Archive | 7 juin 2012

Rihanna : Nouveaux ennuis de santé, elle annule son passage à Londres !

Rihanna le 21 mai 2012 à Londres

Décidément, Rihanna enchaîne les ennuis de santé ! Après un passage par l’hôpital pour déshydratation et épuisement le mois dernier, la chanteuse vient une fois encore de donner à ses fans des nouvelles alarmantes de son état de santé. Elle a même déclaré qu’elle ne pourrait venir au Royaume-Uni. La belle devait en effet venir vivre à Londres, ou du moins y passer l’été, pour participer à une émission de télévision, mais ça semble mal engagé.

Belle et en forme dans le clip Princess of China, en featuring sur le son de Colplay, dans cette vidéo, Rihanna se montrait au top il y a quelques jours. Malheureusement la star de 24 ans n’aurait aujourd’hui plus la forme. Elle boit pourtant beaucoup d’eau de coco, elle est d’ailleurs l’égérie de la marque Vita Coco.

Après être allée à la Nouvelle-Orléans pour participer au tournage du film End of the World de Seth Rogen, avec Paul Rudd, James Franco, Jonah Bill et Emma Watson, elle devait arriver hier mercredi 6 juin à Londres, pour chanter dans l’émission Sky Living, puis rester dix jours dans la capitale anglaise. Mais la nouvelle est tombée : elle annule car elle est « malade« .

Selon le Sun : « Elle a annulé son voyage et tous ses engagements professionnels au Royaume-Uni à la dernière minute, ce qui est très inhabituel chez elle. Elle a mené une vie débridée pendant des mois. Elle fume, boit et fait la fête malgré son emploi du temps pro. »

Rihanna, qui s’est énervée quand un journaliste lui a posé la question de trop sur Chris Brown, a été vue pour la dernière fois en public à Los Angeles lundi matin, après une nuit arrosée.

Jay-Z, son mentor, manager et patron de label, est actuellement au Royaume-Uni. Dans le cadre de sa tournée Watch the Throne Tour avec Kanye West, il enchaîne les concerts en Angleterre. Rihanna avait prévu de loger à seulement quelques rues de chez Jay-Z, pour entamer son marathon entre shows télé et radio, ce week-end sur Radio 1 Hackney, et dans un mois au Wireless Festival.

On n’en sait pas plus, son porte-parole n’en a pas dit davantage. Et les fans de RiRi sont en émoi…

Valérie Trierweiler répond aux critiques : Première interview de première dame

Valérie Trierweiler à Washington le 18 mai 2012.

Premiers pas à l’Élysée, premiers pas sur la scène politique internationale, premières critiques, premières concessions… première dame. Un mois après la prise de fonction de François Hollande, sa compagne, Valérie Trierweiler, donne sa première interview de first girlfriend, comme la surnomment les Américains. Interrogée sur France Inter ce jeudi matin, elle donne le ton, précise et répète ce qu’elle a toujours dit.

Même détermination

C’est France Inter qui décroche cette exclusivité, la première interview de Valérie Trierweiler depuis qu’elle est première dame. L’entretien a été enregistré mercredi 6 juin à son domicile du 15e arrondissement que le couple présidentiel entend continuer d’habiter. Ses premiers mots donnent le ton, le terme de première dame la dérange : « Je trouve ça un peu désuet. M’appeler par nom, je trouve ça très bien. Comme je souhaite un petit peu changer les choses, je trouve qu’il faudrait peut-être aussi renouveler ce terme. Je n’ai pas encore d’idée. Je reçois des propositions de Français qui m’écrivent : ‘Atout coeur de France’, ‘Première journaliste’, qu’on m’a proposés aujourd’hui… »

« Je ne viens pas de décider de continuer mon métier de journaliste. Je l’ai toujours dis. Je l’ai toujours su. C’est vital pour moi et pour deux raisons : d’abord parce que je tiens à mon indépendance financière et c’est aussi une partie de mon existence à laquelle je n’ai pas envie de renoncer. (…) Ce n’est pas une forme de modernité, c’est une forme de normalité, si je peux employer ce terme très tendance. (…) Je suis déjà critiquée par certains de mes confrères, mais je ne le suis pas par les Français, ou les Françaises. Il y a eu des sondages : la plupart des Français, à plus de 70% [sondage Grazia, paru mi-mai, NDLR], sont favorables à ce que je continue de travailler, y compris dans le journalisme, à condition bien sûr que ce ne soit pas dans le journalisme politique. Quand vous dites aux Français que vous ne voulez pas être dépendante de l’État ou d’un homme, tout le monde le comprend et encore plus les femmes. »

Première journaliste et atout coeur

Cette semaine, Valérie Trierweiler publie son premier papier de « première journaliste » dans Paris Match. Elle le consacre à la biographie d’Eleanor Roosevelt que publie Claude-Catherine Kiejman. Un choix malin puisque Eleanor Roosevelt a continué d’exercer le journalisme après que son époux Franklin D. Roosevelt est devenu président des États-Unis. Eleanor a tenu une chronique dans laquelle elle ne s’interdisait rien, pas même de parler de politique à la veille du second conflit mondial. Cette chronique l’a rendue extrêmement populaire. Dans le cas de Valérie Trierweiler, la profession grince des dents… la journaliste dénonce des critiques, « tristement classiques » du moment qu’une femme a un peu de caractère. C’est d’ailleurs comme une femme interventionniste et autoritaire que les Guignols de l’info ont choisi de la caricaturer. L’intéressée dit ne pas encore avoir vu.

Reste son engagement humanitaire, une partie importante de ce rôle de première dame que Valérie Trierweiler envisage aussi comme un « bénévolat au service des Français« . Elle confirme son rapprochement avec la Fondation France Libertés – Danielle Mitterrand : « J’ai rencontré les dirigeants de la Fondation Danielle Mitterrand qui est aujourd’hui en danger, depuis le décès de l’ancienne première dame, si elle ne reçoit pas d’aide. Je sais que je les aiderai, cette décision-là est prise. »

 

Réécouter l’interview de Valérie Trierweiler par Cyril Graziani pour France Inter, sur le site de la station.
‘Eleanor Roosevelt, l’insoumise’, un article de Valérie Trierweiler publié dans ‘Paris Match’, en kiosques ce 7 juin.