Archive | 9 avril 2011
Familles d’explorateurs : Carole Fiasson éliminée, et l’audience bat de l’aile !
Réactualisation : Après un lancement en demi-teinte, qui n’a réuni que 4,2 millions de curieux pour 18,7 % de part d’audience la semaine dernière, Famille d’explorateurs connaît une première baisse de régime et l’addition commence à être salée pour TF1… Pour son deuxième épisode, l’émission n’a réuni que 3,6 millions de téléspectateurs. C’est tout juste suffisant pour finir à la troisième place. La première chaîne se place derrière France 2, qui proposait Les petits meurtres d’Agatha Christie (5 millions de téléspectateurs) et les épisodes inédits de Bones sur M6 (4,3 millions d’inconditionnels). Un score dont TF1 ne pourra, c’est une certitude, pas se satisfaire. Pourra-t-on éviter un passage en seconde partie de soirée suite aux premiers résultats peu encourageants de ce nouveau concept qui a du mal à trouver son public ?
Après un lancement en demi-teinte pourle premier épisode de Familles d’explorateurs suivi par seulement 4,2 millions de téléspectateurs, TF1 diffusait ce soir le deuxième épisode, avec l’espoir de voir ses audiences grimper !
La semaine dernière, c’est Bruno L’APPARTIEN qui fut éliminé à l’issue de l’assemblée et d’un choix cornélien pris par la famille FIASSON. Entre stratégie et tension, ce nouvel épisode nous promet beaucoup. Familles d’explorateurs, épisode numéro deux, c’est parti !
« Maintenant on va se la jouer stratégie » !
Cinquième jour : Le réveil est difficile pour les L’APPARTIEN suite au départ du chef de famille Bruno. Ils n’ont qu’un mot à la bouche : vengeance ! Très catholique nous direz-vous… Chez les Bouzid, l’ambiance est bien sûr au beau fixe après le retour du fils chéri Ahmed. Se sentant certainement redevable, Ahmed passe beaucoup de temps avec les FIASSON, s’éloignant petit à petit de ses grands amis les FERRONE. Ces derniers ne sont pas dupes. Pour eux, le jeu a bien commencé et à partir de maintenant cela va devenir chacun pour soi. Les frères FERRONE doutent de la sincérité des BOUZID et d’Ahmed, qui a clairement retourné sa veste : « maintenant on va se la jouer stratégie », disent-ils.
Les FIASSON semblent, eux, être sur une autre planète, profitant à fond de l’aventure. Ils prennent le temps de rédiger leurs mémoires d’explorateurs… comme le faisaient leurs ancêtres. C’est pour leur descendance, voyez-vous !
Le grand jeu des familles : une histoire d’animaux !
Pour ce nouveau et deuxième grand jeu des familles, ce sont bien sûr les FIASSON qui sont au coeur des discussions. Les quatre autres souhaitent les battre !
Denis Brogniart (qui a déjà bronzé !) annonce aux familles que la valeur familiale mise en avant dans ce jeu est la confiance. Il explique ensuite les règles (attention il faut suivre !). Un membre de chaque famille est harnaché à l’intérieur d’une sphère dans laquelle se trouve un portrait d’animal qu’il ne peut pas voir. Cette personne devra guider les autres membres de sa famille aveuglés, qui pousseront la sphère dans un parcours compliqué. Le but : atteindre un miroir afin de découvrir l’animal représentatif de la famille. Ils doivent ensuite faire le parcours du retour. Une fois arrivés, les aveuglés, guidés par le membre dans la sphère, doivent atteindre le poteau sur lequel est représenté leur animal.
C’est parti ! Une fois les sphères lancées, les aveuglés les rejoignent et écoutent les indications de leur guide. Si les ZORRA avancent rapidement grâce aux conseils clairs de Valérie, pour Stella FERRONE donner des indications est plus difficile. Cette dernière crie à ses fils de regarder ! N’a-t-elle pas compris qu’ils avaient les yeux bandés ?
Côté BOUZID, L’APPARTIEN et FIASSON, c’est le cas de le dire, ça roule ! Une fois l’animal découvert, il leur reste à faire le chemin du retour et réussir à trouver le bon poteau (à l’aveugle bien sûr). C’est plus que serré, les indications venant de partout !
