Quand je pense,
Je ne songe qu’à toi.
Quand un regard je lance,
Ce n’est que pour te voir toi.
Quand je rêve,
Je voyage avec toi.
Quand les yeux je lève,
Je te contemple toi.
Je ne sais ni comment,
Ni pourquoi
Mais je sais que toutes mes pensées se dirigent uniquement vers toi
Et ce depuis maintenant longtemps.
Trop pour moi :
C’est trop… trop long !
Tu es avec moi depuis des mois
Et je n’arrive pas à trouver une solution…
…La solution pour te chasser de mes pensées, mes rêves, mes cauchemars ;
Pour cesser toutes ces histoires
Que je me raconte
Car de toute évidence la Vie n’est pas un conte.
Je te regarde de loin,
Tu ne me vois pas forcément !
Je t’ai dit presque toute la vérité il y a déjà longtemps
Peut-être que tu t’en souviens…?!
Tu ne savais pas de qui je parlais
Mais bien sûr c’était de ta personne.
Je crois que tu t’en es douté
Et que c’est pour ça que tu me questionnais ; ces mots encore en moi résonnent…
Tu me manques terriblement ;
Tous les jours !
Tu me manqueras sûrement pendant encore longtemps
Peut-être même toujours.
Tu me manques et j’en suis fatiguée.
Je te vois : je suis soulagée.
Tu me manques et je me dis que je dois passer à autre chose.
Je te vois et je m’en veux, ainsi qu’à toi, d’avoir par ta faute des idées moroses.
Je ne sais pas ce que je ressens envers toi,
Je sais juste que depuis Janvier je ne vis plus à cause de ça.
Selon moi ce n’est pas de l’amour,
Mais je n’arrive pas à définir mes sentiments à part dire qu’ils sont très lourds.
Tu me manques : je suis malheureuse.
Je suis avec toi : je suis heureuse.
Je suis loin de toi : je ne suis rien ou peu.
Je te regarde : je m’en veux, je t’en veux !
Je t’aime ; je ne m’aime pas.
Je t’aime ; je m’aime, enfin…je crois.
Je ne t’aime plus ; je ne m’aime pas.
Je t’aime : je ne l’espère pas.
Je te déteste : je me hais de te détester.
Je t’aime : je me déteste de t’aimer.
Je ne ressens rien pour toi : je ne sais pas je n’y arrive pas.
J’essaie de ne pas penser à toi et c’est là que j’te vois…
