Archive | 21 octobre 2011

LES STARS ONT EUX AUSSI DES DEFAUTS

Crédit : Gettyimages // Les bras de Madonna

Les bras de Madonna

Veines apparentes, muscles saillants… A 52 ans, Madonna continue sa lutte acharnée contre le moindre petit bout de gras. Mais à force de soulever des haltères, la chanteuse se dessine des bras d’homme. Un homme fin certes mais qui pourrait bien inquiéter une star du bodybuilding .

 

Crédit : Gettyimages // Les poils de Julia Roberts

Les poils de Julia Roberts

Panne de rasoir, rendez-vous manqué chez l’esthéticienne ? On se demande ce qui a poussé Julia Roberts à se laisser aller à ce point. La réponse est simple, c’est sa philosophie. Ses poils, elle les aime et pour rien, même pas pour les Oscars, elle ne s’en débarrasserait.

 

Crédit : Gettyimages // La sueur de Katherine Heigl

La sueur de Katherine Heigl

Au début, notre œil d’expert n’avait rien vu. Quelques minutes plus tard, le verdict tombe : Katherine Heigl est du genre à transpirer, beaucoup. Mais pas des aisselles. Plutôt des seins. Et avec une robe aussi ajustée que la sienne, impossible de passer inaperçue.

 

Crédit : Gettyimages // La perruque de Naomi Campbell

La perruque de Naomi Campbell

Top model vedette des années 80s, Naomi Campbell casse le mythe avec une perruque mal positionnée. Résultat : une partie de son crâne s’offre un bol d’air. Pas très sexy.

 

Crédit : Abaca // Les cheveux paille de Britney Spears

Les cheveux paille de Britney Spears

Bel et bien révolue la période où Britney Spears nous rendait jalouses avec sa chevelure de starlette. Après l’incident du crâne rasé, la chanteuse ne semble pas pouvoir remonter la pente capillaire. Des extensions négligées, une couleur délavée et une absence totale de style, Britney mène la vie dure à ses cheveux.

 

Crédit : Abaca // La bouche refaite de Lindsay Lohan

La bouche refaite de Lindsay Lohan

Un nez fin, une poitrine généreuse et des lèvres pulpeuses, voilà le sacro saint hollywoodien. Lindsay Lohan avait presque tout, il ne manquait que la bouche pulpeuse, elle s’est donc offert de nouvelles lèvres grâce à la fée Botox. Malheureusement, le résultat est plutôt raté.

 

Crédit : Abaca // Les mains de Nicole Kidman

Les mains de Nicole Kidman

Difficile de donner un âge à Nicole Kidman qui semble avoir comme par magie avoir arrêté de vieillir. L’astuce pour déjouer ce subterfuge ? Regarder ses mains, seuls témoins des années qui passent. Rougies et ridées, ce ne sont plus celles d’une jeune première.

 

Crédit : Gettyimages // Les oreilles décollées de Kate Hudson

Les oreilles décollées de Kate Hudson

Pétillante, ravissante, Kate Hudson fait partie des actrices les plus sympathiques d’Hollywood. Une cote de popularité qui monte lorsqu’elle dégaine ses oreilles décollées. Eh oui, les défauts, ça rapproche.

 

Crédit : Gettyimages // Les sourcils fournis de Natalia Vodianova

Les sourcils fournis de Natalia Vodianova

Natalia Vodianova fait partie des baby faces des podiums. Egérie Etam, styliste à ses heures, la belle Russe a défilé pour les plus grands. Une carrière florissante qu’elle a menée malgré des sourcils très peu disciplinés… C’est rassurant.

Crédit : Abaca // Les grands pieds de Paris Hilton

Les grands pieds de Paris Hilton

Pas vraiment petite, l’héritière Hilton a le défaut de ses qualités car avec la taille vont souvent les grands pieds. Chaussant du 43, Paris camoufle ses péniches dans des escarpins vertigineux. Un bon stratagème mais mieux vaut ne pas redescendre à plat.

