Archive | 6 avril 2011

Enrique Iglesias va très loin avec une fan en soutien-gorge sur scène !

 

 

Les fans françaises d’Enrique Iglesias seraient-elles moins caliente que les autres ? Lors de son passage par le Zénith de Paris, sur la route de son Euphoria Tour le samedi 2 avril, avec des tubes aussi explicites que I like it ou Tonight I’m fucking you, Enrique Iglesias a fait honneur à sa tradition : après avoir fait monter sur scène un jeune homme et une jeune femme (tétanisée devant son idole !) sur scène pour un apéro improvisé et une séquence tendresse de dix minutes, il faisait le bonheur d’une autre groupie en surgissant dans le haut de la salle parisienne et en invitant une demoiselle à slower avec lui le temps d’un duo… ponctué du traditionnel baiser sur la bouche. Un slow pudique, sans mains baladeuses ni de part ni d’autre, et un baiser chaste. Mais le lendemain, en Belgique, ce rituel des concerts du latin lover, qui sait entretenir la passion de ses fans, a pris un tour beaucoup plus hot…

C’est bien connu, Enrique Iglesias adore jouer avec ses fans. Mais dimanche 3 avril, il a décidé d’aller encore plus loin… Alors qu’il donnait un concert sur la scène de l’Ethia Arena à Hasselt en Belgique, le chanteur d’origine espagnole a fait monter une de ses fans à ses côtés. Jusqu’ici rien de surprenant. Devant un public probablement très féminin, Enrique a alors entraîné la jeune femme blonde dans une danse plutôt olé-olé.

Si le fils de Julio Iglesias est connu pour embrasser ses fans sur scène – elle n’était définitivement pas la première ! -, cette fois-ci, en revanche, il ne s’est pas limité à la bouche de la demoiselle. Plus hot que jamais, l’interprète du très controversé Tonight (I’m fucking you)  a littéralement glissé sa tête sous le t-shirt (extra large !) de sa jeune fan (totalement hystérique) afin d’obtenir un tête à tête avec sa poitrine !

Si mimer des actes sexuels et chauffer ses fans est son grand rituel, Enrique s’est carrément lâché face à la Belge, qui le lui rendait bien. Totalement excitée, cette dernière a même décidé d’ôter son t-shirt. C’est donc en soutien-gorge que la jeune femme s’est glissée à son tour sous le t-shirt du chanteur – qui cartonne avec son neuvième album Euphoria  – après lui avoir léché le torse. Non, vous ne rêvez pas ! Il ne s’agit en aucun cas d’une scène extraite d’un film pour adultes mais tout simplement… d’Enrique sur scène !

A 35 ans, celui qui semble toujours autant épris de sa belle Anna Kournikova après huit ans d’amour ne peut s’empêcher de faire grimper la température. Mais à la longue, les fans de ce dernier ne vont-elles pas se lasser ? Et quand il s’agira de se renouveler, avec les années défilant, que fera notre Enrique ? La prochaine étape s’annonce interdite aux moins de 18 ans…

 

X Factor: Coups de théâtre en cascade… Les 25 élus connus et les jurés servis!

140 candidats, 24 places pour partir en stage, répartis en quatre catégories, avec les quatre jurés-managers et les stars de leur choix dans des lieux chargés de symbolique : l’équation de cette quatrième soirée du télé-crochet X Factor saison 2, chaque mardi sur M6, était simple. Il appartenait aux candidats les plus méritants de la résoudre (toutes les vidéos de la soirée et les vidéos « pas vues à la télé » à visionner sur M6Bonus.fr).

Après les auditions, qui ont permis d’écrémer les 400 sélectionnés des castings nationaux pour ne retenir que 140 prétendants, et qui ont occupé les trois premiers épisodes du concours musical télévisuel avec des fortunes diverses en termes d’audience, proposant au public une sacrée batterie de casseroles mais aussi de très belles promesses pour la suite, place à « l’étape des trois jours » : sur la scène du Palais des Sports, les nerfs des candidats encore en lice ont été mis à rude épreuve, car X Factor a enclenché la vitesse supérieure. Destination : les prime times en direct, auxquels seuls trois élus par catégorie, soit douze candidats, prendront part, au côté des plus grandes stars nationales et internationales en qualité de guests.

Pour faire leurs preuves lors de cette « étape des trois jours », c’est un examen grandeur nature qui les attendait : devant nos jurés émérites, Olivier Schultheis, Henry Padovani, Véronic DiCaire et Christophe Willem, qui ont pas mal fait figure de pieds-tendres lors des auditions, les candidats devaient briller au travers d’ un duel a cappella à élimination directe (et paf, 70 en moins d’un coup), une épreuve de danse, et un passage en solo final pour achever de séduire ceux qui détiennent le pouvoir de leur dire oui.

