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Tu ne peut pas retenir le temps…..

Tu ne peut pas retenir le temps

Il passe il coule entre tes  doigts

comme l’eau de la fontaine

il glisse dans ta main

comme le sable de la mer

Tu ne peut rattraper le passé

Il n’est plus  il s’en est aller

Comme le couchant d’hier.

Il est disparu

Comme un souvenir perdu.

 

Tu ne peux emprisonner le futur.

Il n’est pas encore.

Il viendra à son heure

Comme le levant de demain.

Il te rejoindra

Comme la vague qui s’approche du rivage.

Mais tu peux toujours cueillir le présent

Ce présent est comme un arbre:

Il plonge ses profondes racines

Dans ton passé tout plein de souvenir

Et d’expérience,

Comme une sagesse accumulée.

 

Et il lance ses longues branches vers ton futur

Tout plein de promesse et d’espérance,

Comme un projet emballant.

Le présent est fait de ton passé

Qui n’est plus

Et de ton futur

Qui n’est pas encore.

Prenez Le Temps de vivre ….

 

Prenez Le Temps de vivre C’est La musique de l’âme

 

Prenez Le Temps de Jouer C’Est Le secret de la jeunesse

 

Prenez Le Temps de lire C’Est Le secret de la sajesse

 

Prenez Le Temps d’être calme C’est La condition de Votre Cœur

 

Prenez Le Temps d ‘etre bon chemin vers le C’Est Les Autres

 

Prenez Le Temps de Penser C’est La source du bonheur

 

Prenez Le Temps d’Aimer C’Est La raison de vivre

Quand l’amour …..

Quand l’amour vous fait signe, suivez le.
Bien que ses voies soient dures et rudes.
Et quand ses ailes vous enveloppent, cédez-lui.
Bien que la lame cachée parmi ses plumes puisse vous blesser.
Et quand il vous parle, croyez en lui.
Bien que sa voix puisse briser vos rêves comme le vent du nord dévaste vos jardins.
Car de même que l’amour vous couronne, il doit vous crucifier.
De même qu’il vous fait croître, il vous élague.
De même qu’il s’élève à votre hauteur et caresse vos branches les plus délicates qui frémissent au soleil,
Ainsi il descendra jusqu’à vos racines et secouera leur emprise à la terre.
Comme des gerbes de blé, il vous rassemble en lui.
Il vous bat pour vous mettre à nu.
Il vous tamise pour vous libérer de votre écorce.
Il vous broie jusqu’à la blancheur.
Il vous pétrit jusqu’à vous rendre souple.
Et alors il vous expose à son feu sacré, afin que vous puissiez devenir le pain sacré du festin sacré de Dieu.
Toutes ces choses, l’amour l’accomplira sur vous afin que vous puissiez connaître les secrets de votre cœur, et par cette connaissance devenir une parcelle du cœur de la Vie.
Mais si, dans votre appréhension, vous ne cherchez que la paix de l’amour et le plaisir de l’amour.
Alors il vaut mieux couvrir votre nudité et quitter le champ où l’amour vous moissonne,
Pour le monde sans saisons où vous rirez, mais point de tous vos rires, et vous pleurerez, mais point de toutes vos larmes.
L’amour ne donne que de lui-même, et ne prend que de lui-même.
L’amour ne possède pas, ni ne veut être possédé.
Car l’amour suffit à l’amour.
Quand vous aimez, vous ne devriez pas dire, “Dieu est dans mon cœur”, mais plutôt, “Je suis dans le cœur de Dieu”.
Et ne pensez pas que vous pouvez infléchir le cours de l’amour car l’amour, s’il vous en trouve digne, dirige votre cours.
L’amour n’a d’autre désir que de s’accomplir.
Mais si vous aimez et que vos besoins doivent avoir des désirs, qu’ils soient ainsi :
Fondre et couler comme le ruisseau qui chante sa mélodie à la nuit.
Connaître la douleur de trop de tendresse.
Etre blessé par votre propre compréhension de l’amour ;
Et en saigner volontiers et dans la joie.
Se réveiller à l’aube avec un cœur prêt à s’envoler et rendre grâce pour une nouvelle journée d’amour ;
Se reposer au milieu du jour et méditer sur l’extase de l’amour ;
Retourner en sa demeure au crépuscule avec gratitude ;
Et alors s’endormir avec une prière pour le bien-aimé dans votre cœur et un chant de louanges sur vos lèvres.

                                                                                     

                                                                                      Khalil Gibran
                                                                                     ( 1883 – 1931 )

 

 

Rappelle-toi…

 

 

 

Que si un rien fait souffrir un rien aussi fait plaisir…

                      Que tu peux être semeur d’optimisme, de courage, de confiance…

 

Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres…

      que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable…

 

 

Que ton sourire non seulement t’enjolive,

                           mais qu’il embellit l’existence de ceux qui t’approchent…

 

 

Que tu as des mains pour donner

et un coeur pour pardonner

 

 

 

Thomas Merton

   

LETTRE DE DEMISSION DE SARKOZY

Françaises, Français, mes chers compatriotes,

Lorsque je fais le bilan du temps écoulé, que je passe en revue tous les événements qui se sont produits et les transformations que j’ai tenté d’apporter à notre société depuis mon élection (je vous rappelle que c’est vous qui m’avez élu en mai 2007), je me dis que les Français sont d’éternels insatisfaits et que quoi qu’on fasse, Il y a toujours 50% de mécontents, le reste n’étant pas heureux non plus.

