, elle a ajouté : « Ça fait cinq ans qu’on est ensemble, et ça se passe merveilleusement bien. On a une vraie complémentarité et une vraie complicité : ça s’appelle l’amour je crois, non ? C’est la plus belle rencontre de ma vie, avec celle de mon manager Laurent, qui me suit depuis vingt ans. » Celle qui confiait n’avoir jamais regretté de ne pas avoir d’enfant reste sur ses positions : c’est son destin et avec son métier, elle aurait eu peur de ne pas pouvoir s’en « occuper vraiment » ! Si elle avait un temps souhaité adopter, ce n’est plus d’actualité.

A propos de la rumeur selon laquelle, dans les coulisses du dernier show des Enfoirés, elle aurait été la seule a réclamer une loge à part, elle a rectifié : « C’est faux ! Jamais de la vie je ne ferai ça ! On a une loge commune, et on se connaît toutes à poil par coeur à force ! »

Voilà qui donnerait envie à tout le monde d’être une petite souris pour voir ça !

Elise Crombez : Le plus beau mannequin belge se dévoile…

 

Ce soir, dans cette désormais fameuse chronique quotidienne de « La Dame du Soir », nous avons le plaisir de vous parler de la ravissante Elise Crombez, jeune et sublime mannequin belge âgée de 28 ans.

 
 
 
 

Originaire de Mouscron, la beauté du Plat Pays a été vue en couverture de magazines comme Vogue (plusieurs fois pour plusieurs éditions), Elle, Jalouse ou W. Parmi ses campagnes les plus célèbres, nous pouvons citer celles pour Gianfranco Ferré, H&M, Lacoste, Louis Vuitton, « L’Air du Temps » de Nina Ricci, Prada, Ralph Lauren ou Versace.

Celle qui a défilé pour les plus grands créateurs (Marc Jacobs, John Galliano – avant ses « problèmes » -, Lanvin, Chanel, Chloé, Christian Dior…) nous revient ce soir, après avoir irradié la nouvelle collection Nordstrom, à l’occasion de la campagne pour la collection de chez ERES. Nous vous proposons aussi certains visuels de ses campagnes pour Prada et Cavalli.

Clotilde Courau, Lady Di… Les 10 plus belles robes de mariée de princesses !

Le mariage de Kate Middleton et du prince William approche à grands pas. Après pas loin de dix ans d’amour, les deux tourtereaux se diront oui le 29 avril à Westminster. Les derniers préparatifs s’achèvent, mais le mystère plane toujours sur la robe de mariée de la future princesse

 
 

Pour vivre un vrai conte de fées, la belle devrait nous étonner avec une robe originale et splendide. Pour la dessiner, elle a d’ailleurs pu s’inspirer des magnifiques robes de princesses qui ont déjà marqué l’histoire des mariages royaux.

Notamment celle de Lady Di. La mère du prince William est un véritable exemple pour Kate Middleton, encadrée de manière à ne pas connaître les mêmes dramatiques difficultés à intégrer les codes de la famille royale – elle a bien de l’avance en la matière, coachée depuis des années dans cette perspective, tandis que Diana arrivait vierge de cette culture royale à son mariage avec Charles, en juillet 1981. Ses proches lui auraient d’ailleurs conseillé de visionner les vidéos des apparitions de Lady Diana. Un moyen pour qu’elle se prépare au mieux à son nouveau rôle de princesse.

Dans les années 80, l’épouse du Prince Charles était une icône de mode. C’est d’ailleurs la première princesse à avoir fait appel à un créateur de renom pour dessiner sa robe de mariée. La ravissante Lady Diana a demandé à David et Elizabeth Emanuel de créer sa tenue. Elle a fait l’unanimité lors de la cérémonie le 29 juillet 1981 en la Cathédrale Saint-Paul à Londres.

Trois ans auparavant, Caroline de Monaco faisait l’actualité avec son mariage princier. La fille du prince Rainier III et de l’inoubliable Grace Kelly disait oui à son premier mari, Philippe Jugnot. Et une chance pour l’héritière au sang bleu, elle a porté deux robes de mariée pour ses noces : l’une pour son mariage civil le 28 juin 1978 et l’autre pour la cérémonie religieuse le 29 juin. Ni longue traîne ni frou-frou… Caroline de Monaco a opté pour des tenues très simples pour son rang de princesse.

