Archive | 12 avril 2013

Une église polonaise en 3D…. Splendide !

Vieille église en bois du sud de la Pologne.

Panoramique. Ne pas oublier de voir le plafond !

Cette église est une petite merveille

Images 3D à voir en plein écran …

Vieille église en bois en Pologne.

Jetez un coup d’œil à cette ancienne église en bois du sud-ouest de la Pologne une merveille.

Utilisez les pointeurs (ou la souris) pour regarder tout autour de l’église – et de haut en bas et

le zoom. Meilleure vue en plein écran. Utilisez zoom avant pour obtenir des détails.

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Aujourd’hui, 12 Avril, nous fêtons les Jules

12 avril: Giulio – Gyula – Jouli – Juanita – Jule – Jules – Jules-César – Julia – Julio – Julius – Julos – Youli – Yul

du nom d’une famille romaine qui disait descendre du fils d’Énée, Iule. « Gare
au Jules », « C’est son Jules », « Tiens, voilà Julot » font partie de
l’inévitable cortège ironico-affectueux dont les Jules sont aujourd’hui
accompagnés. Ce prénom est en quelque sorte devenu grand- père.

Historique du prénom

« Veni, vidi, vici : je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu. » Avec ce fier emblème du plus accompli des Jules de l’histoire, César, le petit Julot est sûr de soi. Humour aidant, il n’oublie pas le diagnostic d’Astérix : « Il est fou, ce Romain ! » À quoi cela se voit-il ? À ceci : César porte à son front la couronne de lauriers, mais pas de moustaches. Le Gaulois, qui les affectionne, ne s’y est pas trompé : avec près de vingt siècles d’avance, il était dit que les Jules d’ici laisseraient le laurier à la cuisine, la troquant contre la casquette, et seraient des hommes de la moustache, des porteurs d’autorité. C’est qu’il a solide allure, Jules ! Écoutons-le sonner, ce prénom, avec son coulé d’une seule syllabe, sa volonté sous le velours mouillé de la consonne d’attaque. Iule, le fils d’Énée, fut son lointain ancêtre : comment n’aurait- il pas quelque chose d’impérial dans sa trajectoire ? Du haut de sa syllabe unique il organise, il commande, il est obéi. Astérix l’agace, certes, mais le stimule ; qu’on ne s’y trompe pas : Jules, spontanément, domine le monde. C’est même cet aspect emphatique qui le rend vulnérable à l’ironie. Alors Jules devient le sympathique Julot, dont on accepte en souriant l’extravagante autorité. Les Julot et les Jules voient la vie comme un combat dans lequel il convient de foncer généreusement, mais ce sont des stratèges : ils savent fort bien s’éloigner d’une situation, l’analyser, prendre de la distance et reconsidérer leur tactique. Combattant donc, le Jules ne se livre pas tout de suite et organise longuement les préparatifs à l’amitié, qu’il cultivera toujours avec une sorte de retenue. Il ne montre pas son émotion. C’est que celle-ci fait partie de sa chaleur, qu’il préserve toute en vue de grands desseins, y compris l’assaut de quelques fantastiques et imprenables citadelles. Ainsi en va-t-il chez lui d’une soif de connaître qui veut que soit étanchée d’abord la soif de la puissance. Les Jules peuvent exceller en la matière. Parce qu’ils sont de ceux qui savent voir rouge, parfois, mais sans colère : la simple justice, voilà leur rôle. Chevaliers, moines soldats, conquérants, oh Jules et Julot, sur le trône comme sur le zinc, vous êtes en toute situation des notables. Vous résonnez dans le Verseau et sa passion de l’ordre neuf, son refus des routines, sa détermination. Mais c’est vrai qu’en ce début de siècle vous voilà passés de mode, et qu’il y a peu de baptêmes dans vos rangs. Alors ? – Oui, nous fûmes, nous les Jules, de ceux à qui l’on ne vole pas leur bague, et des César et Mazarin, et jusqu’aux grandes moustaches de la République – Grévy, Ferry, Moch – nous le fûmes. Et nous fûmes encore des écrivains, des poètes, des esprits libres et curieux, tels les Barbey d’Aurevilly, Michelet, Romains, Laforgue, Verne et Supervielle, sans oublier Cortazar. On oublie, en revanche, on commence à en oublier d’autres, et par exemple saint Jules Ier, pape (337-352), et Julien dit l’Apostat, empereur (331-363), ennemi du précédent. Comme on a oublié que Jules fut en grande faveur au Moyen Âge et à la Renaissance, en Italie surtout, grâce à Jules II, pape (1443-1513). Jules apparaît au nord, en Suède, vers le milieu du XVIe siècle, mais Julian, puis Gillian, ont déjà conquis les îles britanniques depuis le IXe siècle. Et là, très « Jules », les formes féminines du prénom vont l’emporter peu à peu et se préserver intactes jusqu’à nos jours. Si nous, les Jules, sommes devenus des ancêtres, elles, celles qui nous ressemblent, sont à l’image de la fraîcheur, de la jeunesse, de l’ardeur. Ainsi Juliette attend-elle éternellement Roméo avec Shakespeare, et Mademoiselle Julie, de Strindberg, ne cesse d’être adaptée pour les écrans des salles obscures ; Juliana règne sur les Pays-Bas, et les Julie, Julienne et Juliette qui passent aujourd’hui devant nos yeux ont quelque chose de flatteur pour les Jules que nous sommes : vives, décidées, romantiques, elles sont dignes des lauriers qu’invisiblement nous portons toujours au front, casquette ou pas. Que Jules soit devenu un peu désuet, la belle affaire ! Le rétro nous remettrait-il en vogue ou nous oublierait-il tout à fait que nous n’en serions guère affectés : notre lignée a fait ses preuves, et nos sœurs veillent. Nous sommes inlassables. Nous n’avons jamais rien perdu pour attendre, et nous savons attendre : nous vaincrons, évidemment. Sainte Julie, au VIIe siècle, aurait été martyrisée en Corse, dont elle est devenue, avec sainte Dévote, la patronne. Onze autres saintes et bienheureuses furent des Julie, et notamment sainte Julie Billiart (XIXe siècle), qui fonda l’institution des sœurs de Notre-Dame, et Julie Louise de Jésus (XVIIIe siècle), qui fut carmélite à Compiègne. Au caractère, Julie se révèle fort sociable, avec une générosité du cœur où l’on peut déceler quelque chose de la fraîcheur et de la vivacité de l’enfance ; une intuition très aiguë et une vitalité quasi inextinguible font d’elle un être d’une grande répartie d’esprit, volontiers opiniâtre, où charme et fantaisie se conjuguent à merveille. …