 

Crédit : Gettyimages // La couche de fond de teint de Gwyneth Paltrow

La couche de fond de teint de Gwyneth Paltrow

Le make-up à la truelle n’est plus réservé aux starlettes de seconde zone, même les icônes du style s’y mettent. Gwyneth Paltrow a réussi à nous choquer avec une épaisse couche de fond de teint. Effet plâtré assuré pour celle qui croyait masquer ses quelques rides naissantes.

 

Crédit : Gettyimages // Les fesses de Kim Kadarshian

Les fesses de Kim Kadarshian

Certes un postérieur rebondi, c’est joli. Mais quand il soulève la question de savoir si une chirurgie est passée par là, mieux vaut y aller doucement sur les bonbons. Ça, Kim Kadarshian a des difficultés à l’entendre.

 

Crédit : Abaca // La poitrine mal refaite de Tori Spelling

La poitrine mal refaite de Tori Spelling

Avoir des formes c’est bien. Quand elles sont naturelles, c’est encore mieux. C’est loin d’être le cas de Tori Spelling qui s’est offert une nouvelle poitrine alors qu’elle était encore adolescente. Une chirurgie qui a mal tourné puisqu’elle doit désormais vivre avec un trou au milieu des seins.

 

Crédit : Gettyimages // L'ultra maigreur de Keira Knightley

L’ultra maigreur de Keira Knightley

Depuis combien de temps n’a-t-elle pas mangé ? A-t-elle déjà vu un Big Mac de sa vie ? Voilà ce que l’on pourrait se demander en voyant Keira Knightley. Filiforme et anguleuse, l’actrice est du genre petit oiseau affamé. Plus à même de porter des vêtements de créateur, elle perd hélas en sex-appeal.

 

 

 

 

 

 

Nicole Scherzinger et Lewis Hamilton, c’est fini !

Nicole Scherzinger et Lewis Hamilton posent lors de l'avant-première de Cars 2 à Los Angeles en juin 2011

Après quatre années d’une relation faite de hauts et de bas, le couple formé par Nicole Scherzinger, 33 ans, et Lewis Hamilton, 26 ans, a décidé de se séparer. C’est ce qu’affirme l’entourage de l’ex-Pussycat Doll et du champion du monde 2008 de Formule 1 même si, à l’heure actuelle, aucun communiqué officiel n’a été diffusé.

Leurs emplois du temps respectifs seraient la cause principale de la rupture. Lui vit en Suisse, elle à Los Angeles : difficile de vivre une histoire d’amour sereine quand on ne se voit quasiment que sur les lieux de travail de monsieur… Cette même raison avait été évoquée en janvier 2010 quand une première secousse avait ébranlé le couple, qui s’était néanmoins retrouvé quelques semaines plus tard.

La chanteuse et le sportif s’étaient rencontrés en 2007, lors de la soirée des European Music Awards à Munich. Depuis, Nicole Scherzinger rejoignait son amoureux sur les circuits automobiles du monde entier, encourageant le pilote britannique et partageant tous ses moments de suspens et de joie.

Grand Dijon | Travaux du tram : Infos trafic quartier par quartier

Enfin ! Les travaux de plateforme devant la gare de Dijon s’achèvent : la rue Guillaume Tell n’est plus une impasse. Il est désormais possible de traverser le boulevard Albert Rémy puis le Sud et l’Ouest de Dijon. Pour les noctambules, la cellule circulation de la ville de Dijon rappelle que le boulevard Poincaré est fermé dans la nuit de vendredi 21 à samedi 22 octobre 2011 pour permettre la réalisation des enrobés définitifs. Plus tôt dans la journée, il faudra, comme chaque jour de marché, éviter le secteur des Halles : privilégiez la rue Devosge pour aller de République à Darcy et le boulevard de Brosses pour aller au marché et chez les commerçants.

  • Les nouveautés à venir

Lundi 24 octobre | Carrefour Jaurès/3 Forgerons/Rue de Chenove : Nouvelle configuration avec mise en place d’un alternat. ll risque d’y avoir un peu d’attente mais c’est moins pénalisant que l’alternat au niveau du port qui est resté plusieurs semaines.
Lundi 24 octobre | Boulevard de la Trémouille : Fermeture au débouché sur la République pendant deux semaines.
Lundi 24 octobre | Place Darcy : Légères modifications sans incidence sur la circulation.

