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Archive | 21 novembre 2011
Candice Swanepoel sans artifices, délirante de sensualité et de naturel










Candice Swanepoel est l’un des anges atomiques de la marque de lingerie Victoria’s Secret depuis 2010. Elle faisait des quelque top models, dont Miranda Kerr et Alessandra Ambrosio, a défilé le 9 novembre denier pour la marque à New York. Pour VS, Candice Swanepeol incarne une beauté ultra-sophistiquée, fatale même, dans des campagnes extrêmement colorées. Aujourd’hui, c’est une autre facette de sa personnalité que nous dévoile le jeune mannequin sud-africain.
Pour la marque de jeans Rag & Bone, Candice Swanepoel joue la carte de la sensualité extrême et du naturel. Jamais campagne pour des jeans n’avait été aussi troublante. Sur une plage paradisiaque, torse nue ou simplement vêtue d’un léger débardeur, Candice Swanepoel vous lance des regards troublants de douceur. Elle dévoile ses épaules, ses formes exceptionnelles, sa ligne de sirène dans une série de clichés en noir et blanc. Peu d’artifices, seule sa beauté suffit à vous transporter. On ne l’avait jamais vue comme ça.
Cette campagne nous rappelle le clip vidéo de Wicked Game de Chris Isaak. En 1990, le rockeur américain composait et interprétait ce tube mondial. Il demandait au photographe de mode Herb Ritts d’en signer le clip. Ritts décidait de filmer la sublime Helena Christensen en noir et blanc sur une plage d’Hawaï pour un résultat entré au panthéon des clips les plus sexy de l’histoire de la pop.
DICTON DU JOUR
Il faut désabiller un maïs pour voir sa bonté.
TRUCS ET ASTUCES
| ADIEU LES TACHES DE DOIGTS |
| Ah! les fameuses taches de doigts sur les portes! Pour les faire disparaître en deux temps, trois mouvements, coupez une pomme de terre en deux et frottez les taches avec la chair du légume. Rincez ensuite à l’eau claire. |
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Laboratoires Fournier : Abbott sacrifie 200 emplois à Dijon

Le géant pharmaceutique américain Abbott a annoncé jeudi son désengagement de toutes les activités des Laboratoires Fournier. Suite à cette annonce, ce sont 200 salariés qui vont se retrouver au chômage.
C’est une demi-surprise pour les 311 salariés des Laboratoires Fournier, fleuron de l’industrie pharmaceutique dijonnaise, répartis sur le site administratif de Clémenceau à Dijon et le centre de Recherche et Développement à Daix. Jim Sullivan, vice-président des Laboratoires Abbott, est venu confirmer la tendance d’un plan social imminent annoncé depuis juin dernier. Craignant un accueil hostile de la part des salariés lors de ses arrivées au siège social dijonnais et sur le site de Daix, il était accompagné de gardes du corps.
Le géant pharmaceutique américain, qui appartient au Top 10 de la pharmacie mondiale, a décidé de se désengager de toutes les activités des Laboratoires Fournier, rachetés en 2010. « Abbott a fini par achever les Laboratoires Fournier ne gardant que les revenus issus de ces produits en particulier du Fénofibrate (hypolipidémiant) dont le chiffre d’affaires mondial dépasse le milliard d’euros » constatent, amères, les représentants du personnel des Laboratoires Fournier. Face à l’étendu de l’impact social, ces derniers en appellent « aux politiques et collectivités locales pour intervenir dans cette catastrophe sociale issue de licenciements boursiers ».
Ce coup de massue a précédé une nouvelle beaucoup moins terne. Les Laboratoires Fournier seront remplacée par la société Inventiva, structure créée par trois anciens cadres de chez Fournier. Pierre Broqua, Jean-Louis Paquet et Frédéric Cren, directeur général d’Inventiva, tenteront de sauver une centaine d’emplois en axant leurs activités sur la recherche. 200 emplois très spécialisés (chercheurs, techniciens de laboratoire par exemple) seront donc, quoiqu’il arrive, supprimés sur le bassin d’emplois dijonnais. « Entre crise économique et offre d’emploi limitée, c’est un défi important qui attend ces salariés » qui, pour la plupart, seront contraints de déménager pour retrouver un emploi. estiment les représentants du personnel. Espérons qu’Inventiva pourra poursuivre l’histoire de Fournier.
Tramway : autour des rails, la ligne verte

