Le travail des plongeurs de la gendarmerie prend une autre dimension dès qu’une enquête judiciaire s’étend sous l’eau. C’est le cas ce jour avec l’affaire Laetitia… », relève la gendarmerie de Bourgogne, qui informe de la présélection des plongeurs de la gendarmerie lundi 31 janvier au lac de Chour en Côte-d’Or dans un communiqué reçu mardi 1er février 2011, évoquant ici le tragique dénouement de la disparition près de Pornic (Loire Atlantique) de Laetitia, une jeune fille de 18 ans dont le corps a été retrouvé démembré dans un étang mardi 1er février (Lire ici l’article de la Voix du Nord sur le sujet).
Pour en savoir plus, lire le communiqué ci-dessous.
« Il faisait un froid de canard au lac de Chour à Pagny-le-Château et les gendarmes ont du briser une fine couche de glace pour se mettre à l’eau. Le but : présélectionner des candidats plongeurs pour un poste à la brigade fluviale de Saint-Jean-de-Losne (21). Deux candidats et une candidate devaient être suffisamment motivés pour se glisser dans une eau glacée. Le candidat retenu partira en formation à Antibes avant de revenir pour une affectation à la brigade fluviale de Saint Jean-de-Losne.
Le travail des plongeurs de la gendarmerie prend une autre dimension dès qu’une enquête judiciaire s’étend sous l’eau. C’est le cas ce jour avec l’affaire Laetitia. En effet, les plongeurs, techniciens en investigations subaquatiques (TIS), sont chargés d’effectuer sous l’eau des opérations de police technique et scientifique qui permettront de relever des traces et indices utiles à l’enquête en cours. »