Archive | 6 juillet 2011

L’autre affaire DSK : Tristane Banon porte plainte et brise le silence…

Tristane Banon, une écrivaine de 32 ans. Elle est l’autre affaire DSK. Lundi, elle a annoncé son intention de porter pour tentative de viol contre Dominique Strauss-Kahn.

Aux Etats-Unis, l’ancien directeur du FMI pourrait être blanchi. Le Wall Street Journal cite mardi l’adjointe du procureur de Manhattan, expliquant qu’il lui paraît difficile de poursuivre les accusations portées par la femme de chambre guinéenne de 32 ans, à moins que « je croie chaque mot sortant de sa bouche…« . Quant au New York Post, dont les récentes révélations ont fait couler beaucoup d’encre, il cite un enquêteur pour qui « le dossier n’est pas défendable » et pour qui l’abandon des poursuites est « une certitude« , probablement lors de la prochaine comparution de DSK, le 18 juillet – certains journaux américains annoncent même une audience avant. DSK, qui avait plaidé non coupable des sept chefs d’accusation, a depuis été libéré, son contrôle extrêmement strict levé et on lui a rendu sa caution de 6 millions de dollars… mais pas son passeport.

Vendredi soir, pour sa première soirée de liberté, il est allé dîner avec Anne Sinclair, son plus fidèle soutien, et leurs amis Jean et Danielle Frydman – chez qui Anne Sinclair s’était réfugiée le soir du 14 mai alors qu’elle était à Paris, pour échapper à la presse – dans un très chic restaurant italien, le Scalinatella, dans l’Upper East Side. Dominique Strauss-Kahn a commencé avec des hors-d’oeuvre, enchaîné par un plat de pâtes aux truffes (100 dollars) et terminé par un cheesecake. L’addition de la table s’élevait à plus de 600 dollars. DSK est sorti du restaurant souriant sous l’oeil des photographes et des journalistes.

Ce mardi, Christine Lagarde prend ses fonctions à la présidence du FMI à Washington. En France, Tristane Banon décide de se faire entendre.

« Ce chimpanzé en rut… »

On se souvient de son intervention sur le plateau télévisé de Thierry Ardisson en 2007, dans laquelle elle racontait sur un ton léger ce « chimpanzé en rut » qui lui aurait sauté dessus en 2003, lors d’une interview. Le nom de DSK est bipé, cependant l’affaire fait du bruit et l’histoire se propage de dîners en rédactions. Quatre ans après cette bombe lâchée chez l’homme en noir, huit ans après les faits, Tristane Bannon décide donc de porter plainte. Elle s’en explique dans une longue interview à l‘Express : « Depuis huit ans, je porte cette histoire seule, j’entends les rumeurs, les mensonges à mon sujet (…) de voir Strauss-Kahn libre, dîner dans un restaurant de luxe entre amis, ça me rend malade. Je sais que la moitié des gens me croira, l’autre non. Il n’y a pas de bonne solution, seulement une qui fait que je pourrai enfin me regarder dans la glace (…) Pour une fois, je voudrais être maîtresse de ce qui m’arrive. Je voudrais que l’on m’entende, parce que j’ai peut-être enfin une chance d’être écoutée. »

Tristane Banon révèle travailler à cette plainte avec son avocat depuis le 15 mai, soit le lendemain de l’arrestation de DSK alors qu’il est à bord d’un vol Air France en direction de Paris dans des conditions révélées dernièrement par le procureur de Manhattan. Face à l’accusation qui s’effondre outre-Atlantique, Tristane Bannon se montre encore plus déterminée : « Si les choses ne se sont pas passées là-bas comme elles nous étaient présentées, il me faudra donc prouver davantage qu’il m’a fait du mal à moi. Sinon, je vais encore me faire traiter d’affabulatrice (…) Si je veux un jour mettre un terme à cet enfer de huit ans, il faut que ce soit jugé. »

« J’en suis restée traumatisée »

La jeune femme décrit cet enfer. Le fait qu’elle ne peut plus travailler, « blacklistée« , et qu’elle vit recluse en dehors de Paris avec son chien. Elle décrit aussi ses difficultés avec les hommes depuis, le fait de s’être détachée de son corps. « J’en suis restée traumatisée« , assène-t-elle à nos confrères qui l’ont interviewée le 29 juin et le 1er juillet, soit avant et après le rebondissement dans l’affaire américaine. Elle subit ce qui se dit à la télévision et trouve refuge dans l’écriture.