Après les révélations parues mardi dans France-Soir sur les bidonnages orchestrés par la production, pas de place pour le trucage : les meilleurs lors de ces trois jours de tests seront récompensés.

« Vous n’avez jamais vu ce que vous allez entendre« , ça ne veut rien dire mais ça vous fait quand même fantasmer ? Alors c’est parti pour deux, non : trois heures d’un marathon télévisuel qui aurait mérité d’être traité en deux parties. Pardonnez la longueur du présent compte-rendu (j’y ai laissé quelques phalanges), et plaignez-vous auprès de M6.

L’émission s’ouvre au son de Gettin’ Over You, bombe guettaesque avec Fergie, Chris Willis et LMFAO : pour faire passer le concept du « on cherche quelqu’un capable de vendre des disques », c’est plutôt explicite.

Après les auditions organisées en public (quitte à prendre des libertés au montage en offrant des standing ovations fictives à des candidats n’en ayant pas reçu, histoire de gonfler l’ambiance), le Palais des Sports de Paris sonne bien creux, un vide flippant, lorsque les jurés accueillent, un brin solennels, les aspirants au X Factor. La tension monte dans les rangs, certains se concentrent, d’autres philosophes : « Plus le combat est dur, plus la victoire est belle« , relecture très libre, attribuée à un candidat, de l’adage tiré du Cid « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire« .

Le duel… à mort, a cappella, ah là là…

Pour les affrontements sans merci qui composent le premier filtre de cette étape, chaque catégorie doit présenter chanson à choisir parmi deux imposées : les groupes semblent privilégier majoritairement le Double jeu de Christophe Willem (une flagornerie à double tranchant !), les filles de -25 ans ont le choix entre Qui de nous deux de M et Over the rainbow, morceau culte du Magicien d’Oz immortalisé par Judy Garland, les garçons de -25 ans entre Les Mots Bleus de Christophe et Wonder Why de Julian Perretta un vrai grand écart), les +25 ans entre Rehab’ d’Amy Whinehouse et Le Temps qui court d’Alain Chamfort.

Les garçons -25 ans sont les premiers gladiateurs dans l’arène. Florian, qui avait séduit avec le Everything de Michael Bublé, est opposé au lunaire et androgyne John qui avait beaucoup amusé en première semaine avec sa version très personnelle de It’s so quiet de Björk. Dans le silence, Florian entonne Les Mots Bleus. Ce n’est plus le crooner mais plutôt… la voix de Thierry Amiel qu’on croit entendre. John joue sur son côté showman loufoque. Florian passe, pas lui.

Au secours, je trouve pas le bouton « pause » !

Un wagon de duels file à vive allure sans qu’on y assiste. Les éliminés s’empilent sans qu’on sache ne serait-ce que leur prénom. Pas fair, pas show, tout ça… Ni fait, ni à faire. Et, hélas, une ellipse qui présage la suite.

La prod’ choisit de braquer les projecteurs sur Matthew, le Britannique qui était passé avec une interprétation pourtant très limite de Viva la vida de Coldplay. Il part avec un avantage sur son jeune adversaire, déjà pas irréprochable vocalement : sa maîtrise de l’anglais. Mais, victime de la pression, magré des bouts de mesure qui sonnent bien et laissent deviner un timbre et une énergie intéressants, il fourche, perd le texte à plusieurs reprises… Sera-t-il pénalisé ? Christophe Willem tique, mais le jury croit en Matthew et lui accorde sa confiance… avec un avertissement. « Je suis trop désolé« , se répand le gaillard, penaud. « Je suis déçu, parce que la chanson était en anglais« .

Il ne reste déjà plus qu’un duel, opposant Raphaël, qui avait été assez énorme sur une chanson de Bashung, et qui est assez pénible sur la bombe de l’excellent Perretta. Face à lui, Claude, un jeune homme avec une voix flûtée de femme qui match bien avec ce morceau. Dilemme… Les jurés sélectionnent les deux candidats ! Ah bon ? Il y a des dérogations ? Eh bien, ce n’est pas si dramatique que cela, alors ! Les jurés nous ont fait du flan en répandant du pathos après les premières décisions d’élimination !

Les groupes : Double jeu et coups doubles !