Même si j’ai parfois un peu dérapé j’ai voulu que notre pays entre dans la modernité.

Alors, Carla et moi avons décidé de vous offrir le plus beau cadeau que vous semblez appeler de tous vos vœux.

Je vous présente ici ma démission de Président de la République française et j’ai décidé de partir au bout du  monde avec Carla et toute ma petite famille, avec notre «bling bling» qui vous fait tellement rigoler, ma Breitling à 58000 euros, et tout le reste!

Je vais vendre mon magnifique appartement de Neuilly-sur-Seine que vous aimeriez bien posséder, et je vais  vivre avec l’argent qu’il me rapportera, ainsi qu’avec les retraites que je vais toucher de toutes mes précédentes fonctions… Enfin… Tant que les caisses pourront payer.

Nous bronzerons nos corps de riches sur les yachts de Vincent (Bolloré), nous irons visiter à nouveau les pyramides en compagnie de notre ami le roi du Maroc, et surtout vous arrêterez de nous casser les bonbons avec vos éternelles jérémiades.

Je n’aurai plus à m’occuper de tous ces connards d’étudiants encapuchonnés, qui pensent à la retraite avant de penser à travailler, et qui sont toujours prêts à casser du CRS, et le ministre de l’éducation, quel qu’il soit.

Je n’aurai plus à serrer la main de tous ces guignols de syndicalistes de merde qui font chier tous les français avec leurs grèves à répétition, malgré leurs seulement 7% de représentativité, malgré les très gras salaires de syndicalistes qu’ils encaissent, et qui croient avoir la solution à tous les problèmes actuels en appliquant à la France les principes qui ont mené l’URSS à sa perte, et son peuple à la famine et la misère, et qui refusent de participer, au nom d’un sectarisme archaïque, au nom d’avantages acquis et pour beaucoup obsolètes, et qui contribuent à appauvrir un peu plus le pays.

  Je ne verrai plus les tronches de cake des socialistes toujours prêts à défendre les sans-abris, mais qui eux, les  pauvres, habitent Place des Vosges et dans le septième arrondissement, qui défendent la diversité et le multiculturalisme, mais qui envoient leurs enfants dans des écoles d’élites où les seuls musulmans sont les rejetons d’ambassadeurs et d’hommes d’États.

Je n’aurai plus à m’emmerder avec des diplomates chinois constipés par leur riz mélamine, ni avec des islamistes barbus qui détruisent les églises dans leurs pays pendant qu’ils réclament des mosquées chez nous, qui sont assez cons pour se faire sauter au nom de l’Islam et d’un prophète, dont Ataturk disait que  » l’Islam est la théologie absurde d’un bédouin immoral « .

Fini, de me laisser emmerder par tous ces « penseurs » qui veulent faire croire aux français que notre pays est une dictature, un pays ou la police est prête à casser de l’immigré, et qui ne sont pas foutus de voir que si les immigrés ne semblent pas être pressés de retourner chez eux, c’est parce que là-bas, la police les massacreraient pour de bon, s’ils osaient brûler une seule voiture.

Fini de me laisser emmerder par ceux qui prétendent que la déferlante du tiers monde est une chance pour la France, mais qui gueulent que les flics ne sont jamais là  quand on a besoin d’eux, dès qu’un arabe touche à leur bagnole ou pique le portable de leur fils.

Fini, les grèves de la SNCF et de la RATP, déclenchées par des mecs qui sont chouchoutés comme s’ils fourraient encore du charbon dans des locomotives à vapeur, qui font un caca nerveux dès qu’on leur demande une minute de travail supplémentaire, payée double en plus, mais qui voyagent gratuitement sur toutes les lignes, toute l’année, et même pendant les vacances.

Bon débarras de ces fonctionnaires qui fonctionnent à l’envers et qui trouvent le moyen, en étant deux fois plus nombreux par habitant qu’aux États-Unis ou qu’en Allemagne, sans parler du Japon, de fournir un service trois fois plus mauvais.

Terminé, les journalistes qui passent leur temps à critiquer mon train de vie, et qui voudraient bien avoir le même,  et qui sont tout heureux quand je les emmène se balader aux quatre coins du monde, aux frais du contribuable.

Ras le bol de ces bras cassés de l’équipe de France qui se prend pour le nombril du monde, qui crache sur la France en coulisse, et qui n’est même pas foutue de gagner des matchs pour justifier des énormes salaires qu’on leur sert.

Alors je pars et je vous laisse dans la merde que vous avez vous-mêmes créée.