Elle répond à ceux qui la décrivent comme une fille peu équilibrée, aguicheuse ou qui multiplie les aventures avec des gens célèbres : « C’est vrai que je n’ai pas eu une enfance très drôle : ma mère était une femme d’affaires peu passionnée par les gazouillis des enfants. J’ai été élevée par une nounou qui me battait. Je n’ai pas connu mon père et ne sais pas s’il est encore vivant. À côté de ça je n’avais aucun souci d’argent, une très bonne éducation dans les beaux quartiers. En conclure que mon contexte familial fait de moi une déséquilibrée… »

Tristane Banon, qui reçoit autant de messages de soutien que d’insultes, « craint des représailles » de l’entourage de DSK, mais se dit prête : « Je ne souhaite qu’une chose, qu’il revienne en France avec sa présomption d’innocence pour que l’on aille devant un tribunal. Je sais bien que ce genre d’affaire, où c’est parole contre parole, sans même parler de gens si puissants, les présumés coupables sont souvent relâchés. Mais moi, je sais que je dis la vérité. » Enfin, dans l’affaire TRON, pour le moment la justice fait son boulot, Tristane !

Une scène… imaginaire !

Dans la nouvelle version de sa biographie, Le Roman vrai de Dominique Strauss-Kahn, le journaliste Michel Taubmann faire réagir Dominique Strauss-Kahn aux accusations de Tristane Banon. Il nie vigoureusement : « C’est complètement faux ! La scène qu’elle raconte est imaginaire. Vous me voyez, moi, jetant une jeune femme à terre, et lui faisant violence comme elle raconte ? Avant cette interview, je ne la connaissais pas. Elle m’avait contacté de la part de ma fille Camille, dont la mère, ma deuxième épouse Brigitte Guillemette, est la marraine de Tristane Banon. L’entretien s’est déroulé normalement et, à son issue, j’ai passé un coup de fil à Michel Field afin qu’il lui accorde à son tour une interview. Quand j’ai appris qu’elle m’accusait d’agression, j’ai été stupéfait. » Au moment des faits, Tristane Banon préparait son livre, Erreurs avouées… (au masculin), publié en 2003 chez Anne Carrière. Sa mère Anne Mansouret, élue PS, était une amie de DSK. Elle l’avait dissuadée de porter plainte. Elle a depuis exprimé ses regrets déclarant ne pas avoir mesuré le traumatisme de sa fille.

Pendant ce temps-là, à New York, Nafissatou Diallo est passée du statut de victime à celui de la dernière des traînées… Elle peut avoir menti pour son titre de séjour aux Etats-Unis, elle peut avoir un peu fraudé aux yeux du fisc, elle peut être mariée avec un trafiquant de marijuna, mais ce n’est pas pour autant qu’elle peut se faire violer, si ses déclarations et les résultats d’expertise sont concordants avec ses accusations… On n’a pas le droit de violer une femme, même une péripatéticienne. D’ailleurs en parlant de prostituée, l’avocat de la femme de chambre, Me Kenneth Thompson, vient de déclarer avoir porté plainte contre le tabloïd américain New York Post qui a affirmé que la victime « présumée » est une prostituée ! Alors que les avocats (ils ne peuvent pas faire autrement, puisque depuis le début ils admettent une « relation consentie » entre DSK et la jeune femme) démentent une relation payante ! Mais il y a bien eu relation… elle a de l’estomac, Anne Sinclair, de supporter tout ça !

 

William et Kate au Canada: Une éblouissante passion et une divine robe S. Burton

William et Kate au Canada, jour 5 ! Au sommaire : des galériens qui ont le sourire, des dégustations, des châteaux de sable, des grandes manoeuvres en hélico, des fous rires, un duel d’aviron entre les jeunes mariés, de la tendresse, et la duchesse de Cambridge transformée en mannequin gilets de sauvetage !

Après avoir triomphé de l’agitation antimonarchiste à Québec, le prince William et son épouse la duchesse Catherine de Cambridge ont fait leur arrivée dans la soirée de dimanche à Charlottetown, pour leur visite dans la province de l’île du prince Edward.