Le point quartier par quartier :

  • Quartier Valmy

Rue Françoise Giroud : Travaux de plate forme, la rue peut être en sens unique en fonction des besoins des entreprises.

  • Quartier Toison d’Or

Rond point de l’Europe : Circulation à double sens dans un 1/2 anneau. Une déviation est mise en place pour rejoindre le centre ville. Par ailleurs des feux de régulation de flux vont être mis en place de chaque côté. Ce sont des feux comme les autres, qu’il convient de respecter
Avenue de Langres : Circulation à 2 X 1 voie plus une voie réservée au bus dans chaque sens.
Entre Europe et Nation : Circulation à 2 X 1 voie sur une chaussée et l’autre chaussée est réservée au Bus.
Les avenues Kellerman et des Volontaires sont réouvertes à la circulation en tourne à droite uniquement.
Les rues Paul Verlaine et Georges Simenon restent fermées pour des questions de sécurité

  • Quartier Grésilles

Avenue  Poincaré : entre la rue de Gray et le boulevard Trimolet. La circulation s’effectue coté sud à 2 x 1 voie.
La rue de la Boudronnée (rue devant l’Hôtel des impôts) est fermée et la circulation s’effectue à double sens rue des Ribottées.
Avenue Maréchal Lyautey : le carrefour avec le boulevard Trimolet est fermé. Les rues de la Boudronnée et Hugues III permettent d’entrer et sortir du quartier.

  • Quartier Maladière

Boulevard de Champagne : la circulation s’effectue à 2 x 1 voie sur la chaussée Sud. Le carrefour avec les rues de Gray et Léon Mauris fonctionne en quatre phases avec un alternat entre Léon Mauris et Gray. Cela diminue la capacité du carrefour et génère de l’attente sur les quatre axes.

  • Quartier Université

Entre la place Gaston Gérard et le boulevard Raymond Poincare : ouvert aux bus et accès à la rue Alix de Vergy pour permettre notamment aux riverains de circuler dans le quartier
Boulevard Jeanne d’Arc : circulation en configuration définitive entre la place Général Ruffey et l’entrée du tram sur le CHU.
Place Général Ruffey : Circulation normale sur les boulevards de Strasbourg et de Latrre de Tassigny. Le boulevard Trimolet est toujours fermé à son débouché sur cette place.
Rue Sully (au niveau de la faculté des Sciences) : la circulation s’effectue à 2×1 voie au niveau du carrefour à feux.

  • Quartier Drapeau-Junot

Avenue du Drapeau (entre la place Général Estienne – place du char – et le rond-point de la Nation) : la circulation s’effectue à  2 x 1 voie Un  itinéraire de substitution est mis en place par la rue Général Fauconnet ( S10) pour la circulation de transit.
Rue Guy de Maupassant : la voie est fermée au débouché sur l’avenue de Langres. Les feux tricolores gèrent maintenant la traversée piétonne. Ce secteur peut être évité par les véhicules de particuliers grâce aux itinéraires de substitution : Suivre S2 pour aller vers l’Ouest, la Fontaine d’Ouche, Paris, etc. Suivre S4 pour aller vers l’Est, Quetigny, l’Arc, etc. Suivre S10 quand vous arrivez du centre de Dijon pour aller vers le Nord.

  • Quartier centre-ville/place de la République

Place de la République : La circulation s’effectue au Sud de la place
– En arrivant de la rue Devosge, les véhicules sont obligés de prendre à droite.
– En arrivant du Boulevard Thiers pour aller vers l’Ouest (rue Devosge, place Darcy, Gare, …) il faut prendre à gauche. En tournant à droite vous n’avez accès qu’au Boulevard Clémenceau, largement conseillé pour rejoindre le Nord.
– En sortant de l’Hyper Centre par la rue Jean Jacques ROusseau : pour rejoindre la place de la République il faut prendre à droite la rue Dietsch puis à gauche la rue Diderot mise à double sens sur 60m.
– Le Boulevard Garibaldi est fermé et réservé aux riverains.
– En arrivant de la rue Marceau il faut traverser la place en traversant par le parking amménagé à cet effet.
– Les parking sur la place sont conservés avec toutefois une diminution du nombre de places de stationnement.