Et ce sont les… L’APPARTIEN qui remportent le grand jeu des familles. Ils l’ont eue, leur vengeance, et ont la chance de partir en exploration dans le Pacifique !
« L’exil c’est bien pour se retrouver seule » !
Une fois de retour sur le camp, pour les FIASSON c’est la déception, surtout pour Carole qui ne digère pas la défaite !
Pendant ce temps-là, les L’APPARTIEN découvrent qu’ils vont partir sur Heron Island, une île paradisiaque. Mais avant cela, le médecin vient examiner la blessure d’Alexis faite pendant le jeu (rappelez-vous : il s’était pris un poteau en pleine figure !). Et là, la sentence tombe : il s’agit d’un traumatisme crânien et le jeune homme ne pourra pas partir en exploration. C’est un coup dur pour la famille ! Il devra repartir sur le camp et sera très certainement au centre de toutes les attentions, sincères ou non, des autres familles. Car n’oubliez pas que les L’APPARTIEN ont un rôle de poids : éliminer un candidat !
Pour les perdants, l’heure est au choix des exilés. Pour les BOUZID, c’est Nadia qui se décide, se qualifiant elle-même de « maillon faible ». Chez les ZORRA, cette semaine, ce sont les filles qui veulent partir et c’est la jeune Samantha qui se dévoue, voulant être à la hauteur de son frère Rémi. Pour les FERRONE, c’est Stella, la maman, qui souhaite y aller. Enfin chez les FIASSON, c’est Carole, qui a besoin de se retrouver seule, qui part en exil ! Au final, ce sont donc quatre femmes qui y vont. Et pour Stella, la nuit en exil s’annonce difficile, ayant peur globalement de toute la nature autour d’elle.
L’épreuve de l’exil et l’exploration : entre joie, larmes, et frayeurs !
Sixième jour : Pour les exilés, c’est l’heure du départ pour le jeu de l’exil. Motivées et angoissées, les quatre femmes se rendent sur le lieu de l’épreuve.
Au même moment, Jean-Baptiste et Armelle L’APPARTIEN arrivent en hélicoptère à Heron Island. L’émotion est grande car Alexis, blessé, n’a pas pu participer à l’exploration et Armelle craque ! Mais ils doivent tout de même réaliser la mission : prendre en photo un sweetlip, un poisson tacheté, à l’aide d’un certain Steve.
Du côté des exilés, l’épreuve est la même que la semaine dernière. Les quatre femmes vont donc devoir faire preuve de patience, de réactivité et de réflexes ! Et c’est Samantha ZORRA qui touche la clé et est donc sauvée ! La famille semble imbattable à ce jeu de l’exil ! Pour les autres, l’épreuve n’est pas fini. Elles peuvent se libérer à l’aide d’une clé bloquée dans un labyrinthe. Carole FIASSON se libère ainsi que Stella FERRONE. C’est donc Nadia BOUZID qui est éliminée. L’aventure s’arrêtera là pour elle.
Côté L’APPARTIEN, c’est le rêve ! Armelle et Jean-Baptiste profitent de ce moment à deux. C’est l’heure de photographier le fameux poisson au milieu des raies, des coraux et des requins. Ils en repèrent un et le photographient : mission réussie ! 5 000 euros en plus sur la cagnotte.
Sur le camp, Samantha revient victorieuse et triomphe auprès de sa famille plus que fière d’elle. Elle doit alors annoncer aux BOUZID que Nadia ne reviendra pas, un énorme choc pour cette famille si unie. Une chose est sûre, les ZORRA sont plus forts et soudés que jamais !
« C’est la première fois qu’on fait la lessive » !
Pour les FIASSON c’est le doute, les L’APPARTIEN ayant leur sort entre leurs mains. Estelle sait qu’ils peuvent se venger de l’assemblée passée en éliminant leur soeur Carole. Mais malgré tout, il faut garder le moral et apprendre de la défaite.
Pour les frères FERRONE, les problèmes sont tout autre encore une fois : comment faire la lessive en l’absence de leur mère ? Après le problème des toilettes de la semaine dernière vient celui de la lessive ! Comprenez : c’est la première fois qu’ils la font. Et apparemment ils ne connaissent pas la technique du rinçage !