Quel style ! Encore une création Sarah Burton, pour une Kate Middleton de plus en plus iconique…

Là, comme partout ailleurs et à l’image des quelque 800 000 Canadiens présents dans les rues d’Ottawa le 1er juillet pour célébrer avec eux la Fête nationale (soit 6 à 8 fois plus que d’ordinaire), ils ont pu savourer un accueil fervent, notamment lorsqu’ils descendirent la rue Great-George devant 15 000 personnes en liesse, avec toutefois une petite fausse note : le prince William s’est fait traiter de « gros con » ! Ce fut la boulette de la soirée, et elle est à mettre au passif de la jeune chanteuse county Meaghan Blanchard, qui, sans doute sous l’effet de l’excitation et du trac, a fourché, appelant le duc de Cambridge « douche » (probablement au lieu de « Duke ») en reonctrant le couple en coulisse : oh le vilain lapsus ! S’apercevant immédiatement de sa gaffe, la chanteuse de 22 ans était confuse : « J’y crois pas ! » Le duc et la duchesse ont ri de bon coeur de la mésaventure et ont profité du show.

Auparavant, ils avaient longuement savouré l’ovation de la foule, que Catherine, qui a serré bien des mains, posé pour bien des photos et distribué bien des sourires, a gratifiée d’une robe crayon ivoire à côtes torsadées et à liseré bleu marine, entre effet rétro et style tenue de cricket, à tomber à la renverse : une création Sarah Burton pour Alexander McQueen, celle-là-même qui avait signé la robe de Kate pour son mariage le 29 avril dernier, totalement subjugante, même lorsque le vent soulevait la jupe pour laisser apercevoir ses dessous – un cycliste de sécurité. Un nouveau coup d’éclat qui s’ajoute à ses tenues génératrices de Kate-Mania Roland Mouret, Erdem Moralioglu, Issa, Joseph (dont certaines ont connu une augmentation de leurs ventes considérable)… Et réaffirme la grande science de l’intéressée pour ce qui est de gérer son look elle-même.

Lundi 4 juillet 2011, au cinquième jour de leur visite officielle au Canada, leur premier déplacement à l’étranger et leur première venue au Canada en tant que membres de la famille royale canadienne, 225 ans après la première visite royale dans le pays (qui fut l’oeuvre d’un autre prince William, connu ensuite comme le roi William IV), William et Catherine ont notamment découvert le Parc National de l’île prince Edward. Le lac a permis au prince William de faire étalage de ses talents de pilote d’hélicoptère de secours, faisant amerrir sans problème un SeaKing comme ceux qu’il pilote à Anglesey au Pays de Galles, à Dalvay-by-the-Sea. Le lieutenant de la RAF de la couronne a effectué plusieurs fois la manoeuvre d’amerrissage d’urgence (une technique mise au point au Canada), aux commandes de son CH-124, soulevant des gerbes d’eau à chacun des redécollage, sous le regard captivé des spectateurs.

La duchesse Catherine bonne perdante, les câlins en prime

Dans la grisaille et sous quelques gouttes, la charmante Katherine avait troqué ses parures glamour contre une panoplie de circonstance, enfilant en plus un gilet de sauvetage pour s’adonner ensuite à une course de bateau-dragon (entre pirogue et aviron) sur le lac Dalvay : William et elle s’affrontaient, dans des embarcations et des équipes opposées. Trempée et battue de plusieurs mètres par l’équipe de son mari, qui, après un tendre câlin avant le départ de la course, a braillé et provoqué sa belle, Kate Middleton n’a pas perdu son incroyable sourire. Et re-câlin après la course. Toujours très complice avec son prince chéri, échangeant des regards et des gestes tendres qui ne trompent pas (et qu’on ne voit pas chez un certin Albert de M. et une certaine Charlene W.), la belle Anglaise s’est remise de ses efforts avec gourmandise à l’occasion d’une dégustation offerte sous des tentes par des chefs de la région. Après une cérémonie avec des encens traditionnels autochtones, rituel des Natifs-Américains de la région pour purifier le corps et l’esprit mené par une doyenne du clan Mi-kmaq, du homard était au menu, avec un atelier cuisine préalable – William et Kate ont montré qu’ils étaient des bons élèves en la matière.