Les astuces pour se simplifier la place de la Rep :
– se stationner au parking Vaillant qui se trouve au Nord de la place vers la char
– suivre les itinéraires de substitutions pour transiter du NOrd au Sud et d’est en Ouest et vice versa.

Place Général Estienne : la place a pris sa configuration quasiment définitive. Pour autant, la capacité de la place Darcy nécessite de réguler le trafic depuis la rue du Général Fauconnet ou sur la rue Frémiet. Pensez à éviter cette place dans la mesure du possible.
Boulevard Clemenceau : Le boulevard est en sens unique dans le sens Place de la République > Jean Bouhey. La déviation est réalisée par le boulevard de la Marne (côté hôtel Mercure) puis le boulevard de Verdun, la rue Davout, la rue de Metz et le boulevard Thiers.
Avenue Foch : fermée définitivement à la circulation sauf pour les riverains, l’accès aux commerces et les livraisons. L’accès à la gare se fait par la place Darcy le long du square Darcy (derrière la Maison du Tram), puis la rue des Perrières et la rue Guillaume Tell. Pour rejoindre le Sud, le boulevard Sévigné est à double sens de circulation ou suivez S9 par Perrières/boulevards de l’Ouest et Bourroches.
Boulevard Sévigné : circulation à double sens entre la rue Mariotte et la rue Millotet mais attention : seuls les bus les taxis et les cycles y sont autorisés.
Boulevards De Brosses et de la Trémouille : une seule voie tout le long de l’axe et on circule coté Nord. Pour aller de Darcy à République, il est préférable d’emprunter la rue Devosge.
Place Saint Bernard : on circule sur la partie Nord en demi lune dans le sens boulevard De Brosses > boulevard de la Trémouille.
Rue du Temple : alternat sur la rue du Temple. Ouverte jusqu’en octobre à la circulation générale dans le sens De Brosses > place Grangier.
Rue Jean Renaud : circulation inversée côté Nord et rue fermée côté Sud.
Rue Bannelier : fermée à son débouché sur le boulevard De Brosses.
Rue du Château : la circulation sur la rue du Château est en sens unique de Grangier vers De Brosses.

  • Quartier Gare

Foch/Gare : la  zone chantier nécessite la fermeture du passage de la rue Guillaume Tell vers Albert 1er (aller du Nord au Sud au niveau de la Gare).  Depuis le Nord et Victor Hugo, pensez à prendre le boulevard de l’Ouest pour ne pas aller dans cette impasse.
Pont de l’Arquebuse : la circulation s’effectue à l’alternat sous ce dernier entre l’avenue Albert 1er et le boulevard Sévigné.
Rue de l’Arquebuse : mise en sens unique dans le sens Nord-Sud. La circulation entre la rue Joliet et la rue du Fbg Raines est réouverte uniquement dans ce sens.
Depuis la rue de l’Hôpital en arrivant au niveau de la rue Monge :
– Pour aller en gare, il faut prendre à gauche la rue du Faubourg Raines puis la rue Jehan de Marville puis la rue Nodot pour rejoindre l’avenue Albert 1er.
– Pour aller à l’Ouest ou au Nord, il faut prendre à gauche la rue du Faubourg Raines puis l’avenue de l’Ouche puis le Quai Nicolas Rollin (feu Amora) puis le boulevard des Gorgets (Le Bien Public) et le boulevard Kir pour se retrouver sur la RD905.
Ce sens unique a pour conséquence de charger l’accès au centre-ville par la rue Monge et la rue Mariotte. Quelques minutes d’attente sont à prévoir en heure de pointe pour passer le carrefour rue Mariotte/rue Chaussier.
Rue Monge et Du Faubourg Raines : La mise en place des rails en courbe nécessite la fermeture du carrefour et un alternat avec giration compliquée pour aller de Monge vers Faubourg Raines. Utilisez S9 à partir de la place Darcy pour quitter le centre-ville ou, mieux encore, les itinéraires S2 et S4 en venant du Nord pour rester sur les boulevards périphériques, ou S3 et S1 en venant du Sud.