Le duo très folklo Alan Record Orchestra avait décroché son sésame à Lille avec un medley de Carlos réarrangé assez dingo, qui avait laissé le jury sceptique, puis curieux d’en savoir plus. Les deux compères de 42 et 34 ans se risquent à reprendre le tube de Christophe Willem, Double jeu, avec un groove d’enfer et des effets vocaux très toniques. Muriel et Nathalie ont fait le même choix, mais dans une version revue et corrigée par les petits chanteurs à la croix de bois saisis d’une crise d’apoplexie. Alan Record Orchestra passe, avec une nouvelle réserve : « il va peut-être falloir, à un moment, sortir de l’humour. »

Votre serviteur a mal aux doigts, ça s’enchaîne trop vite, encore plus que les auditions. Ouf, la pub salvatrice. Un coup d’eau bprécieuse d’un côté pour purifier ma peau après une rude journée pas encore fini, un bom de céréales à l’arrabiata de l’autre côté (dans la précipitation…) et…….- petit jingle pub de Yael Naim, pas au programme -…..

Me revoici ! On y retourne pour la suite des duels entre groupes.

Les très street Omega assomment les très bien peignés… ? comment, déjà ? On ne saura jamais. Comme pour en individuel, les duels défilent en quelques instants, sans que le public soit invité à se faire une idée en même temps que les jurés. Très frustrant, un gâchis assez inconcevable… La prod’ aurait-elle l’intention de sortir l’intégrale en DVD pour Noël ? Ou bien, peut-être, rien de chaud à se mettre sous le tympan : « c’est ni chaud ni froid », résume Véronic DiCaire.

Puis on retrouve, après un clin d’oeil Armée du Salut où le groupe évoque son ambition de « quitter la misère et la rue », le groupe Presteej, dont l’association de voix black veloutée façon Poetic Lover avait fait sensation. En face, une version de Double Jeu très pêchue, très joueuse, qui envoie. Deux musicalités différentes… qui divisent le jury en deux. Aaaaaaaaaaah quel dilemme, mais gardez-les donc tous les deux. Mais bon sang mais c’est bien sûr, on a qu’à les garder tous les deux, et c’est ce qu’ils font ! Encore un duel ex aequo ! « Une exception une fois par catégorie », précise l’animateur Jérôme Anthony en voix off.

Les filles de – 25 ans, la catégorie reine a priori

Balance, balance, balance du lipstick, du piercing, du gloss, de la jupe, du minois…

Martine avait été repêchée in extremis et avait obtenu un troisième oui décisif avec une interprétation assez pénible d’un hit de Superbus, mais n’avait pas pu faire bouger Olivier Schultheis de son scepticisme. Sur Qui de nous deux ?, elle fait du grand n’importe quoi, du surjeu exploitant son timbre particulier, une folie surcomposée assez désagréable. Son adversaire, qui n’en a pas fait des caisses, sort par la petite porte ; Martine, qui semble perpétuellement décomposée, continue dans la douleur et les pleurs. Ben oui… C’est curieux, ça ; il a fallu attendre les minettes pour voir les premières chaudes larmes.

Marina D’Amico, 16 ans, boule d’énergie qui avait subjugé le jury (et pour cause : elle écume les concours de chant depuis l’âge de 8 ans et a déjà fait les premières parties de Patrick Fiori ou Dany Brillant), saisit sa chance sur Over the rainbow, dans une version très lisse, presque pompeuse et pas franchement irréprochable. Mais le jury est extatique malgré tout. Son opposante, Megane, n’a pas démérité, interprétant la même chanson avec une once de groove et de pop attitude à la Lily Allen, mais elle subit la loi de celle qui est mise en avant par la production comme sa grosse vedette. Et Olivier Schultheis se permet un suspense : « Marina, j’ai une mauvaise nouvelle, parce que… tu restes à Paris. On a adoré. » Un peu excessif. A contrario, Sarah Manesse, qui avait livré une version martiale des Histoires d’A de Rita Mitsouko, offre une version ensorcelante de douceur de la chanson sublimée par Judy Garland et reprise avec le succès qu’on sait par le défunt Iz.

Le jury est ravi… Ben, et nous, alors, on n’a pas le droit au ravissement ?

En vrac, on retrouve quelques visages connus qui sont qualifiés pour la suite, toujours sans qu’on les entende chanter. « Les jurés, eux, sont ravis : les bonnes candidates sont à la hauteur« , nous informe Jérôme Anthony. On est contents pour eux, mais on aurait bien aimé être ravis aussi.