Kate Middleton ne pouvait qu’être ravie de cette journée, elle qui avait pesé dans la décision de venir dans cette région du Canada où se situe l’action du roman du XIXe siècle Anne of Green Gables, de Lucy Maud Montgomery, qu’elle aimait tant étant plus jeune.

En fin de journée, William et Kate ont rallié en hélicoptère leur point de chute suivant, Yellowknife, pour la suite de leur périple, ce mardi 5 juillet, dans les Territoires du Nord-Ouest. Jeudi et vendredi, ils achèveront leur tournée au Canada à Calgary.

Michael Jackson : On continue de s’arracher ses vêtements

Disparu le 25 juin 2009, Michael Jackson était entré dans la légende de son vivant. Aujourd’hui, alors que le monde observe ses enfants grandir – Prince, 14 ans, Paris, 13 ans, et Blanket, 9 ans -, se demandant lequel prendra la relève, le business autour de leur père est florissant : avec sa musique, bien sûr, et la flopée d’albums inédits qui nous attendent, mais aussi autour des objets qui lui ont appartenu et que les fans s’arrachent.

Le 14 juin, par exemple, à Londres, un chapeau de la star s’est marchandé 9220 euros. Il s’agit d’un Fedora noir créé par le modiste français Jean Barthet à la fin des années 80 pour Michael Jackson. Il a été vendu avec sa forme en bois d’origine aux mensurations de la star. Le tout était estimé entre 2200 et 3400 euros.

C’est une belle performance pour un simple chapeau de la star, imaginez les sommes que peuvent atteindre des objets plus iconiques de la star. C’est le cas, quelques jours plus tard à Beverly Hills, du blouson rouge et noir que Michael Jackson portait dans l’inoubliable clip de Thriller : il a été adjugé 1,2 million d’euros. Une sacrée somme pour ce qui est sans doute le blouson le plus célèbre de la pop music.

En revanche, les « platform shoes » de marque Buffalo que portait Geri Halliwell dans le film Spice World (1997) et que la chanteuse a dédicacées se sont soldées sous leur estimation basse de 568 euros.

Lorie, métamorphosée en dadame, revient plus vite que prévu

Bonne nouvelle ! Le grand come-back musical de Lorie ne se fera pas en 2012… mais fin 2011 !

La fiancée des Français et compagne du comédien Philippe Bas vient d’annoncer ce changement de planning sur sa page Twitter, et se réjouit de bientôt retrouver ses fans en chanson.

Celle qui avait refusé de participer à l’émission Danse avec les stars pour pouvoir se consacrer à ses carrières d’actrice et de chanteuse est allée fêter la bonne nouvelle au premier rang d’un défilé de mode.

Hier, lundi 4 juillet, pour l’ouverture de la Fashion Week Haute Couture à Paris, la pétillante Lorie a en effet garni les front rows du défilé Eric Tibusch sur la célèbre place Vendôme dans un grand hôtel parisien. Moulée dans une robe ajustée grise, cheveux courts et teint éclatant, l’artiste a volé la vedette aux mannequins déambulant sur le podium. Venue en solo, Lorie s’est assise non loin du créateur Claude Montana, qui a dû apprécier le look très chic de l’ancienne ado qui chantait Près de moi, J’ai besoin d’amour ou encore, Je serai (Ta meilleure amie).

Après 2lor en moi, paru en 2007, Lorie a préféré se concentrer sur sa carrière dans la petite lucarne, enchaînant les tournages pour TF1 avec, entre autres, De feu et de glace ou encore Un mari de trop. Sans oublier une apparition dans la célèbre série américaine Les feux de l’amour !

 
 
 

LE COUPLE…

Firmin est sur les genoux, épuisé, exténué.Les exigences continuelles de sa femme insatiable le vident littéralement de sa substance.

Alors dans un ultime sursaut, il lui lance :

« Quand tu seras morte, je ferai inscrire sur ta tombe « Enfin froide ! »

Sur quoi sa chère et tendre lui réplique:

« Et si tu meurs avant moi, je ferai inscrire sur la tienne : » Enfin raide ! »