1 sachet de tranches de courgette ou d’aubergines grillées surgelées
1 gousse d’ail
1 cuillère à soupe d’huile d’olive
1 pincée de piment d’Espelette
1 branche de thym
Sel & poivre
PRÉPARATION
PRÉPARATION : 5 MIN
CUISSON : 7 MIN
Préchauffez le four à 200°C.
Sortez les tranches de légumes et laissez-les décongeler. Coupez la gousse d’ail en deux.
Faites griller les tranches de pain au grille-pain, puis frottez d’ail et d’huile d’olive.
Déposez les tranches de pain sur la grille du four. Sur chacune, superposez une tranche de fromage, des tranches de légumes grillés, arrosez d’un léger filet d’huile d’olive. Salez et poivrez.
Enfournez pour 5 minutes, jusqu’à ce que le fromage soit fondu.
Servez aussitôt, parsemé de piment d’Espelette et de feuilles de thym.
1. Lire la recette entièrement On a souvent tendance à se contenter de lire la liste des ingrédients afin de vérifier que l’on dispose de l’ensemble des matières premières nécessaires à l’élaboration du plat.Pourtant, lire la recette avant, vous permet d’anticiper l’allumage du four, le matériel à avoir, certaines techniques à maîtriser etc.
2. Attendre que la poêle soit suffisamment chaude Pour bien cuire vos aliments, il est préférable d’attendre que la poêle soit bien chaude, d’autant plus s’il s’agit d’une poêle à revêtement anti-adhésif, qui ne sera réellement efficace qu’une fois chauffée. Certaines poêles présentent d’ailleurs un rond central qui change de couleur à la cuisson afin de cuire ses aliments de façon optimum.
3. Mettre les épices à revenir dans l’huile en début de cuisson On peut avoir l’habitude de saupoudrer son plat d’épices en cours ou fin de cuisson. N’hésitez pas à les mélanger avec 1 cuillerée à soupe d’huile en début de cuisson afin de bien libérer tous les arômes.
4. Utiliser des herbes fraîches ou surgelées, en fin de cuisson A contrario des épices, il est préférable de parsemer votre plat avec des herbes fraîches (ou éventuellement surgelées), en fin de cuisson voir même avant de servir.
5. Saler en début de cuisson Saler toujours en début de cuisson, qu’il s’agisse de l’eau de cuisson ou du plat lui même, vos aliments seront ainsi salés à coeur et n’en seront que meilleurs.
6. Poivrer en fin de cuisson A la différence du sel, le poivre est à utiliser en fin de cuisson. Préférez le poivre en grains à moudre chez soi plutôt que le poivre déjà moulu, il aura plus de goût.
7. Goûter ses plats en cours de préparation ! Besoin de rajouter du sel ou autre, vous ne pourrez jamais le savoir si vous ne goûtez pas ! Ayez toujours des petites cuillères propres sur votre plan de travail. Goûtez et ajustez l’assaisonnement en fonction.
8. Bien cuire la viande Pour bien cuire la viande, retenez trois points importants : laisser la viande à température ambiante environ 15 minutes après la sortie du frigo, il est préférable que la viande ne soit pas trop froide avant la cuisson. Pour la cuisson, utilisez un thermomètre spécial viande pour être sûr d’obtenir une cuisson à coeur idéale. Enfin, laissez la viande reposer après la cuisson, elle n’en sera que plus tendre.
9. Cuire les pâtes aldente Alors que l’on pense bien volontiers que le plat le plus simple à préparer sont les pâtes, la plupart du temps elles sont trop cuites ! Pour bénéficier d’un index glycémique moins élevé et d’une diffusion prolongée de l’énergie, mieux vaut les cuire al dente. Suivez bien les indications sur le paquet.
10. Laver les aliments et se laver les mains Afin d’éviter toute contamination extérieure, il est indispensable de bien se laver les mains AVANT de se mettre à cuisiner, mais également de bien laver les différents ingrédients, comme les fruits et légumes avant de les éplucher par exemple.
Elles sont naturelles, banales et même saines, voilà pour le discours officiel. Dans les faits, les odeurs intimes sont gênantes, embarrassantes ou carrément handicapantes, selon leur intensité… et leur fumet. Pour limiter le phénomène, on suit quelques conseils simples mais utiles !
1.On consulte
Autant se faire à l’idée, les odeurs intimes sont normales, et inévitables. En cas de changement d’odeur, en revanche, ou de gêne au quotidien, la première étape est de consulter pour éliminer les infections et maladies, la cause la plus fréquente d’odeurs trop fortes.
2.On évite le karcher
On aimerait enrober l’idée, mais mieux vaut parfois être claires : le karcher avec la pomme de douche ou une douchette vaginale, on oublie. Bien trop agressive, l’eau, comme la méthode, déséquilibrent la flore vaginale et aggrave le problème. On se contente d’un nettoyage extérieur et à l’eau tiède, l’eau trop chaude éradiquant les gentilles bactéries vaginales.
3.On change de savon
Même principe pour les savons et gels douches, dont les produits chimiques peuvent violenter tout un écosystème délicat. En principe, l’eau suffit à laver nos attributs royaux – de l’extérieur. À défaut, on choisit un produit d’hygiène intime au pH doux, ou on utilise un mélange de 2 gouttes d’huile essentielle d’arbre à thé dans 17 cl d’eau.
4.On ne chipote pas sur l’hygiène
Est-il besoin de le préciser ? Pour maintenir les odeurs dans des limites socialement acceptables, on change de sous-vêtements tous les jours, voire de pantalon s’il est serré, et on se lave au même rythme sans savon !