Les FIASSON, eux, pour faire face à l’attente, décident de partir en balade pour profiter au maximum de l’Australie et de l’aventure : « on est pas au camping paradise », dixit Charles FIASSON. Ils se sentent aussi très différents des autres familles et critiquent les ZORRA, qui consomment leurs denrées sans rationner. Heureusement qu’ils ont « un comportement » qui les fait rester minces.
« Je ne sais même pas comment s’appellent les Bretons » ?
Sur le camp, Samantha ZORRA vient prendre des nouvelles d’Alexis FIASSON et de son nez cassé. S’ensuit une conversation improbable. Alexis ne connaît pas l’expression du sud « peuchère » employée par Samantha et cette dernière pense qu’à Nantes on ne dit que « Saperlipopette » et « flûte » ! Elle poursuit par un magnifique : « je sais même pas comment s’appellent les Bretons ? les Bretonniers ? » C’est cela oui…
Un peu plus tard, après avoir validé la mission, les L’APPARTIEN rentrent acclamés sur le camp et racontent leur exploration. Mais l’heure est à la réflexion : qui éliminer ? Se laissant du temps, ils décident de réfléchir à la chose le lendemain.
Pour les exilés, la soirée est difficile. Surtout pour Carole FIASSON qui se dit que les L’APPARTIEN vont vouloir se venger. Stella FERRONE, elle, s’adapte petit à petit à la vie sauvage.
Les FERRONE : mi-George Clooney mi-femmes de ménage.
Septième jour : Réveil bien difficile pour les FIASSON qui partent défaitistes quant au résultat de l’assemblée. Les deux exilés reviennent sur le camp, pour la plus grande joie de leur famille. Les deux fils FERRONE ne peuvent cacher leur émotion et l’amour pour leur mère. Et Stella est fière de raconter ses progrès d’aventurière ! La bonne ambiance est toujours au rendez-vous chez les FERRONE. Celsino décide de faire une blague à Gianni, son frère, qui ne sait pas que sa mère est rentrée. Rien à dire, Celsino est un véritable acteur, George Clooney peut trembler.
Mais ayant peur de partir, Stella décide d’apprendre à ses fils les règles de base du ménage et de la vaisselle, pour faire d’eux de vraies fées du logis. Ils nous étonneront toujours ces FERRONE !
L’heure du verdict a sonné : qui de la vraie aventurière ou de la mamma italienne partira ?
C’est l’heure de l’assemblée. Ce sont les L’APPARTIEN (toujours habillés pareils et brushing impeccable !) qui ont les cartes en main. Charles FIASSON prend la parole pour dire que Carole est l’aventurière par excellence et la digne descendante de sa grand-mère ! Un moment fort en émotion pour elle. Stella, elle, explique qu’elle ne voulait pas séparer ses fils et que l’exil lui a permis de se découvrir une âme d’aventurière.
Les L’APPARTIEN n’y vont pas par quatre chemins et demandent aux FIASSON pourquoi ils ont éliminé leur père. Charles répond qu’il souhaite que l’aventure se termine entre les jeunes. N’avait-il pas parlé d’éliminer les plus forts plus tôt sur le camp ? (Pas très honnête tout ça !).
Les L’APPARTIEN partent alors délibérer et pour eux le choix s’impose rapidement. C’est Alexis (le nouveau chef de famille) qui annonce le verdict : Carole FIASSON est éliminée !
Les FIASSON, si fiers la semaine dernière, perdent leur membre fédérateur Carole. Comme quoi la roue tourne !
La semaine prochaine : vengeance des FIASSON, craquage, tricherie et frisson !
Flavie Flament : Elle s’essaie à la chanson… et choisit Louis Bertignac !
Alors qu’elle s’apprête à recevoir Liane Foly ce lundi, et Christophe Alévêque mardi, dans son émission quotidienne Tout le plaisir est pour nous sur RTL, Flavie Flament se souvient encore de sa rencontre du 18 mars dernier avec Louis Bertignac…
Le courant est visiblement bien passé entre l’animatrice, qui quittait TF1 l’an dernier, et le chanteur, qui fait son retour dans les bacs avec l’album Grizzly. Le Parisien, dans son édition du samedi 9 avril, révèle que Flavie et Louis enregistreront un duo ensemble sur le morceau Tes bonnes choses dans le cadre d’une des émissions animées par Eric Jean-Jean sur la première radio de France.