Ce n’était pas le cas de sa mère, la célèbre actrice hollywoodienne Grace Kelly. Le 18 avril 1956, l’emblématique blonde disait oui à son prince. Dentelles, diadème et longue traîne… La jeune femme de 27 ans portait une robe traditionnelle mais très élégante.

Tradition, c’est également le maître-mot du mariage de Rania de Jordanie. Pour ses noces avec le roi Abdullah II le 10 juin 1993, la splendide brune a revêtu une robe immaculée au col tailleur orné de fleurs dorées. A 23 ans, Rania, qui est d’origine palestinienne, est devenue la plus jeune reine au monde. Une fonction qu’elle remplit à merveille depuis maintenant 18 ans.

Ce rêve de mariage royal s’est également réalisé pour une autre roturière, française cette fois : Clotilde Courau. La comédienne épouse le 25 septembre 2003 Emmanuel-Philibert de Savoie (prince de Venise et prince de Piémont). Pour son mariage à Rome, Clotilde Courau éblouit l’assemblée avec sa robe Valentino. Traîne interminable, manches trois-quarts et couronne sertie de pierres précieuses… Magique !

Une autre Frenchy est récemment entrée dans le cercle très ferme de la royauté. Marie Cavallier est devenue princesse le 24 mai 2008 en épousant le prince Joachim de Danemark. Sa robe fut dessinée par deux couturiers suisses qui lui font un joli décolleté et des manches délicates en dentelle. Un jour inoubliable pour la splendide Française de 32 ans.

Les noces de Letizia Orzy et de Felipe de Borbon, héritier de la couronne d’Espagne, sont aussi grandioses. Pour son mariage princier le 22 mai 2004, Letizia d’Espagne fait appel à un couturier espagnol, Manuel Pertegaz. Sa robe épouse ses courbes discrètes, sa longue traine allonge encore plus sa silhouette. Et déjà, son col lui donne un charisme de princesse.

Toutes les têtes couronnées d’Europe se bousculent également pour assister au mariage de la princesse Victoria de Suède. Le 19 juin 2010, la belle épouse son amoureux (et ancien coach sportif), Daniel Westling. Elle porte une robe créée par le couturier suédois Par Engsheden. Il met en valeur son port de tête et dévoile ses épaules. La princesse Victoria salue aussi le talent français en portant des escarpins Roger Vivier.

Ses voisins norvégiens ont célébré les noces du prince Haakon de Norvège le 25 août 2000. L’héritier a épousé sa compagne Mette-Marit à Oslo. La ravissante blonde a opté pour une robe simple mais très élégante du couturier norvégien Ove Harder Finseth.

Plus récemment, la Grèce a célébré le mariage du prince Nikolaos et de Tatiana Blatnik. Le 25 août 2010, la future princesse a fait appel au créateur Angel Sanchez. Un bustier et de la dentelle… Une pure merveille !

 
 

Benicio Del Toro : Un look effroyable pour un futur papa ravi !

Il va être papa et ça l’enchante ! Benicio Del Toro est de retour à Los Angeles.

 

Passablement dépressif en apparence, l’acteur portoricain de 44 ans attend pourtant son premier enfant, qu’il a conçu avec Kimberly Stewart, la fille du grand Rod Stewart. Ils ne sont pas ensemble, c’est juste une histoire passagère qui a engendré une grossesse. Incroyable, mais typiquement dans la veine des actes de Benicio Del Toro.

A l’affiche l’année dernière de Wolfman, il a visiblement gardé son look effroyable dans la vie de tous les jours. En sortant de sa voiture, Benicio affichait – outre sa mine patibulaire -, de longs cheveux tous fous, une barbe grisonnante et téméraire, et un style vestimentaire de routier. Malgré tout, il plaît aux femmes. Il doit avoir un secret.

Récemment au générique de Somewhere de Sofia Coppola, Benicio Del Toro est par ailleurs devenu la nouvelle égérie du calendrier 2011 de la maison Campari. C’est dire s’il est en vogue. On ne doit donc pas s’arrêter à son look.

