Archives

REGLES POUR UN MARIAGE HEUREUX…………..

 

Ne pas s’endormir avant 
qu’une dispute ne soit résolue

 

Ne critiquer son partenaire qu’avec tendresse

Lors d’une dispute, s’arranger pour que l’autre ait raison

Ne crier que si la maison est en flammes

Ne pas évoquer les erreurs du passé

Tout oublier mais jamais son partenaire

Ne jamais se mettre en colère en même temps

Toujours admettre toutes ses erreurs

Savoir pardonner et demander pardon

Chaque jour faire un geste d’amour

 

 

 

 

 

 

ECOUTER….

 

Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un… C’est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là… Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c’est d’être écoutée par une autre !

Écouter, c’est commencer par se taire… Avez-vous remarqué comment les "dialogues" sont remplis d’expressions de ce genre : "c’est comme moi quand…" ou bien "çà me rappelle ce qui m’est arrivé…" Bien souvent, ce que l’autre dit n’est qu’une occasion de parler de soi. Écouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser transformer par l’autre. C’est accepter que l’autre entre en nous-mêmes comme il entrerait dans notre maison et s’y installerait un instant, s’asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises. Écouter, c’est vraiment laisser tomber tout ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l’autre. C’est comme pour une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s’arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui.

Écouter, c’est ne pas chercher à répondre à l’autre, sachant qu’il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C’est refuser de penser à la place de l’autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre. Écouter, c’est accueillir l’autre avec reconnaissance tel qu’il se définit lui-même sans se substituer à lui pour dire ce qu’il doit être. C’est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l’autre le temps et l’espace de trouver la voie qui est la sienne. Écouter, ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela, c’est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques. Être attentif à quelqu’un qui souffre, ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s’en libérer.

Apprendre à écouter quelqu’un, c’est l’exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos propres détresses (c’est pour cela qu’il est si difficile d’écouter et que lorsque nous avons vraiment écouté une personne, nous éprouvons le besoin de pleurer…). Écouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a peut-être encore jamais donné : de l’attention, du temps, une présence affectueuse. C’est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, notre corps et toutes nos émotions, c’est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie, c’est devenir poète, c’est-à-dire sentir le coeur et voir l’âme des choses. A celui qui sait écouter est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure de tout vivant.

Il me semble que nous n’avons pas encore saisi combien cette écoute et cette attention affectueuse sont un puissant moyen de libération de la souffrance et de la détresse.

ETRE ET NON PARAITRE….

 

savoir rester humble face à l’immensité de l’univers
que l’on est infiniment petits il faut le reconnaître
qu’il y a toujours plus grand que nous sur cette terre

Aux riches bien vêtus on fait des courbettes
Aux pauvres en haillons on fait des grimaces
peut-être que l’âme du pauvre est bien plus honnête
que celle de ce seigneur de la haute classe

L’habit ne fait pas le moine, dit l’adage
on ferait bien d’y prendre de la graine
Ce n’est pas le plus beau qui est le plus sage
la vraie grandeur est dans l’âme humaine

CHAQUE GESTE DE NOTRE VIE PEUT DEVENIR BONHEUR……

 

L‘avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours en attente du résultat d’un acte, d’un événement, projetés vers l’avenir, les yeux rivés sur l’aboutissement, sur l’arrivée, en attente d’autre chose, de quelqu’un d’autre, de mieux, d’ailleurs…

J‘escalade la montagne en ne songeant qu’à ce que je verrai du sommet.

Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus, pour connaître la suite, toujours la suite, toujours plus avant. Je pose la question : "Comment est-ce que ça se termine ?"

J‘attends le train, je ne vis pas. Je suis tendue vers l’arrivée du train, le cou tendu vers le tournant où il va apparaître. "Il arrive ? Il arrive ?" Et bien sûr, une fois dans le train, je n’ai qu’une hâte : arriver !

Au travail, j’attends la pause, la fin de la journée, le week-end, les vacances, la retraite… "Quand j’aurai rencontré l’âme-soeur…", "Quand les enfants seront grands", "Ah, si j’étais libre", "Quand j’aurai de l’argent", "Quand j’aurai déménagé", "Quand j’habiterai à la campagne", "Quand j’aurai le temps…", ou alors, c’est "Ah, si j’avais su…", "Avant c’était mieux !", "Ah, quand il/elle était là !".

Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m’est offerte à chaque seconde, la douceur de l’air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l’inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d’oeil du soleil…

Hier en faisant le ménage, j’ai pris conscience pour la première fois que j’aimais faire le ménage ! Et chaque acte est devenu un véritable plaisir : laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide… Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, chaque instant, chaque seconde (ou presque !), ne serait-ce que respirer…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LES TREIZE COMMANDEMENTS DE LA VIE

Le plus grand handicap la peur
Le plus beau jour aujourd’hui
La chose la plus facile se tromper
La plus grande erreur abandonner
Le plus grand défaut l’égoïsme
La plus grande distraction le travail
La pire banqueroute le découragement
Les meilleurs professeurs les enfants
Le plus grand besoin le bon sens
Le plus bas sentiment la jalousie 
Le plus beau présent le pardon 
La plus grande connaissance Dieu
La plus belle chose au monde l’amour