Voici venir une autre chouchoute du montage : la petite Américaine à qui X Factor permettrait de rester en Hexagone auprès de son petit ami frenchy, doit éliminer Julia, une minette bien apprêtée aux dents longues dans ce concours. Cette dernière propose une version remplie de trous d’air de Over the rainbow, notre loveuse offre une cover plus dure. Coup de théâtre : Christophe Willem anonce que les deux sont éliminées !!! La petite Américaine fond en larmes : « Je vais devoir rentrer aux Etats-Unis… »

Les +25 ans : heureusement qu’on les connaissait déjà tous…

Maeva, notre Miss Tina Turner sur Goldeneye, défie Suzanne, une autre maman. « Si c’est votre catégorie, vous avez envie d’en avoir une de ces deux-là ? », demande à ses collègues, incisif, Olivier Schultheis, qui fonde pourtant beaucoup d’espoirs sur cette catégorie. Maeva et Suzanne sont toutes deux éliminées. La tactique, à deux semaines du premier prime, se met en place.

Dans la foulée, c’est l’hécatombe : une avalanche de « non » atterrante, qui pousse même Henry Padovani à se demander comment ces candidats avaient obtenu leur sésame pour l’étape des trois jours.

Vient Vincent Léoty, coiffeur parisien qui a déjà assuré la première partie de Jenifer et avait bluffé le jury avec sa voix haut perchée dans son interprétation (impressionnante mais geignarde et poussive aux entournures) du hit de Queen Who wants to live forever. C’est un double oui pour Vincent et son adversaire.

On voit défiler Daniel ‘3000 Volts’ Barbosa (merci pour ton comment’, el Anjo !) ou Barry ‘Magic’ Johnson, des showmen qui nous ont marqués lors des auditions. Dans cette catégorie, on retrouve également l’attachant Eric Heemeryck, alias Lord Bitum, qui déclarait dans l’édition courante d’Ici Paris qu’il vivotait en donnant des concerts par-ci, par-là. Son rival du moment, Nicolas, passe ; et le Lillois Bitum… aussi !

« Vous chantiez ? J’en suis fort aise : – Eh bien! dansez maintenant. »

Cette journée meurtrière, fatale à 70 candidats (les quotas ont donc été tenus malgré les doubles décisions ?), s’achève. Le lendemain, la tache sera encore plus rude, avec une épreuve dont les candidats n’avaient apparemment pas connaissance au préalable : la danse (vidéo dans notre galerie) ! Les jurés-managers ont pour mission, outre de mener un de leurs protégés au sacre et à la production d’un album, d’assurer de véritables shows lors des émissions en direct. Logique, alors, qu’ils souhaitent évaluer la présence scénique et la marge de progression des candidats…

Et quand Henry Padovani annonce « aujourd’hui, nous allons vous apprendre à danser », on se prend à rêver que c’est lui-même qui va assurer la leçon. Mais non, c’est au chorégraphe professionnel, Zack, de les prendre en main.

« J’suis pas sûr que cela serve à grand-chose », s’interroge, dubitatif, Olivier Schultheis, pour qui le charisme vient d’ailleurs, tandis que les candidats s’appliquent à reproduire les chorégraphies toniques sur du Kesha, du Michael Jackson, du Jackson Five.

En coulisses, les jurés se lâchent : Véronic en Black Swan avec du plomb dans l’aile mais la papatte alerte, Olivier en moonwalker qui reste irrémédiablement sur terre, ou Henry Padovani, qui s’y connaît en « Walking on the moon », avec sa variante : le moonwalk corse. Mouais…

L’épreuve de danse s’avère un obstacle terrible pour certains candidats (sûrement pas pour un certain Mehdi Kerkouche), des garçons notamment, qui craquent durant les répétitions. Les jurés semblent pétris d’indulgence, eux-mêmes largués en danse.

Jour 2, 16h28, ouverture du bal !

Les candidats passent par groupes, les jurés sauront-ils discerner les maillons faibles et se résoudront-ils à les sanctionner pour n’être pas des danseurs nés ? La catégorie des garçons de -25 ans ponctue la salve, avec beaucoup de bonne volonté et… une bonne dose de freestyle. « Les gens qui s’accrochent, qui essayent quand même, c’est un caractère fort » : Olivier Schultheis y trouve des enseignements. En guise de bonus et de récompense, la troupe de danseurs pro se lâche et offre une démonstration de haute volée.

En réalité, personne ne sera éliminé après ce gigotage de masse qui a permis à tout le monde de se détendre et de relâcher la pression. Grosse euphorie à cette annonce d’Henry Padovani (« Merci, c’était génial »), et même le jury est invité à monter sur scène pour faire la bringue.