C’est son enfant qui va prendre peur, c’est tout…

Mort d’Elizabeth Taylor : Elle a légué une fortune à son dernier mari fauché…

La légendaire comédienne américaine Elizabeth Taylor, mythique actrice de l’Âge d’Or d’Hollywood qui a remporté deux Oscars de la meilleure actrice (pour La Vénus au Vison en 1961 et Qui a peur de Virginia Woolf ? en 1967), est morte le 23 mars 2011 à l’âge de 79 ans.

 

Cette triste disparition a plongé le monde du cinéma dans le désarroi et les hommages les plus poignants pour cette femme courageuse qui s’est toujours battue pour les malades du sida sont immédiatement arrivés en masse.

Une actrice décidément très généreuse : le New York Daily News dévoile aujourd’hui qu’Elizabeth Taylor a légué plus de 800 000 dollars à son dernier mari, Larry Fortensky.

Septième mari de la star hollywoodienne, Larry avait rencontré Liz en 1996 alors qu’ils étaient en rehab. De son propre aveu, il a travaillé toute sa vie et n’a jamais profité de l’argent de la vedette. Cet argent tombe cependant au bon moment, puisqu’à 59 ans, Larry ne pouvait plus travailler (il a fait six semaines de coma en 1999 qui lui ont laissé de graves séquelles), était sans le sou et vivait dans un petit F2 de la banlieue de Los Angeles après avoir accumulé de « mauvais investissements ». Il recevait cependant une rente de la star de 1000 dollars qui lui aurait écrit à l’époque de leur séparation : « Larry chéri, je pense beaucoup à toi et m’inquiète à ton sujet. Je pense que tu pourrais avoir besoin d’une petite aide et j’aimerais t’envoyer 1000 dollars par mois pour le reste de ma vie ou jusqu’à ce que je meurs. »

Aujourd’hui, ce sont plus de 800 000 dollars que la star lui a légués.

Philippe Caroit : son départ de R.I.S ? Adieux déchirants et vives discussions !

Jeudi 5 mai, TF1 diffusera les deux premiers épisodes de la saison 6 de R.I.S. Police scientifique. Une saison qui marquera un véritable tournant dans la série policière de la Une puisque dès le 5e épisode, les fans devront faire leurs adieux à Gilles Sagnac, interprété par le comédien Philippe Caroit, ainsi qu’à Hugo Challonges (Pierre-Loup Rajot). Alors que nous vous révélions il y a quelques jours ce que cette saison explosive vous réserve, Philippe Caroit se confie avec une pointe de nostalgie dans les pages de Télé Star.

 

 

« On formait une vraie famille. Lorsque j’ai tourné les derniers épisodes, il y a un an, les adieux avec l’équipe ont été déchirants. Maintenant, je n’ai vraiment aucun regret », raconte-t-il. La raison de ce départ ? Il l’explique par l’envie de changement, pour lui, la série commencé à stagner. Il se lassait de ne pas voir son personnage évoluer : « A plusieurs reprises, j’ai demandé au producteur de sortir des scènes que j’avais l’impression d’avoir jouées cent fois. J’en avais un peu marre d’analyser des pattes de mouche… »

Mais ce départ n’a-t-il pas créé quelques tensions entre le comédien et la chaîne privée ? Il confie à ce sujet : « Je ne vous cache pas que nous avons eu des discussions parfois vives. Mais la séparation a été finalement réussie. »

C’est donc dans en paix qu’il a tourné à Marseille un nouveau téléfilm pour la chaîne Merci Patron ! dans lequel il donne la réplique à Véronique Genest : « C’était un bonheur de tourner avec Véro. Après mes vacances, je vais tourner pour France 2, en région parisienne et en Martinique Toussaint Louverture. »

Très occupé, celui qui sera donc remplacé par Michel Voïta dans R.I.S. semble plus épanoui que jamais.

Cannes 2011 : Nos pronostics complets pour le futur palmarès !

Le 14 avril 2011, Gilles Jacob et Thierry Frémaux ont dévoilé la sélection officielle du 64e Festival de Cannes, à l’occasion de la conférence de presse qui s’est tenue à Paris.