5.On surveille ses culottes
Comme les savons, les sous-vêtements peuvent contenir des matériaux synthétiques ou être traités avec des produits chimiques. En cas d’odeurs suspectes, on investit illico dans des culottes de qualité, pas trop serrées et de préférence en coton.
6.On se méfie des protections intimes
Les serviettes hygiéniques parfumées ? Remplies de produits chimiques. Les serviettes hygiéniques ? Des produits pas toujours identifiés, tout comme les tampons, à la composition souvent inconnue. Autant de bonnes raisons pour choisir des protections de qualité et, surtout, pour les changer très régulièrement. Non, un tampon n’est pas fait pour durer toute la journée !
7.On mise sur les yaourts
Notre royaume intime est rempli de bonnes bactéries, maintenant l’équilibre de la flore vaginale. Pour les chouchouter, on les aide à se développer avec des probiotiques, en yaourts ou en compléments… en faisant d’une pierre deux coups, ces bonnes bactéries étant aussi bénéfiques aux intestins.
8.On mange mieux
Attention, révélation : le vagin contient des levures, ces micro-organismes vivants. Le hic ? Lorsque ces levures prolifèrent, elles déclenchent des infections. En cas d’odeurs excessives, on limite donc les aliments qui augmentent le taux de levures dans l’organisme, comme le pain, la bière, le sucre ou les champignons. À l’inverse, on augmente la consommation d’ail et de chlorophylle.
9.On améliore le bain
Le bain bouillant, on oublie, l’eau trop chaude détruisant les bonnes bactéries. On le prend tiède et on ajoute un verre de vinaigre de cidre, un antibactérien naturel, ou 2 cuillères à café de bicarbonate de soude, qui régule le pH. On marine 15 minutes avant de se rincer, encore une fois sans karcher.
10.On fait la paix
Au moindre déséquilibre, la flore vaginale réagit en redoublant d’odeurs, ce qui fait rarement notre bonheur… mais demeure, pourtant, totalement naturel et sans aucun rapport avec la saleté à laquelle nombre d’entre nous les associent. Et si on lâchait du lest pour se réconcilier avec notre corps et ses odeurs, plutôt que de l’aseptiser à l’excès ?
La turista, que l’on appelle aussi la « diarrhée du voyageur », arrive bien souvent aux touristes mal avertis sur les conditions d’hygiène alimentaires ou hydriques de certains pays. Il s’agit en fait d’une gastro-entérite aiguë, qui se traduit par des coliques, des nausées et vomissements, des crampes intestinales et une grosse fatigue.
Quand on n’a pas pris de précautions, ni adopté les bons réflexes pour l’éviter, elle peut survenir au bout d’environ trois jours, et peut durer quelques jours encore… De quoi ruiner un beau voyage.
Alors, si vous avez prévu de vous échapper pour une destination exotique et de vivre au jour le jour, on vous donne quelques bons réflexes pour prévenir cette maladie, qui touche 20% à 50% des voyageurs…
Se renseigner sur les conditions d’hygiène des pays que l’on visite
Tout passe d’abord par là. On ne peut pas devenir psychorigide sur ce que l’on consomme avant d’avoir un minimum d’informations sur la destination. Premièrement, il faut savoir que les pays tropicaux, et tempérés chaud (Asie, Afrique), et globalement avec des conditions d’hygiène précaires sont les plus touchés. A titre d’exemple, l’Egypte est l’un des pays qui en recense le plus, avec environ 82 cas pour 100 000 visites. Il faut savoir qu’au Mexique on en recense 13 pour 100 000 visites.
Faire attention aux aliments que l’on consomme
L’un des premiers conseils est d’éviter les aliments crus, ou pas suffisamment cuits, même les fruits et légumes. Généralement vendus sur les marchés, ils restent souvent plusieurs heures à température ambiante (qui peut être élevée), et finissent par tourner. Globalement, faites attention aux aliments que l’on trouve sur les marchés en général, même les plats traditionnels et exotiques. Il en va de même pour les boissons ; pour éviter tout risque d’infection, il vaut mieux consommer des boissons encapsulées et ne pas demander de glaçons. Même sous cette forme, l’eau peut contenir des germes.
Faire attention à son hygiène
Comme lors d’une gastro-entérite ou en cas d’épidémie, on recommande de se laver les mains plusieurs fois par jour : n’hésitez pas à le faire dès que possible, et veillez à ne pas vous essuyer les mains sur des torchons à la disposition de tous. Munissez-vous d’un gel hydroalcoolique, et séchez vous les mains avec du papier. En amont, vous pouvez aussi demander à votre médecin de vous prescrire un kit anti-tourista : de l’hydroclonazone pour l’aseptisation de l’eau, un stock d’Immodium et Solutés de Réhydratation Orale par exemple…
S’hydrater beaucoup dès que les premiers symptômes arrivent
Si malgré toutes ces précautions vous commencez à vous sentir mal, sachez déjà qu’il n’existe pas de moyens miracle pour la faire passer… Il faut prendre son mal en patience. Cependant on peut quand même se soulager avec des médicaments anti-diarrhéiques (que vous avez toujours sur vous), et surtout penser à boire de l’eau en bouteille trouvée en magasin. L’hydratation, comme pour une gastro, est la clé pour se remettre, car on perd beaucoup d’eau dans les selles. De plus on peut consommer des boissons gazeuses type Coca-Cola ou Seven Up pour soulager les maux de ventre.