Débrouillez vous avec Aubry, avec la CGT, avec le Parti Communiste aux mains ensanglantées de plus cent millions de morts et qu’on n’ose même pas interdire, avec la Fédération des Parents d’Élèves qui s’intéresse plus à défendre l’idéologie gauchiste, les enseignants, que leurs propres enfants, avec le nucléaire qui pourtant nous sauve un peu de la panade, avec les heures sup. que vous avez volées parce que pendant les heures payées vous avez tiré au flanc, avec le chômage qui incite déjà tout, sauf à retrouver du travail, avec la retraite à 55 ans, avec le sida, EDF GDF, le Dalaï-Lama, BHL et Fabius, et tant pis pour Canteloup et  Ruquier.

Arrangez-vous avec la hausse du pétrole qui va bientôt repartir, avec la récession, la vraie, qui n’est pas prête de se terminer, tandis que des pays moins cons que vous sont en plein boum économique. Vous qui avez voulu être plus malins que les autres, qui avez cru que vous alliez pouvoir placer votre argent mieux que votre voisin de palier, et qui, aujourd’hui demandez à l’État de prendre en charge vos pertes en les déduisant de vos impôts.

Quand est-ce que vous comprendrez que l’État, ce n’est pas votre maman?

Demandez aux socialistes, demandez à Ségolène Royal, Madame «je-sais-tout-sur-tout-et-vous-offrirai-la-belle-vie-si-vous-votez-pour-moi» et son«Désir d’Avenir», définitivement embourbé dans un passé sans espoir.

Réclamez lui, au maire de Paris dit « Bertrand l’embrayage », qu’il libère la profession de chauffeur de taxis, et qu’on puisse enfin trouver des taxis à tous les coins de rue, à toute heure du jour et de la nuit, et pour cinq euros la course, comme à New-York ou à Berlin, puisqu’il a rendu les routes impraticables. Demandez qu’il supprime cette escroquerie obligatoire qu’est le service à 15% dans les cafés et les restaurants, quand on vous sert avec la soupe à la grimace.

Demandez leur de vous faire travailler moins pour gagner plus, car on dirait bien que vous n’avez pas encore compris que les trente cinq heures, elles vous ont gravement appauvri, et que nos concurrents s’en frottent encore les mains. Demandez leur de rétablir un peu de démocratie dans notre horrible pays, demandez leur de combler vos fins de mois difficiles, et de vous payer vos prochaines vacances en Guadeloupe (tiens ! je les  avais oubliés les assistés  des DOM-TOM).

Demandez-leur par la même occasion de prendre leur argent aux riches pour le donner aux pauvres – que vous êtes forcement – alors que vous voudriez bien devenir riches.

Et  quand les riches seront pauvres et qu’ils ne sauront plus à qui prendre l’argent, moi je serai L.O.I.N et H.E.U.R.E.U.X,  sans vous bien sur, qui avez souhaité mon départ avec tant de ferveur.

Mes chers compatriotes, je vous laisse à vos grèves pour la retraite, à vos fantasmes d’enfants gâtés qui ridiculisent la France (vous me direz, depuis la coupe du monde, on est les champions du ridicule). Je vous souhaite l’avenir de merde que vous avez bien cherché, et  que vous êtes en train d’atteindre.

Carla et moi vous embrassons.


 Par Jean-Patrick Grumberg


 PS: Il semblerait qu’Albert II de Belgique soit sur le point d’en rédiger une aussi

JE VIS DANS CET UNIVERS….

Je vis dans cet univers,
Si froid et chaleureux en même temps.
Où les fées vivent en harmonie.
Les arbres sont verts, d’une clarté aveuglante,
Le ciel est bleu azur, il reflète l’océan.
Mes yeux n’ont jamais connu
Une telle étincelle.
Je me sens libre, heureuse,
Mes chaines se sont enfin brisées
Je regarde la couleur de l’herbe
Et j’aperçois au travers des gens malheureux
Habillés de noir, je réalise que j’ai quitté cette terre
J’aimerais leur dire « pleurez pas pour moi
Ne vous inquiétez pas
D’ici quelques années, vous m’aurez oublié.
Profiter de votre vie, on se reverra le moment venu

PETIT PAPILLON


Petit papillon virevoltant
Parmi les rafales de vents
Tu déploies tes jolies ailes
Aux couleurs de l’arc-en-ciel
Au plus grand plaisir de nos yeux
Qui t’admirent l’air heureux
Tu crées autour de toi
Merveilles et rêves fastidieux
Dommage que tes jours soient comptés
Petit être aux allures de fées
Petit papillon

 

PRENDS LE TEMPS….

 

 

Prends le temps de penser...
Cest la clé de la réussite !

Prends le temps de jouer...
Cest la fraîcheur de lenfance !

Prends le temps de rêver...
Cest un souffle de bonheur !

Prends le temps de Vivre...
Car le temps passe Vite...
Et ne revient Jamais!

 

LE DESIR

 
 
 

 

Le désir : " Tant qu’on désire, on peut se passer d’être heureux. On s’attend  à le devenir. Si le bonheur ne vient point, l’espoir se prolonge et le charme de l’illusion dure autant que la passion qui le cause ".