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Archive | 26 janvier 2011
LA GEOGRAPHIE DE LE FEMME
Entre 18 et 25 ans,
La femme est comme le Continent africain:
Une moitié a déjà été découverte tandis que l’autre moitié
cache une beauté encore sauvage et des deltas fertiles .
Entre 26 et 35,
La femme est comme l’Amérique du Nord :
Moderne, développée, civilisée
et ouverte aux négociations.
Entre 36 et 40,
Elle est comme l’Inde : très chaude et sûre de sa beauté.
Entre 41 et 50,
La femme est comme la France:
plus rien à découvrir, mais beaucoup d’amateurs pour la visiter quand même.
Entre 51 et 60,
Comme l’ex-Yougoslavie, elle a perdu la guerre, est tourmentée par les fantômes du passé,
mais s’engage dans sa reconstruction.
Entre 61 et 70,
Elle est comme la Russie:
spacieuse, sans gardes frontières.
La couche de neige cache de grands trésors.
Entre 71 et 80,
La femme est comme la Mongolie :
elle possède un passé glorieux, de nombreuses conquêtes,
mais n’a plus d’espoir pour l’avenir.
Et après, elle est comme l’Afghanistan:
tout le monde sait où ça se situe,
mais personne ne veut y aller.
La Géographie de l’Homme maintenant :
Entre 15 et 80 ans,
l’homme est comme CUBA:
Il est gouverné par un seul membre !!!
Dijon : Rassemblement contre les suppressions de postes à l’École
Plus d’élèves mais moins de professeurs pour la rentrée des classes 2011 ? Samedi 22 janvier 2011, près de 150 personnes se sont rassemblées place Darcy à Dijon pour manifester leur vive opposition aux 16.000 suppressions de postes d’enseignants prévues en France pour la rentrée 2011. En Bourgogne, alors que 312 élèves supplémentaires sont attendus pour la rentrée, ce sont 186 postes d’enseignants dans les collèges et lycées qui devraient être supprimés dans l’Académie de Dijon d’après les syndicats…
« Dans le budget 2011, nous déplorons une baisse de l’ambition éducative. La baisse des moyens, notamment ceux alloués aux réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté (Rased), va engendrer une hausse des inégalités entre élèves et la multiplication des échecs scolaires », regrette Martial Crance, secrétaire du Sgen-CFDT Bourgogne. « Pour les très bons élèves, pas de problèmes mais je suis inquiet pour la grande majorité des autres », poursuit Martial Crance, à l’instar de Véronique Martin de la Fédération syndicale unitaire (FSU) ou de Yasmina Soltani de la CGT Educ’action 21.
Justement, pour illustrer leurs inquiétudes et marquer les esprits, les manifestants du collectif « L’éducation est notre avenir », formé de 29 organisations syndicales, associatives et politiques, ont inauguré de façon symbolique la « porte des indignés, place de l’éducation perdue » [ndlr : à la place de la porte Guillaume, place Darcy]. Au pied de la porte Guillaume ainsi rebaptisée, les manifestants ont installé un mur d’expression « pour que chacun puisse laisser son témoignage ».
A quelques pas de la nouvelle plaque apposée par les manifestants, Michel Fallet, président départemental de la FCPE, dénonce pour sa part « une gestion purement comptable d’un système humain ». Le représentant syndical critique une politique gouvernementale qui serait contre-productive : « Les Français étaient réputés pour l’importance de leur culture générale et la qualité de leur formation. En portant à la baisse depuis neuf années le budget de l’Éducation nationale, on diminue la qualité de la formation des jeunes, par exemple en orthographe, ce qui est préjudiciable non seulement pour les jeunes mais aussi pour les entreprises ».
Quand à Yannick Plumet, enseignant au collège Bachelard au quartier de la Fontaine d’Ouche à Dijon, il est venu avec ses collègues. Tous sont très inquiets de la perte de moyens qui devrait frapper leur établissement à la rentrée prochaine. « Comment ferons-nous pour accueillir dans la dignité les élèves handicapés – sourds et déficients intellectuels légers – qui fréquentent nos classes ? Sans moyen, leur intégration aux classes ordinaires ne sera plus possible ; nous allons à l’encontre des textes voulus par le ministère. C’est absurde ! ».
Pour Bruno Lombard, de la Ligue de l’enseignement, le secteur scolaire n’est pas le seul concerné. « Le para-scolaire, qui fonctionne avec des dotations de l’Etat et des collectivités, est en difficulté. Nous organisons des sorties culturelles ou sportives pour les enfants dans le département. Les plus pénalisés par les baisses budgétaires seront ceux qui habitent le plus loin alors qu’ils ont déjà un accès plus compliqué à la culture ».