Célébrités du prénom

nos IIIe et IVe Républiques sont fortement marquées par les Jules : Jules Grévy,
Jules Ferry, Jules Michelet, Jules Moch, entre autres ; avant eux, on
connaissait Jules César ou Jules Verne ; plus près de nous, on trouve des
chanteurs, tels Julio Iglesias ou Julos Bocarne, des cinéastes comme Jules
Dassin, ou des sportifs comme Jules Ladoumègue…

 

 PROVERBE

A Saint-Jules, les sansonnets tiennent ménages dans les clochers.

 

 

une vie épanouie ……….

une vie épanouie autour d’une union,

deux amoureux main dans la main,

heureux de suivre le même chemin,

les yeux remplis de joie,

qui scintillent chaque fois,

souvent tard le soir,

lorsque les étoiles déchirent le noir.

la tendresse et la douceur remplissent de gaieté leur coeur

lorsque leurs corps s’enlacent pendant des heures

 à ce moment-là, il ne formeront plus qu’un,

ne pensant plus à rien.

ils resteront toujours unis

parce qu’ils s’aiment d’Amour

 

Jean-Paul Belmondo et son adorable Stella : La tribu réunie sur un canapé rouge

Annabelle, Alessandro, Victor, Christopher, Paul, Luana, Nicholas, Giacomo, Olivier, Natty et Stella entourent Jean Paul Belmondo pour un "Vivement Dimanche" exceptionnel pour son 80e anniversaire - Enregistrement de l'émission à Paris le 10 avril 2013, diffusion le 14 avril.