L’enregistrement de l’émission est prévu le 21 avril pour une diffusion le 30 avril. Notons également que le chanteur sera l’invité d’honneur d’un autre programme animé par Eric Jean-Jean, Ma liste préférée, dimanche 16 avril à partir de 14h30, comme l’annonce la radio sur son Twitter.
Avec une telle programmation, le moins que l’on puisse dire, c’est que RTL sait donner un coup de pouce aux artistes dont elle est partenaire !
Bourgogne : Création d’un département de musique vocale à l’attention des chanteurs !
Dans un communiqué reçu le 31 mars 2011, le Pôle d’enseignement supérieur de la musique (PESM) en Bourgogne annonce l’ouverture d’un département de « Musique vocale » à l’attention des chanteurs et des chefs d’ensembles vocaux ».
Pour en savoir plus, lire le dossier de presse ci-dessous (en partie) et ci-joint (en entier).
« Ouverture du département de musique vocale de PESM Bourgogne
Depuis la récente réforme de l’enseignement supérieur de la musique en France, les musiciens qui souhaitent s’engager dans des études supérieures bénéficient de possibilités considérablement élargies. Ainsi les Pôles d’enseignement supérieur de la musique proposent une formation au nouveau diplôme national supérieur professionnel de musicien (DNSPM, bac + 3) qui peut être préparé conjointement à une Licence de musique et musicologie voire, dans certains Pôles, donner lieu à des parcours de formation préparant également au diplôme d’Etat de professeur de musique.
Cet accroissement sensible des possibilités de formation vaut pour l’ensemble des disciplines musicales. Il permet aux instrumentistes et chanteurs de toutes esthétiques d’accéder à un niveau de diplôme reconnu à l’échelle nationale et européenne et, par conséquent, de multiplier leurs débouchés, en terme de poursuite d’étude (en France et à l’étranger) comme d’insertion professionnelle (dans les domaines de l’enseignement et de la pratique artistique notamment).
C’est dans ce contexte que le Pôle d’enseignement supérieur de la musique en Bourgogne (PESM Bourgogne) propose une formation à ces trois diplômes (DNSPM, DE, Licence), en convention avec l’université de Bourgogne et en partenariat avec les conservatoires à rayonnement régional de Dijon et du Grand Chalon.
Après avoir ouvert deux spécialités du DNSPM (« instrumentiste dans les répertoires classiques à contemporains » et « instrumentiste et chanteur dans le champ des musiques actuelles »), le PESM Bourgogne ouvre en septembre 2011 la spécialité « chanteur et chef d’ensembles vocaux dans les répertoires anciens à contemporains ».
La première promotion est ouverte pour 20 chanteurs et 4 chefs d’ensembles vocaux. Le cursus est accessible aux musiciens titulaires du baccalauréat (ou équivalent). Il faut également être titulaire d’un diplôme d’études musicales d’un conservatoire (DEM ou équivalent) dans la discipline présentée ; à titre transitoire, il est alternativement possible aux candidats possédant déjà une expérience professionnelle de présenter un dossier d’activités artistiques.
> Les inscriptions ont lieu jusqu’au 31 mai 2011.
> Le concours d’admission est organisé le 23 juin (épreuves écrites) et à partir du 27 juin 2011 (épreuves pratiques).
Informations complémentaires : PESM Bourgogne : 03 80 58 98 90 – contact@pesm-bourgogne.fr – http://www.pesm-bourgogne.fr »
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Dijon : Nouveaux locaux pour l’Ecole suisse internationale !
Université de Bourgogne : Hommage au docteur André Gisselmann, décédé lundi 04 avril
Dans un communiqué reçu vendredi 08 avril 2011, l’université de Bourgogne informe que ce même jour, « les collègues du docteur André Gisselmann, décédé ce 04 avril, lui ont rendu hommage lors d’une séance privée de recueillement. Le doyen de la faculté de médecine, le professeur Frédéric Huet, souligne l’ouverture d’esprit et la ténacité du professeur Gisselmann, pour développer sa discipline universitaire : la santé publique ».