  • Quartier Montchapet

Avenue Victor Hugo/boulevard de Troyes : alternat sur cette voie sur 50 mètres. Il y a des risques de remontée de file d’attente sur le boulevard François Pompon ; il en est de même dans le sens entrée de ville sur Talant

  • Quartier Sud

Rue de l’Hôpital / Premier Mai : En cemoment, ça circule plutôt bien sur cet axe.
Avenue Jean Jaurès entre la place du 1er Mai et la rue de Chenôve : Réouverture de la circulation dans les deux sens mais circulation alternée de 160 mètres réglé par feux tricolores au niveau du passage sur le canal.
Avenue Jean Jaurès : Circulation réouverte dans le sens sortie de ville.
Carrefour avenue Jean Jaurès/bd des Peyvets/bd Machureau : La circulation s’effectue à 2 x2 voie sur la chaussée nord sur le boulevard des Peyvets et le boulevard Machureau.
Boulevard des Valendons (limite Chenôve / Dijon) : circulation à sens unique  entre la rue Georges Serraz et la rue de Chenove. Alternat du carrefour rue de Chenove/ bd des Valendons sur l’axe Chenove – Maxime Guillot : saturation sur les quatres branches du carrefour aux heures de pointe, les capacités étant très réduites
Boulevard Henri Camp : Circulation à sens unique de la voie entre l’avenue Jean Jaurès et la rue de Chenôve dans ce sens de circulation.
Boulevard Palissy / Diables bleus (Bd parallèle à Jean Jaurès) : Circulation en 2 fois 1 voie soit sur la chaussée « sortie de ville » soit sur la chaussée « entrée de ville » en fonction de l’avancement des travaux.

  • Quetigny

Rue Sully / RD107b : circulation à 2X1 voie.
Boulevard de l’Université : la circulation à 2 fois une voie passe du coté nord au coté sud  entre Quetigny centre et l’avenue de Bourgogne. Les mouvements de tourne à gauche au carrefour à feux du boulevard de l’Université avec le boulevard de l’Europe (Conforama) sont interdits. En arrivant de Chevigny ou pour quitter la ZAC et rejoindre la rocade ou Dijon, il convient de suivre la déviation « Dijon » qui dirige les véhicules par le Bd de l’Europe puis les rues Alain Bombard et Champeaux (derrière la piscine Olympique). Cette disposition permet de fluidifier le trafic à ce carrefour très sollicité et sur lequel il ne reste qu’une seule voie par axe. Basculement de circulation sur la nouvelle voirie à deux fois une voie plus une voie bus. Attention, comme toujours, la dernière couche d’enrobé n’est pas réalisée il peut y avoir des émergences. Rappel : la vitesse est limitée à 30 lm/h.
Rue des Chalands (accès dans la ZAC) : de nouveau ouverte.
Rue Du Château : circulation à 2×1 voie sans grande perturbation sur la circulation.

Rappel des itinéraires de substitution et des déviations :
– pour aller ou quitter la zone commerciale, trois solutions : par le boulevard de l’Europe, par le Hameau de Mirande ou par Sennecey ;
– pour aller à Quetigny centre et Couternon, passer par le Hameau de Mirande ou suivre S21 depuis la rocade (par l’Arc) ;
– pour quitter Quetigny centre et Couternon, suivre S20 puis prendre l’Arc.

Cary GRANT

Archibald Alexander Leach est né le 18 janvier 1904 à Bristol, en Angleterre. Il fut élève dans l’école primaire de Bishop Road . Enfant unique, il vécut une enfance malheureuse et agitée. Sa mère Elsie fut placée par son père dans un hôpital psychiatrique lorsque Archie avait dix ans. Elle ne surmonta jamais la dépression qui survint après la mort d’un précédent enfant. Son père, qui eut ensuite un fils d’une autre femme, lui raconta que sa mère était partie pour de longues vacances. Ce n’est pas avant d’avoir plus de 30 ans qu’il découvrit qu’elle vivait encore, placée dans un institut spécialisé.