Le soir, quelques petits bobos et beaucoup d’angoisse dans les chambres d’hôtel (qu’on espère insonorisées), à quelques heures de l’ultime prestation, déterminante.

Jour 3 : L’heure avait sonné…

70 rescapés, 24 places. Voilà qui promet un sacré casse-tête au jury. Dans les travées du Palais des Sports, 69 candidats observeront le passage de l’un des leurs, l’un de leurs adversaires.

Matthew Raymond-Barker, le sympathique et exubérant Anglais qui avait échoué dans le X Factor d’outre-Manche et a déjà frisé la correctionnelle dans l’édition française, offre une interprétation très décente de Just the way you are, le tube de Bruno Mars. Cette fois, il n’a pas mangé la feuille.

Les jumeaux Twem, qui avaient fait le show sur le Crazy de Gnarls Barkley assorti de tics vocaux et gestuels très clichés, s’emparent cette fois du Soulman de Ben l’Oncle Soul : Olivier Schultheis n’adhère toujours pas malgré quelques moments vocalement positifs et le prouve avec une rafale de grimaces de souffrance. « Ringard », il n’en démord pas !

« Le talent à l’état brut, magique… »

Sarah Manesse, très chic, explique pourquoi elle passe le concours X Factor : « J’en avais marre de chanter toute seule dans mes toilettes (…) Je cherchais un endroit pour évacuer tout ce que j’ai… » Pas très heureuse, cette façon de présenter les choses. Après sa version musclée des Histoires d’A et son très gracile Over the rainbow, elle envoie un ultra-rageur Heavy Cross de Gossip. Enorme. « Elle est magique, c’est le talent à l’état brut » : Olivier s’extasie, rejoint par Henry. Pas forcément bon signe pour Ana Dupont, qui, avec un physique plus proche que Sarah de celui de Beth Ditto, et une voix (ou une interprétation) quasi mimétique, semble apporter moins de choses, moins de réinvention.

Notre crooner masqué/pizzaïolo itinérant de Montpellier, Florian Giustiniani (on l’appellera Floriani, s’il reste, ce sera plus simple), interprète avec beaucoup de légèreté et d’aura la bluette de Guillaume Grand, Toi et Moi. En bonus : vocalement, c’est parfait (certes pas un morceau exigeant), la densité du timbre est séduisante, la justesse sans accroc, avec ce supplément de charisme qui fait instantanément la différence.

Je suis un… arnaqueur, un… imitateur, my name is Mathieu Charabot

Mathieu le conseiller bancaire insoupçonnable derrière sa urban attitude avait fait mouche avec Just the way you are de Bruno Mars. Et il se présente avec… Just the way you are de Bruno Mars. Vous voyez la différence ? Non ? Normal, y en a pas. Moralité : méfiez vous des banquiers. Il en est à son troisième passage avec la même chanson, pas très vendeur. Le jury n’est pas dupe : « Tu as deux heures pour nous montrer comment tu chantes sur autre chose », impose Olivier Schultheis. A son retour, Mathieu Charabot, pour sa seconde et dernière chance, tente un titre en français cette fois : Toi et moi, de Guillaume Grand (oui, encore, ce qui confirme que les candidats se voient imposer une liste de titres). Et là, révélation : Matthieu est un imitateur. De même qu’il avait le style et le timbre Bruno Mars sur Just the way you are, le garçon, qui trébuche un peu sur les paroles, calque le timbre et les intonations de Guillaume Grand (notamment les attaques frottantes, un peu râpeuses). « Arrête de nous escroquer parce que tu as du talent », commente Olivier dans un sourire.

Just an illusion… And always confusion.

Intermède consacré aux espoirs déçus. Le quatuor des Five Sisters se prend les pieds dans le tapis, le jury en est effondré.

La piquante brunette Maryvette, toujours aussi théâtrale, se paye un gros freestyle improbable sur Le Prélude de Bach de Maurane. Une prise de risque assez déstabilisante… Quel parti prendra le jury ?

Bérénice Schleret se prend carrément pour Bonnie Tyler sur Total Eclipse of the heart, avec une voix très mimétique qui a toutefois le mérite de confirmer le penchant rock de la candidate. Au passage, pourquoi ces candidats s’obstinent-ils à chanter en anglais, une langue qu’ils ne maîtrisent manifestement pas ? Olivier a détecté un nouveau spécimen « ringard », Henry Padovani n’est pas de cette avis : entre les deux jurés, l’un pointilleux et aguerri, l’autre plus prompt au coup de coeur, le fossé est bien visible. Cela étant, le zoom est assez accablant pour Olivier Schultheis. A tort, puisqu’il est le seul à avoir un niveau d’exigence constant quand ses trois acolytes sont capables de s’extasier sur des gueulards et des gens qui chantent faux !!! Tiens bon, Olivier, on est avec toi.