Si nous savions que la manifestation débuterait le 11 mai par le Woody Allen annuel, Minuit à Paris (voir la bande-annonce), avec notamment notre première dame bien aimée, Carla Bruni-Sarkozy (actuellement enceinte), nous avons découvert, sans vraiment de surprises, le reste des films en compétition. Sans réelle surprise, car nous retrouvons des habitués qui ont vraisemblablement leur « pass permanent » pour la Croisette, si bien que l’on a décidé de faire notre Robert de Niro (président du jury de cette 64e édition) le temps de quelques minutes et de dresser le futur palmarès éventuel.

Meilleur scénario : Nous n’oublierons jamais que nous sommes en France et penserons à récompenser au moins un film français pour ne pas mettre en colère le pays hôte. Mais de préférence, un prix mineur pour ne pas non plus trop flatter leur ego surdimensionné. Le prix du scénario à Bertrand Bonello pour L’Apollonide, une histoire de maison close avec beaucoup de sexe dedans, remplit toutes les cases et devrait donc parfaitement faire l’affaire.

Meilleure mise en scène : Dès qu’il réalise un film, il est à Cannes, et il repart toujours avec un prix. Celui de la mise en scène était l’un des seuls qui manquait à Lars Von Trier, donc pour couronner son Melancholia d’anticipation avec des stars internationales dedans (voir la bande-annonce), il serait ravi de compléter sa collection de récompenses cannoises.

Meilleur acteur : On avait promis à Pedro Almodovar que c’était à son tour d’avoir la Palme d’Or pour La peau que j’habite, c’est d’ailleurs pour ça qu’il est venu. Il en avait marre qu’on la refile toujours à un réalisateur asiatique alors que lui aussi, il réalisait toujours des super films. Mais comme cette année la Palme d’Or est promise à Terrence Malick, et que c’est l’année prochaine qu’ils pourront inventer un Prix du 65e Festival afin de faire plaisir à un oublié, pour cette 64e édition, les organisateurs ont juste merdé. Résultat : Prix d’interprétation à Antonio Banderas pour son retour chez Almodovar. Pedro tire la tronche dans la salle, mais on se dit que ça fera au moins plaisir au bel Antonio.

 
 
 

Meilleur actrice : Cécile de France pour Le gamin au vélo. Les frères Dardenne ont déjà remporté deux Palmes d’Or (Rosetta en 1999 et L’enfanten 2005). On aime la Belgique – une partie fera peut-être bientôt partie de la France -, mais faut pas pousser non plus. Une troisième Palme serait improbable, mais comme on les aime bien, il faut qu’ils aient un prix. Et comme on adore Cécile de France la Belge, tout le monde est content.Prix du Jury : Habemus Papam, de Nanni Moretti. Encore un ancien vainqueur de la Palme. C’était pour le bouleversant La chambre du fils, en 2001. Encensée, l’histoire de ce Pape fraîchement élu et en proie au doute promet d’être l’un des événements du festival. Michel Piccoli est passé à ça d’avoir le prix d’interprétation (c’est Antonio qui l’a eu, vous suivez ?), celui du Jury récompensera la totalité du film, d’autant que Nanni a la particularité de mieux vieillir que Brigitte Bardot, et ses films s’en ressentent.

Grand Prix du Jury : Sleeping Beauty, de Julia Leigh. Brillante auteure australienne, la jeune femme de 41 ans signe un premier film au buzz monumental et figurera sans aucun doute au palmarès. Une femme (seule Jane Campion a gagné la Palme en 1993 pour La leçon de piano), un premier film (seul Steven Soderbergh a remporté la Palme pour son premier film avec Sexe, mensonges et vidéo, en 1989), peut-être trop d’un coup pour une Palme d’Or. Le Grand Prix lui ira comme un gant de soie.

Palme d’Or : The Tree of Life de Terrence Malick (voir la bande-annonce ci-dessus). Espérée l’année dernière. Grandement attendue cette année après avoir fait volontairement l’impasse à Venise et à Berlin, cette magnifique fresque existentialiste du plus grand cinéaste en activité est la plus belle et objective Palme d’Or depuis des années.

Les paris sont ouverts, rendez-vous le 22 mai.