Il fut renvoyé de la Fairfield Grammar School de Bristol en 1918. Il rejoignit ensuite la « Bob Pender stage troupe » et voyagea avec le groupe vers les États-Unis en 1920, lors d’une tournée de deux ans. À la fin de la tournée, il décida de rester sur place pour poursuivre sa carrière scénique.

Encore sous son nom de naissance, il joue sur la scène de The Muny à St. Louis (Missouri), dans les spectacles suivants : Irene (1931); Music in May (1931); Nina Rosa (1931); Rio Rita (1931); Street Singer (1931); The Three Musketeers (1931); et Wonderful Night (1931).

Ayant connu le succès dans des comédies légères de Broadway, il part pour Hollywood en 1931, où il prend le nom de Cary Lockwood. Il choisit ce nom d’après son personnage dans la pièce Nikki. Il signe avec Paramount Pictures, mais les patrons du studio étaient plus impressionnés par l’acteur que par son pseudonyme. Le prénom convenait mais le nom de Lockwood prêtait à confusion avec un autre acteur. C’est en parcourant une liste de noms d’emprunt que naquit Cary Grant, choisi pour ses initiales C et G qui avaient déjà porté chance à Clark Gable et Gary Cooper, deux des plus grandes stars de l’époque.

Après des participations et un premier rôle face à Marlène Dietrich dans Blonde Venus, sa célébrité vint grâce à Mae West qui le choisit pour lui donner la réplique dans deux films à grand succès Lady Lou et Je ne suis pas un ange (tous les deux de 1933)[3]. Je ne suis pas un ange fut un succès très rentable, tout comme Lady Lou, nommé pour l’Oscar du meilleur film, qui sauva Paramount de la banqueroute.

En 1936, l’acteur commence à se montrer très exigeant, et ne supporte plus que la Paramount ne voit en lui qu’un sosie de Gary Cooper[4] et décide à la fin de son contrat de devenir indépendant. Il signera deux contrats notamment avec la RKO et la Columbia Pictures qui lui permettent de devenir un acteur indépendant, et c’est en devenant un acteur indépendant qu’il deviendra l’égal de Gary Cooper et l’acteur de légende qu’on connaît[4].

Cary Grant joua dans les plus célèbres screwball comédies, dont L’Impossible monsieur Bébé avec Katharine Hepburn, La dame du vendredi avec Rosalind Russell, Arsenic et vieilles dentelles avec Priscilla Lane, et Chérie, je me sens rajeunir avec Ginger Rogers. Son rôle dans Cette sacrée vérité avec Irene Dunne représente l’incarnation type du personnage de Grant à l’écran.

Ces rôles solidifièrent sa force d’attraction, et Indiscrétions, avec Hepburn et James Stewart, démontra son stéréotype à l’écran : l’homme charmeur mais peu fiable, précédemment marié à une femme intelligente et de caractère qui, après avoir divorcé de lui, réalise que – malgré ses défauts – il est irrésistible.

Grant était une valeur sûre du box-office pendant plusieurs décennies. Acteur polyvalent, il pouvait jouer des rôles physiques comme dans Gunga Din avec le savoir-faire acquis sur la scène. Howard Hawks dit de lui qu’il était « de si loin le meilleur qu’aucun ne pouvait se comparer à lui. »[5]

Il tournera dans plusieurs films d’Alfred Hitchcock qui, bien connu pour ne pas aimer les acteurs, dira de lui « qu’il était le seul acteur qu’il ait jamais aimé de toute sa vie »[6]. Grant apparaît ainsi dans de grands classiques du maître du suspense : Soupçons, Les Enchaînés, La Main au collet et La Mort aux trousses. Le biographe Patrick McGilligan a écrit qu’en 1965, Hitchcock proposa à Grant de jouer dans Le Rideau déchiré mais celui-ci avait décidé de se retirer après son dernier film, Rien ne sert de courir (1966); Paul Newman prit son rôle face à Julie Andrews[7].