Raphaël, le gaillard qui avait envoûté en reprenant Bashung, fait une nouvelle démonstration de son charisme sur scène, avec un choix de chanson pour le moins opportun : le magnifique Junebug de Robert Francis, qui lui permet de motrer autant sa profondeur et son velours que sa puissance et son côté rock.

Bitum tient pas la route !!!

Incapable de mémoriser les paroles, encore une fois déstabilisé par la pression, Lord Bitum décide de prendre ses cliques et ses claques plutôt que de monter sur scène et de faire un « truc pourri« . Olivier Schultheis, informé pile à temps par Gemini Cricket, intervient. Pourra-t-il remettre Bitum sur l’autoroute de la gloire ou le verra-t-il s’éloigner cahin caha sur les pavés de Paris-Roubaix ?

Troisième (ou quatrième ? Ou plus ?) coupure pub, vitale puisque ce soir le programme dure… quoi ?! 3h05 ?! Mais ça va pas, non ?!

Bref, malgré la ténacité d’Olivier, Bitum ne se présentera pas devant le jury. C’est donc au tour de Vincent Léoty, notre ami coiffeur qui attendrit le jury avec sa passion pour la musique et pour sa petite fille. Brillant sur une chanson peu accessible de Muse, on peut penser, d’autant que la prod’ le place depuis le début, qu’il sera un des six dans la catégorie des plus de 25 ans.

Rebondissement : Bitum ressurgit. Ah bon ? On croyait qu’il avait jeté l’éponge malgré le soutien d’Olivier ? Un petit coup de ciseau dans le montage pour intensifier tout cela. Le rappeur au physique de camionneur fait toujours autant d’effet avec sa voix fluette, d’une grâce insoupçonnable, sur Danser encore, de Calogero. Mais le texte lui échappe. Bouleversé par le peu qu’il a entendu, le jury l’exhorte à recommencer ; un peu désinhibé, Bitum retrouve son latin. Le visage d’Olivier s’émeut. Et, sans être parfait, c’est sacrément touchant. Ce bonhomme est désarmant.

Après une petite fournée de passage de groupes en rafale, les White Niggaz s’offrent encore un peu de visibilité : souvenez-vous, ces Lyonnais s’étaient illustrés dans la première saison de X Factor (ils n’avaient pas trop apprécié nos critiques, mais on est content de constater qu’ils n’ont pas eu besoin de nous pour continuer à exister !).

Le groupe Choeurs d’artichaut, dont l’une des membres signait quelques-unes des confidences sur les coulisses de X Factor dans France Soir mardi, nous propose une vilaine choucroute de C’est comme ça de Rita Mitsouko – soupe de paroles, râgout de bouts de partition liquéfiés… Beurk… C’était pas la peine de cracher dans la soupe en plus après l’élimination, mademoiselle.

Enfin, revoilà Valentin, le big coup de foudre, entre reggaeton et Ray Charles, du premier épisode de X Factor. Valentin a habilement choisi une chanson de Gérald de Palmas, un chanteur dont le timbre est très proche du sien. Reste à faire exister le moment : et c’est le cas, sa présence convainc le jury. Et nous aussi.

Lilou, Céline, deux candidates qui jouent les divas sur le tube de Kelly Rowland/David Guetta When love takes over.

Magic’ Johnson, you rock ! Attention, un Barry peut en cacher un autre…

Notre – déjà – idole du concours, le Californien de 52 ans Barry Johnson, se présente avec son chapeau culte, son visage aux allures de livre d’histoire(s), son charisme magique : »Je suis à un moment de ma vie où il faut que quelque chose change. J’en ai marre d’avoir de s problèmes d’argent, j’en ai marre de manger des pâtes, j’en ai marre d’avoir la vie d’un saltimbanque. » Un Barry pouvant en cacher un autre, il nous offre sa version, qui n’a pas grand-chose à envier à l’originale, de My first, my last, my everything, de Barry White. Barry ‘Magic’ Johnson, on le pressent, a sa place dans la suite de l’aventure, c’est une évidence…

Certaines histoires personnelles vont droit au coeur du jury, comme celle de Jordan José, 17 ans, qui tente d’embrasser la carrière pour sa mère, qu’il a privée de jeunesse en naissant alors qu’elle avait 15 ans. Excellent choix de chanson : avec Mad World, de Gary Jules, fait passer une intense émotion. Mais il n’est pas le seul à avoir tiré le meilleur parti de cette merveilleuse chanson…

Mickaël Picquerey, qui nous avait copieusement gavés avec son Creep de Radiohead, est l’unique candidat à avoir choisi La nuit je mens, d’Alain Bashung pour son passage. Culotté. Plutôt valorisant pour sa voix. Et le jeune homme marque des points en achevant son interprétation a cappella tout en quittant la scène. Ca, c’est classe.

