Archive | 5 avril 2013
Christophe Hondelatte amène du sang neuf à Beaune
Christophe Hondelatte est cette année membre du Jury Sang neuf au cinquième festival du film policier de Beaune. C’est aussi cette semaine que sa nouvelle émission sera diffusée sur 13ème Rue. Entretien.
Vous êtes membre du Jury Sang neuf cette semaine au festival du film policier de Beaune. C’est un domaine dans lequel on ne vous attendait pas forcément…
Christophe Hondelatte : Cela fait des années que l’on me demande d’être membre de jurys de festival de films policiers. Je suppose que c’est ma spécialité faits-divers et police qui me vaut cette invitation. J’ai toujours décliné ces invitations pour des questions d’emploi du temps. Pour une fois j’ai un peu plus de temps, j’ai donc accepté.
Ce rôle de juré vous l’appréhendez comment ?
C’est un jugement positif qui nous sera demandé. On décernera le prix du meilleur film. Il ne s’agit pas de dire ce qui est mauvais mais ce qui est bon, du moins ce que l’on trouve bon. Je ne suis pas très porté sur les jugements négatifs de toutes façons, je n’aime pas trop mettre des mauvaises notes au travail des gens. Une œuvre artistique quelle qu’elle soit ne fait de mal à personne.
Le film policier est un genre que vous affectionnez en particulier ?
Pas plus que le reste. La police, le fait-divers ou le polar sont des genres qui me plaisent, mais pas exclusivement. Je ne suis pas utlra fan de la matière mais je la connais bien. On dit souvent d’ailleurs que je suis fan de faits-divers mais ce n’est pas le cas. Cela m’intéresse, l’aspect humain m’intéresse, mais on ne peut pas être fan de crime. C’est trop douloureux pour qu’on puisse en être fan.
J’ai lu quelque part que vous envisagiez de vous lancer dans le cinéma. C’est toujours d’actualité ?
C’est une hypothèse. C’est toujours une question de temps. Quand on me l’a proposé, jusqu’à maintenant, je n’étais pas disponible. Paradoxalement quand on a un peu plus de temps on ne vous le propose plus. Ainsi est faite la vie. Mais si on venait à me faire une proposition intéressante, qui corresponde à mes envies, je la regarderais avec attention. Après, savoir précisément dans quel genre de film je pourrais tourner, je ne sais pas vraiment. Je ferais comme les autres, je lirais le scénario…
Vous connaissez bien le monde de la télévision et de la radio… L’univers impitoyable du cinéma, vous êtes prêt à l’affronter…
Il ne doit pas être pire… On est dans des registres assez proches sur le plan de l’impitoyable… Et puis j’ai l’habitude maintenant, avec le temps on s’endurcit…
« Saisir toutes les opportunités »
J’ai le sentiment que vous n’aimez pas les choses établies que vous aimez sortir des sentiers…
La vie est courte et toutes les opportunités de découvrir des choses nouvelles et riches, il faut les saisir. Dès qu’on me propose quelque chose qui me parle je le fais sans hésiter.
Hormis le festival, vous venez de terminer le tournage d’une série de documentaires…
Je viens de terminer une série pour 13ème Rue. Il s’agit de dix films de 52 minutes, en immersion. La diffusion débute le 5 avril. J’ai été immergé notamment dans le peloton de gendarmerie de haute montagne de Chambéry… J’ai fait aussi du sous-marin nucléaire, passé une semaine en prison, assisté à des autopsies. Je me suis également retrouvé dans des opérations commandos. Il fallait que ces expériences m’enrichissent de nouveautés. J’ai également, en parallèle, une émission hebdomadaire sur Numéro 23, le dimanche soir. Je vais également me remettre à la musique à partir du 15 avril…
Quel est le dernier film que vous ayez été voir au cinéma ? Et avez-vous un film un film culte ?
Le dernier film que j’ai vu est Amour de Michael Haneke. C’est un chef-d’œuvre immense… Pour mon film culte je dirais sans hésiter Into the wild de Sean Penn.
J’en conclus que vous n’avez certainement pas vu le film de votre ami Dave ?
Ah ! Il a fait un film ? Vous me l’apprenez… Je ne pense pas aller le voir… Vous savez, j’aime bien le cinéma un peu subtil….
Aujourd’hui, 05 Avril, nous fêtons les Irène
5 avril: Agapè – Arina – Arine – Crescentia – Earina – Earine – Erinna – Inna – Iren – Iréna – Irène – Iria – Irina – Rina
du grec eirênê, « paix »…
Historique du prénom
Persécutée, en compagnie de ses sœurs Chionia et Agapê qui furent jetées aux
flammes, sainte Irène fut exhibée nue dans un bouge avant d’être mise à son tour
au bûcher, en Thessalonique, au IVe siècle. D’autres saintes ou bienheureuses
furent des Irène. Elle est, étymologiquement, la paix, et elle fut la déesse des
Heures dans la Grèce ancienne. Avec sainte Agnès et sainte Catherine, sainte
Irène est devenue la patronne des jeunes filles. Au caractère, Irène se révèle
d’emblée la droiture et la volonté mêmes ; active, intelligente, passionnée,
elle est de surcroît pourvue d’une intuition qui confine parfois à la voyance.
Dynamique et rigoureuse, elle demeure un prénom fort…
Célébrités du prénom
PROVERBE
A la Sainte-Irène s’il fait beau, il y aura moins de vin que d’eau.
CHARNEL…
Le gout charnel
ta peau pastelle
en relation mes lèvres rebelles
Puit d’Amour incorrigible
ou l’on s’engouffre
gonflé de désir
Essence de desir
ton parfum intime
dans la soie
coule sur toi et moi
essence de plaisir
entre deux soupir
ton souffle chaud au creux de mon dos
ta virilité et les pétales
un ouragan en moi s’installe
cambré sous ton chuchotement
A ta façon
la pluie recouvre mon être
sous tes doigts
perdu en moi
Nos corps entremêlés
la virilité a son sommet
avalanche intense