Au milieu des années 1950, Grant créa sa propre maison de production, Grantley Productions, et produisit plusieurs films distribués par Universal, tels Opération jupons, Indiscret, Un soupçon de vison (avec Doris Day), et Grand méchant loup appelle. En 1963, il joue aux côtés d’Audrey Hepburn dans Charade.

Grant était perçu comme un électron libre du fait qu’il était le premier acteur « indépendant », à contre-courant du vieux système des studios, qui décidaient des évolutions de leurs acteurs. Il put ainsi avoir le contrôle de chaque aspect de sa carrière. Il décidait quels films tourner et s’impliquait dans le choix du réalisateur et de ses partenaires et négociait même parfois un pourcentage sur les bénéfices, un privilège rare à l’époque mais désormais courant parmi les grandes stars.

Il fut nommé deux fois aux Oscars dans les années 1940 mais, étant l’un des premiers acteurs indépendants des grands studios, il ne l’obtiendra pas durant ses années d’activité. Ce n’est qu’en 1970 que l’académie lui remit un Oscar d’honneur pour sa carrière. En 1981, il reçut les honneurs du Kennedy Center.

Éloigné des écrans, l’acteur resta néanmoins actif. À la fin des années 1960, il accepta un poste au comité de direction de Fabergé. Une fonction qu’il assumait pleinement en assistant aux assemblées et faisant de la promotion, conscient que sa présence lors du lancement d’un nouveau produit pouvait lui garantir le succès.

À la fin de sa vie, il fera des tournées aux États-Unis appelées A Conversation with Cary Grant au cours desquelles étaient projetés des extraits de ses films suivis de débats. L’acteur se préparait pour une représentation à l’Adler Theater à Davenport dans l’Iowa l’après-midi du 29 novembre 1986 lorsqu’il fut victime d’un accident vasculaire cérébral. Il meurt dans la nuit au St. Luke’s Hospital à l’âge de 82 ans.

La vie privée de l’acteur fut agitée, comprenant notamment cinq mariages. Selon certaines rumeurs, il aurait été homosexuel ou bisexuel et aurait entretenu une liaison amoureuse de dix années avec le comédien Randolph Scott.

  • En 1942, Grant épouse la très riche et mondaine Barbara Hutton et devint une figure paternelle pour son fils, Lance Reventlow, qui trouvera la mort dans un accident d’avion. Le couple fut ironiquement surnommé « Cash and Cary, » même si dans un accord prénuptial, l’acteur refusait tout arrangement financier en cas de divorce. Celui-ci survint en 1945, mais ils restèrent des amis toute leur vie. Grant a toujours réfuté l’accusation d’un mariage d’argent. Il a dit avec son humour typique : « Je peux m’être marié pour de très bonnes raisons, mais l’argent n’a jamais été l’une d’elles. »
  • Sa troisième femme est l’actrice Betsy Drake, qu’il épouse le 25 décembre 1949. Ils partagent l’affiche de deux films ensemble. S’avérant le mariage le plus durable, il s’achèvera le 14 août 1962. Drake lui fit découvrir le LSD, et au début des années 1960 il raconta comment un traitement de la drogue hallucinogène – légale à l’époque – dans une prestigieuse clinique californienne lui apporta la paix intérieure que le yoga, l’hypnose et le mysticisme n’avaient pu lui procurer[8],[9],[10].
  • Son quatrième mariage, à l’actrice Dyan Cannon de trente-trois ans sa cadette, eut lieu le 22 juillet 1965 à Las Vegas. Le mariage fut suivi de la naissance prématurée de son unique enfant, Jennifer Grant, le 26 février 1966 alors que l’acteur avait 62 ans. Il l’appelait souvent « ma meilleure production », et regretta de n’avoir pas eu d’enfant plus tôt. Le mariage avait du plomb dans l’aile dès le début et Cannon le quitta en décembre 1966, déclarant que Grant partait souvent dans des rages soudaines et la battait quand elle lui « désobéissait ». Le divorce, finalisé en 1968, fut amer et public, et la bataille pour la garde de leur fille dura dix ans.
  • Le 11 avril 1981 Grant épouse sa compagne de longue date, Barbara Harris, qui avait trente-deux ans de moins que lui. Elle restera à ses côtés jusqu’à sa mort.