Martine, sur un hit de Rihanna, montre ses limites, flagrantes (puisqu’on vous le disait), et cette fois, le jury ne peut pas ne pas les constater ! Ils n’ont jamais vu ce qu’ils viennent d’entendre…

Enchaînement de groupes sur un titre identique (Soulman), dont on suit une poignée de mesures pour chacun, le retour de la benjamine bête de concours Marina D’Amico avec de nouveaux éclats de voix quasi-irréprochables, un éclopé (Sofiane) courageux qui assure sur du Bruno Mars… Bien répétitif, tout ça… Vite, le verdict tragique, qu’on palpite un peu…

Sortez-nous de là, les célébrités !!!

23h17, heure de diffusion : on attaque les délibérations à couteaux tirés entre les jurés. Enfin, les convictions s’affinent et s’affirment, et chacun défend son bout de gras… sans savoir encore de quelle catégorie il héritera ! « J’en veux qu’un, je mets le fusil sur la table », lâche Henry Padovani. « Ca sert à rien, on est d’accord sur celui-là ! », réagit en riant Olivier.

« Le X facteur n’est pas passé, il ne passera jamais… » C’est ce qu’on commence à craindre… Enfin, la délivrance, après un petit paquet de compromis et d’espoirs abandonnés en cours de route. Voici la liste des 24 élus :

Filles -25 ans : Bérénice Schléret, Charlene Gervais (qu’on n’a même pas vu chanter en quatre émissions), Sarah Manesse (sans surprise), Audrey Passani (quasi inconnue au bataillon aussi…), Marina D’Amico (bien sûr…), Ana Dupont (ah bon ?). Les autres, foncez sur le demake up.

+ 25 ans : Barry ‘Magic’ Johnson, Cécile Couderc, Christophe Gillard, Maryvette Lair, Lilou Bourial (le ravissant sosie d’Ayo), Vincent Léoty (on vous avait bien dit que la prod’ ne le mettait pas autant en valeur sans raison… En plus, il a une petite fille, vous vous rendez compte ?).

Les groupes : Omega, New Style Project, Swalk, White Niggaz (ils remmettent ça !), les Twem (Olivier a craqué, ou c’est par défaut), Presteej.

Garçons -25 ans : Florian Giustiniani, Mickael Picquerey, Sofiane Boncoeur, Slimane Nebchi, Raphaël Herrerias, Matthew Raymond-Barker. Ouah, il y a de la casse…

Coup de théâtre : le jury rappelle cinq des garçons éliminés… et les repêche EN TANT QUE GROUPE !!! Dingue, les jurés viennent de créer, à l’impro (ou bien était-ce prémédité), un supergroupe ! Quel avenir et quel… nom pour le combo X Factor ?! En tout cas, cette grande, grande surprise nous conforte un peu d’avoir enduré l’épisode marathon de ce 5 avril.

Les catégories attribuées

Les quatre jurés sont en ébullition, encore plus après la création du supergroupe des repêchés. Après une séquence lâchage de nerfs du côté des intéressés, c’est l’heure pour la production de dévoiler qui coachera qui. Chaque juré a rendez-vous dans une salle d’attente, et…

Les groupes (redoutés par Henry, qui aurait besoin d’une cellule psychologique) : ça tombe sur Henry, comme de par hasard ! Bien joué, la prod’ ! « Il va falloir que je me remette de mes émotions, je vais avoir plus de boulot que les autres, je vais y réfléchir dès ce soir. »

Les garçons de -25 ans (Christophe et Véronic adoreraient) : Véronic, qui crevait d’envie d’avoir des garçons, pleine d’idées pour eux, décroche la timballe.

Les +25 ans : Christophe va avoir pour mission de transmettre son savoir à de grandes personnes ! L’enthousiasme est toutefois moins palpable que chez Véronic.