« C’était un rêve secret, j’y suis arrivé malgré une vie quelque peu mouvementée. Mais, même si je suis fier d’avoir 80 piges, au fond de moi, je n’y crois pas. » C’est le regard que porte Jean-Paul Belmondo sur son anniversaire qu’il célébrait mardi 9 avril entouré des siens. Mercredi, l’acteur enregistrait un numéro spécial de Vivement dimanche. Pour l’occasion, son fils et sa fille, ses petits-enfants et son neveu l’on rejoint sur le célèbre canapé rouge.

Tribu Bébel

Il était beau comme un camion, notre Bébel national durant l’enregistrement au Studio Gabriel d’un Vivement dimanche exceptionnel que lui a concocté Michel Drucker. L’émission balaiera toute la carrière de l’acteur aux 80 films, son amour pour le théâtre et sa vie intime qui le voit aujourd’hui entouré d’une très grande famille. À ses côtés, Paul Belmondo, son fils et Luana. Après des années dans la course automobile, Paul a entamé une carrière au théâtre tandis que son épouse partage sa passion pour la cuisine dans ses livres et à la télévision. Le couple est venu avec ses trois garçons : Alessandro (21 ans), Victor (19 ans) et Giacomo (13 ans). Jean-Paul était également entouré des enfants de sa fille Florence qui vit aux États-Unis : Christopher (20 ans), Nicholas (16 ans) et la ravissante Annabelle (25 ans), unique petite-fille de l’acteur. Le neveu de Jean-Paul Belmondo, Olivier, les a rejoints.

Michel Drucker a enfin réuni les derniers grands amours du héros du jour : son ex-épouse Natty et leur fille Stella qui fêtera son dixième anniversaire cet été. Entre Jean-Paul et Natty, les rapports sont apaisés et dans l’interview qu’il a accordée à Paris Match, il lui a rendu hommage : « Natty m’a fait le plus beau cadeau qu’un homme puisse recevoir d’une femme : une petite fille comme Stella. Si la vie nous a séparés, je n’oublierai jamais sa présence et son aide constante auprès de moi après mon accident vasculaire. »

Le coeur et l’esprit jeunes

Cet AVC est survenu en Corse, en 2001. Dans Vivement dimanche, Bébel reviendra sur cette épreuve. Il expliquera qu’il n’avait pu parler pendant plus d’un an : « Petit à petit, j’ai commencé à faire des phrases. Maintenant je parle !« , se félicite-t-il. Et même si le débit est lent, on ne peut qu’applaudir son courage. « Oui, j’ai souffert. […] J’ai eu peur et j’ai réagi en décidant d’accepter ces conditions irréversibles : mon bras droit est mort, ma jambe droite invalide, mais le coeur et l’esprit sont jeunes et infaillibles« , ajoute-t-il dans Paris Match. Et ce passionné de boxe, célèbre pour ces cascades, d’ajouter que « le sport » l’a sauvé. Son fils Paul évoque une détermination incroyable et « rééducation acharnée« . Si le « Magnifique » est entouré d’une grande tribu aimante, il peut aussi compter sur les regards bienveillants du public : « Ce qui me touche, c’est l’attitude des gens que je croise au resto, au bois avec mon chien, dans la rue, au cinéma… confie l’acteur. Je ne capte aucune pitié dans les regards, mais surtout du respect et de la gentillesse. » Et de l’admiration sans aucun doute, monsieur Belmondo.

Comment évoquer Belmondo sans parler Nouvelle Vague, cinéma et théâtre ? Avec de nombreux invités, Michel Drucker passera en revue la carrière du « Magnifique » dans cette émission que diffusera France 2, le 14 avril à 14h15. Dès demain, vendredi, vous pourrez retrouver Jean-Paul Belmondo qui sera l’invité spécial de la matinale de France Inter.