> En novembre 2009 puis en mars 2010, dijOnscOpe avait interviewé le docteur André Gisselmann pour son expertise dans le domaine de la psychiatrie (Lire ici et ici nos articles).
Pour en savoir plus, lire la suite du communiqué.
« Le professeur André Gisselmann s’est engagé dans l’enseignement de la santé publique à la faculté de médecine de Dijon dès 1984. Il s’est attaché à montrer la polyvalence de la discipline et ses implications dans la pratique médicale quotidienne. Militant et ouvert d’esprit, il s’était engagé dans les instances régionales et nationales en lien avec la santé publique. Sa vision large de la discipline, associée à sa rigueur et son franc-parler ont suscité de nombreuses vocations parmi ses étudiants, qu’il s’est attaché à soutenir avec ténacité sur le long terme. Il a ainsi renforcé et enrichit cette jeune discipline tout en établissant des ponts avec la psychiatrie, l’addictologie et la médecine légale.
Professeur de Santé Publique, André Gisselmann était également psychiatre, chef du service de Psychiatrie et d’Addictologie du CHRU de Dijon. Il y a contribué à diversifier les modalités de prises en charge (comme par exemple les hospitalisations séquentielles) et à développer les activités de soins extrahospitaliers. Ses doubles compétences, en Santé Publique et en Psychiatrie, l’ont conduit à créer un enseignement et une activité régionale d’Addictologie.
C’était un chef de service apprécié de ses collègues et de ses équipes dont il a toujours soutenu énergiquement les actions. De nombreux travaux témoignent de sa réelle implication nationale et internationale pour la Santé Publique, la Psychiatrie et l’Addictologie. On retient notamment la création d’un Centre d’Addictologie régional et universitaire.
La faculté de médecine de l’uB ainsi que le service de Psychiatrie et d’Addictologie du CHRU veulent témoigner conjointement de leur reconnaissance au professeur André Gisselmann. »
Week-end à Dijon : Prenez un grand bol de pop !
- Samedi 09 avril 2011
18h – Tuez la pop qui est en vous l Kill your pop : chaque année, le festival s’engage à faire découvrir aux oreilles dijonnaises la crème de la musique indépendante… Dès 18h, la galerie du Consortium, place des Halles, accueillera Dustin Wong, musicien solo qui réussit à faire voyager son public avec sa simple guitare et quelques samples. A quelques mètres de là, au Bistrot Quentin, La Féline proposera à 20h un set entre « pop, le folk épique, le beau, le bizarre et la musique instrumentale », précise le programme, qui indique également qu’un soupçon de western et de série B planera sur leur concert… Enfin, la Péniche Cancale sera également caisse de résonance des musiques indépendantes avec un plateau réunissant dès 22h les Anglais de The Notes et ceux d’Electricity in our homes, deux groupes situés quelque part entre le Velvet Underground et Sonic Youth… Pas encore rassasiés ? Les DJ Tippex Bouggie System et ceux du label Rough Trade viendront pousser des disques à la Péniche cancale pour terminer la soirée !
20h – Une deuxième tournée de… pop ? l Vous l’aurez compris, le samedi 09 avril 2011 sera pop ou ne sera pas… En parallèle du festival Kill your pop, La Vapeur accueillera à 20h une sélection de groupes réalisée par le dénicheur de talents General Elektriks. Au menu : de la power pop franco-américaine avec Honeycut ; de la pop et du hip-hop avec Pigeon John ; et enfin un soupçon de trip-hop avec Antonionian.
- Dimanche 10 avril 2011
11h – S’éveiller avec Bach (et ses fils) l Dans le foyer de Jean-Sébastien Bach, la musique était partout. Et ses enfants n’ont pas échappé à l’exigence de leur père, accédant à un excellent niveau musical… Parmi les six fils survivants, cinq épouseront ainsi une carrière musicale et trois d’entre eux deviendront célèbres. Cette intimité familiale, l’Orchestre Dijon Bourgogne tentera de la retranscrire en musique au coeur de son lieu de résidence : la chapelle de l’Hôpital général, place du 1er Mai à Dijon…
15h – Trouver le disque rare l Des disques, Radio Dijon Campus en a par milliers, de tous les styles, pour tous les goûts. « Mais voilà, la radio en reçoit tellement qu’au bout d’un moment, il faut libérer les stocks », explique-t-elle dans un communiqué… Aussi, rendez-vous est donné dès 15h à la Péniche Cancale pour une foire aux disques, au soleil et en musique, dont le principe est simple : un disque = un euro !