Les filles de -25 ans (favorite d’Olivier) : « Je suis l’homme le plus heureux du monde« , s’extasie Olivier, un technicien en mode lover, qui entend bien « préparer un tapis rouge » à ses divas.

Après Padovanneur, Calimerovani se dévoile !

Les retrouvailles entre jurés sont piquantes : Olivier est fier comme Artaban et plaint déjà celui qui a les groupes, soit Henry. « Tu crois que moi j’ai fait une connerie quelque part dans ma vie ? » : il le prend avec humour, le Riton !

Le prochain volet promet des sensations fortes, et des déchirements dramatiques, puisque chaque juré devra, à l’issue du chapitre « la maison des juges », sélectionner trois de ses six protégés…

Notre verdict sur ce quatrième épisode de X Factor, consacré à l’étape des trois jours ? C’était long, très long, inutilement long, dispendieusement long, impardonnablement long (cet effet de redondance est dédié à la prod’), et on a eu l’impression pendant les 100 premières minutes d’être pris pour des jambons, avec une sorte de méga-zapping ultra-frustrant. Clairement, cette phase de sélection, importante dans le déroulé du concours, et pertinente dans sa composition, aurait mérité meilleur sort. Un traitement en deux épisodes de deux heures aurait sans doute ménagé l’intérêt des différents tests et préservé celui des téléspectateurs. Car il fallait être vraiment courageux, ou dépressif, ou condamné à suivre vaille que vaille pour le boulot, pour rester jusqu’au verdict final et mériter les quelques rebondissements ultimes… Il faudrait commencer à réaliser, du côté de la prod’, que cette émission a vocation à divertir et faire rêver le public. Pas à le kidnapper.

Harry Roselmack : chouchou des Français, il est moins apprécié des prostituées !

Les Français ont beau s’opposer à son départ et apprécieraient même de le voir au poste du journal de 20H de TF1 toute la semaine, rien ne changera la décision d’Harry Roselmack de quitter le poste de joker de Laurence Ferrari comme il l’a annoncé il y a quelques semaines. Bientôt, Harry sera remplacé par Gilles Bouleau, c’est un fait.

Mais si les Français ne cessent de cajoler le journaliste depuis son arrivée sur TF1, les prostituées qui manifestaient à Lyon le 19 mars, elles, ont été légèrement moins tendres avec ce dernier. En effet, alors qu’Harry se promenait dans les rues de Lyon, le journaliste préféré des Français s’est retrouvé au coeur de la manifestation des prostituées pour leurs conditions de travail. Partis de la Place des Terreaux à 14h30, les manifestantes pour la plupart cachées sous des masques, des perruques ou encore déguisés en « courtisanes » et « catins » ont déambulé dans les rues de Lyon pendant deux heures afin d’arriver à l’église Saint-Nizier.

Et alors que notre Harry national passait par là, souriant, le chouchou des Français a reçu un oeuf sur son blouson au son de « TF1 c’est les putes de l’État ». Classe… Apparemment, Harry n’est pas apprécié de toute les couches de notre société !

Adriana Lima, Alessandra Ambrosio et les anges dans leur bikini le plus sexy !

A quelques jours de l’arrivée de l’été, les tops mettent le paquet et la rédaction a décidé de d’élire la plus sexy dans son maillot de bain…

Les bombes de Victoria’s Secret présentent, chacune à leur manière, leur bikini le plus sexy de l’été et vous allez voir, il y a de la concurrence !

Adriana Lima féline en bikini léopard qui nous fait de l’oeil sur le sable chaud, Isabeli Fontana exotique à souhait pour nous faire fondre de plaisir, Alessandra Ambrosio en bikini noir est ultra sexy pour dominer ses concurrentes ou encore la ravissante Lily Aldridge minimaliste avec un bikini bleu aux liens marrons, les mannequins phares du géant de la lingerie ont des réserves que l’on ne soupçonnait point.

Marisa Miller et sa poitrine généreuse mettent parfaitement en valeur un bikini floral noir aux motifs colorés, tandis qu’Erin Heatherton se veut mutine pour Victoria’s Secret

Grande absente du classement, Candice Swanepoel, qui risque la rupture de contrat en raison de la silhouette bien trop fluette qu’elle a affichée il y a quelques jours pour le lancement de la saison estivale…

SAISON DES BEBES HERISSONS

 

Coucou à tous les automobilistes ! 
 
 Je suis juste là pour vous rappeler 
de faire bien attention sur la route 
car c’est la période des bébés hérissons 

trop mignons, inoffensifs et utiles!

 Ce serait dommage de

 
> > >
m’’écraser, non ???