Après la plantation symbolique du premier arbre sur le tracé du tramway du Grand Dijon – un érable plane – 2000 arbres et 6000 arbustes se grefferont à leur tour au paysage dijonnais. 75 % des 20 kilomètres du tracé seront engazonnés.
Le projet tramway du Grand Dijon a pris un virage végétal cette semaine avec la plantation des premiers arbres qui jalonneront les vingt kilomètres de tracé des deux lignes de tram’. Les premières plantations s’effectuent actuellement le long de l’avenue Garibaldi que traversera la future ligne T2 reliant Quetigny au Parc Valmy. Pour cette partie du tracé, ce sont des érables planes qui ont été sélectionnés par les équipes du projet dijonnais. Triés sur le volet, une cinquantaine d’essences d’arbres *ont été choisies sur la base de critères bien précis. « Nous avons choisi les essences selon l’esthétisme et leur compatibilité avec le tramway. Des arbres qui n’ont pas de racines qui puissent aller sous le réseau ou sous la plateforme, explique André Gervais. Il ne faut pas que les feuilles fassent un dépôt de plusieurs centimètres en une nuit. Nous avons fait attention que les essences nouvelles s’harmonisent bien avec le patrimoine végétal en place et qui s’intègrent au sein des différents quartiers. On ne met pas les mêmes essences dans un cœur de ville et dans un quartier récemment construit. »
1708 arbres adultes âgés de 10 à 15 ans
Près de 2000 arbres existants ont été conservés le long des deux lignes, où le chantier n’aura nécessité au final que l’abattage de 300 arbres. Viendront se greffer 2000 nouveaux arbres et plus de 6000 arbustes d’ici la mise en service de la première ligne le 2 septembre 2012. La plantation ne pouvant s’effectuer qu’en hiver, le groupement d’entreprises chargé de cette tâche devra l’effectuer dans un laps de temps réduit. De mi-novembre 2011 à mars 2012, prés de 80 % des arbres seront plantés. Les 20 % restants le seront à l’automne. Une soixantaine d’arbres seront donc plantés chaque jour.
Un peu de Pays-Bas à Dijon
Avec l’arrivée de ces arbres, Dijon prendra un petit air de Hollande. Rassurez-vous, les plantations n’ont rien d’illégale. « Nous avons fait un appel d’offres européen. L’essentiel vient des Pays-Bas car aucun fournisseur français n’a pu répondre sur une telle quantité. Contrairement aux rails que nous avons pu avoir à Hayange, aux mâts qui viennent de Haute-Marne, là nous n’avons pas pu trouver de pépiniériste français qui pouvait fournir suffisamment d’arbres qui font déjà cinq à six mètres de hauteur. » Les entreprises qui s’occuperont de la plantation sont elles françaises.
De « l’eau verte » pour les pelouses du tramway
Rappelons que le Grand Dijon et la Lyonnaise des Eaux ont décidé de redonner vie aux réservoirs Darcy et Montmuzard (boulevard de Strasbourg) afin d’arroser les espaces verts de la plateforme avec les eaux perdues issues du drainage (« eaux vertes ») du parking de la Trémouille. Les quinze kilomètres de tracé enherbés seront eux arrosés de nuit.
* Liste des principales essences sélectionnées :
Erable plane, Aulne de Spaeth, Aulne lacinié, Charme commun, Micocoulier de Provence, Noisetier de Byzance, Frêne à feuilles étroites, Frêne à fleurs, Platane à feuilles d’érable, Platane d’Orient, Pterocarya, Poirier à fleurs, Sophora du Japon, Tilleul de Crimée, Orme résistant, Cépées exceptionnelles en pot.
Hospices de Beaune : 110000 euros pour la « pièce de la présidente »

A eux deux réunis, Inès de la Fressangeet Christian Clavier, co-présidents de la 151eme vente des vins des Hospices de Beaune, n’ont pas fait mieux que Fabrice Luchini. En 2010, le comédien avait réalisé un show mémorable et adjugé un Beaune 1er cru cuvée Nicolas Rolin à 400000 euros. Un record pour un 150eme anniversaire qui restera dans les annales. Ce week-end, les festivités ont battu leur plein à Beaune où les grands amateurs de vins se sont rassemblés pour un événement au succès toujours intact. La vente aux enchères des 761 pièces (fûts de 228 litres) de la récolte 2011 du domaine des Hospices, organisée par la prestigieuse maison Christie’s, constitue l’événement du week-end, avec la très attendue vente de la « pièce du président ». Cette année, il s’agissait d’un tonneau de 460 litres de Corton Clos du Roi Grand Cru, cuvée Baronne du Baÿ. Inès de la Fressange et Christian Clavier l’ont mis aux enchères « à la bougie » à partir de 50000 euros. C’est un acheteur britannique, Stephen Williams, qui a acquis cette pièce pour 110000 euros (voir diaporama).
Un bon bilan, surtout en temps de crise
Ce marchand de vins est le fondateur de « The antique wine company ». Les 110000 euros reviendront aux associations France Alzheimer et Mécénat Chirurgie Cardiaque. Les 761 pièces de la vente ont permis de récolter plus de 5 millions d’euros (baisse d’environ 5 % par rapport à 2010). Il s’agit d’une très belle somme, jugée exceptionnelle par les observateurs en temps de crise économique : « Amateurs et professionnels du monde entier ont soutenu de belles enchères lors de la 151ème vente des vins des Hospices de Beaune, dont le résultat, supérieur à 5 millions d’euros est équivalent à celui de la vente record du grand millésime 2009 » a déclaré Emmanuelle Vidal-Delagneau, commissaire-priseur et consultante de Christie’s. Une somme qui permettra la modernisation des hôpitaux de Beaune et l’entretien de l’Hôtel-Dieu. Les acheteurs chinois représentent 13 % du montant total de la vente cette année. 23 nationalités étaient représentées parmi les collectionneurs et amateurs de vin.