15h – Un zeste de Bartabas l Du Bartabas, sans Bartabas, mais à grands renforts de chorégraphies équestres, de symphonie musicale et de danse… A 15h, le Zénith de Dijon a rendez-vous avec le virtuose, oubliant l’apesanteur pour flirtant avec le rêve le temps d’un spectacle… Une prouesse accompagnée par l’Orchestre symphonique d’Europe de Brest Litovsk.
16h – Retour à la case pop l Amoureux de pop indé, ce week-end vous aura bien choyé ! Trois nouveaux concerts rythmeront également la journée de dimanche à Dijon : celui du duo anglais Hype Williams, flirtant avec les années 1980, à 16h au Consortium ; celui du Lonesome French Cowboy, alias Fédérico Pellegrini, ancien Little Rabbits et French Cowboy déjà aperçu plusieurs fois à Dijon en compagnie de sa casquette et de sa guitare ; et Motorama, pour finir, arrivé tout droit de Russie pour enchanter le Flannery’s à 20h…
20h – Un voyage en Bosnie l « Bosnie, 1997. Dans le village de Slavno, tous les hommes, sauf le vieil imam, tous les garçons, à l’exception d’un seul, ont été emmenés et tués par les forces serbes. Dans les maisons ravagées, quelques femmes sont restées. Alma est la seule à croire qu’il est possible de rester au village sans dépérir. Avec une opiniâtreté aussi admirable qu’absurde, elle s’échine à confectionner confitures et conserves, alors que le marché le plus proche est à des kilomètres et qu’il ne reste pas une automobile ». Conte funeste et réaliste, très sobre, Premières Neiges est un film humaniste qui sera projeté en exclusivité au cinéma Eldorado de Dijon, dimanche à 20h, avant une rencontre-débat avec Jean-Arnault Dérens, journaliste, rédacteur en chef au Courrier des Balkans…
Maxime Berger : « A 300 kilomètres, la moindre erreur en moto peut-être fatale »
On estime aujourd’hui à 2,5 millions, le nombre de deux-roues circulant en France, hors vélos. Un chiffre en constante augmentation, qui accentue l’effet de vulnérabilité de ces derniers sur la route. Dans le cadre du Plan départemental d’actions de sécurité routière – et en partenariat avec l’auto-école Notre-Dame -, la Préfecture de la Côte-d’Or organise le Printemps de la moto, samedi 09 avril 2011, au lac Kir de Dijon. Une opération de sensibilisation à destination d’un large public, parrainé par le champion Maxime Berger. L’occasion pour dijOnscOpe de revenir sur le palmarès de ce Dijonnais coureur superbike, champion d’Europe 600 en 2007, vice-champion du monde 1.000 en 2008 et 2010 en superstock…
Dans la cour des grands…
Pour Maxime Berger – qui va fêter ses vingt-deux ans fin juin 2011-, la moto est déjà une longue histoire. Dès l’âge de trois ans, il enfourche son premier engin. Lorsqu’il a huit ans, son père est victime d’un accident de la route le contraignant à arrêter toute pratique. Partant du principe que « tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort », Maxime débute la compétition et donc sa carrière de pilote motocycliste en 1998, sur des petites motos de 70cc. D’emblée, et durant trois années consécutives, il décroche le titre de champion de France de catégorie. S’essayant sur tous les circuits de kart, il se retrouve depuis le début de l’année 2011 sélectionné pour le championnat du monde Superbike.
Fondé en 1988, ce championnat est moins connu que le motoGP mais se court sur des circuits permanents. Chaque épreuve est composée de deux courses et le résultat permet de décerner à la fin de la saison les titres pilote et constructeur. « C’est un rêve qui s’accomplit ! J’ai toujours donné beaucoup pour la moto ; c’était un de mes rêves de monter et déjà quand j’étais petit, je regardais ces courses. » Le voilà donc aux côtés de pilotes comme l’Espagnol Carlos Checa ou l’Italien Max Biaggi, respectivement premier et quatrième du championnat après deux courses, et qui ont fait leur gamme en motoGP. Une sensation « bizarre et extra », pour le jeune homme.
Des ambitions plein la tête !
Depuis le début de la saison, Maxime Berger a déjà roulé sur deux circuits : Phillip Island en Australie le 25 février 2011 et Doningtom en Angleterre le 27 mars 2011. Un circuit qui ne lui aura pas porté chance puisque le Dijonnais a tout simplement perdu sa roue ! « J’utilisais des jantes en magnésium de l’année dernière, plus légères mais extrêmement fragiles. Elles ont sans doute pris quelques chocs ou avaient des micro-fissures car elles n’avaient pas leurs quotas de kilomètres et ont cassé. » La roue arrière de sa Ducati 1198 se détache alors littéralement du bras oscillant, provoquant la chute du pilote qui se considère chanceux, l’accident étant sans gravité (Voir la vidéo ici). Prenant tout de même le départ de la seconde course, il devra aussi abandonner du fait d’un autre souci technique.
Pourtant, Maxime Berger l’assure, il ne manque pas de motivation, considérant même que « pour l’instant, tout se passe bien ! […] Je bosse énormément physiquement et contrairement aux autres années, c’est un travail à temps complet […]. Il faut suivre une préparation physique saine, appeler les sponsors… A chaque niveau, la compétition est très prenante. Je n’aurais jamais imaginé que se soit aussi poussé que ça ! ». Un jour sur deux, il suit un programme draconien à base de vélo, footing, gainage et musculation : « L’année dernière, j’avais une course de treize tours ; cette année, rien que le dimanche, j’en ai deux de 23 tours. Si le physique ne suit pas, vous ne faîtes rien ! Si on commence à fatiguer, à 300 km/h, la moindre erreur peut être fatale… ». Malgré un budget restreint et une team privée le pénalisant par rapport aux motos-usines que peuvent utiliser ses concurrents, il espère pouvoir faire un top 10 pendant la saison et marquer des points à quasiment toutes les courses. Même s’il reconnait qu’il lui « faudra sans doute une année d’apprentissage avec quelques bons résultats ».
La quinzième place dans le viseur
Face à l’expérience – certains pilotes ont déjà quarante ans -, Maxime Berger fait le pari de sa jeunesse et de sa bonne condition physique. A 21 ans, il est bien conscient que sans résultat, son nom sera vite oublié : « Il faut pousser, il faut aller plus vite qu’eux pour contourner l’expérience qu’ils ont ». Ce crédo sera appliqué dès la prochaine compétition, qui aura lieu du 15 au 17 avril 2011 à Assen, aux Pays-Bas, avec l’objectif de finir dans les quinze premiers en marquant des points aux deux courses : « Je veux entrer dans les seize pilotes en qualifications pour accéder ensuite au Superpôle, qui est divisée en trois courses ». Ces dernières permettent de déterminer l’ordre de placement sur les lignes de départ : au terme de la première course, les quatre pilote les plus lents sont placés en cinquième ligne ; lors de la seconde, les huit plus lents sont placés sur les quatrième et troisième lignes, tandis que la dernière course permet d’établir la première et la deuxième lignes des deux courses qui se dérouleront ensuite.
Dans ce monde, Maxime Berger fait donc office d’ovni. Prenant à sa charge ses frais de déplacement, emmenant lui même de quoi dormir sur le circuit. Très pudique sur les sommes engagées, il reconnait tout de même que la moto, en elle-même, représente un investissement de 120.000 euros. Petit à petit, le Dijonnais essaye donc de se frayer un chemin dans le monde professionnel. Samedi 09 avril 2011, il participera – à l’invitation de Stéphane Cretin, patron de l’auto-école Notre-Dame, au Printemps de la moto, opération de sensibilisation organisée par la préfecture de Côte-d’or, qui se tiendra au lac Kir de Dijon. L’occasion pour lui de livrer la bonne parole : celle de la prudence et du plaisir !












