Archive | septembre 2012

Zinedine Zidane : Coup de tête au Centre Pompidou

 Zinedine Zidane et son célèbre coup de tête sur Marco Materazzi s'expose devant le Centre Pompidou dans une sculpture en bronze réalisée par Adel Abdessemed à Paris, le 27 septembre 2012

9 juillet 2006. La France est en finale de la Coupe du monde de football face à l’Italie. Les Tricolores dominent dans tous les compartiments du jeu des Italiens à bout physiquement. On pense alors que l’exploit est possible, que les Bleus vont une nouvelle fois triompher comme en 1998. Quand soudain, Zinedine Zidane assène un violent coup de tête à Marco Materazzi, entraînant son expulsion pour ce qui restera son dernier match officiel. Des images qui feront le tour du monde, relayant la victoire transalpine au rang d’anecdote…

Désormais, ce qui restera à jamais comme le coup de boule de Zizou s’expose fièrement devant le Centre Pompidou. L’artiste Adel Abdessemed a en effet immortalisé le geste qu’il a sobrement intitulé Coup de tête. Ancré dans les mémoires collectives des Français, désignant Marco Materazzi comme l’ennemi numéro 1 malgré les tentatives de réconciliation, le Coup de tête en bronze ne passe pas inaperçu avec ses 5 mètres de hauteur et son noir mat et sombre, tel le côté obscur de Zizou. « J’ai reçu la violence du geste de Zidane, depuis l’écran, en plein visage. J’ai voulu montrer le côté sombre du héros, le goût du destin inéluctable et l’immédiateté retentissante d’un geste« , explique Adel Abdessemed.

« Cette statue s’oppose à la tradition qui consiste à faire des statues en l’honneur de certaines victoires. Elle est une ode à la défaite« , justifie Philippe Alain Michaud, le commissaire de l’exposition qui voit dans l’oeuvre d’art une allégorie religieuse. « Bien qu’elle reprenne un événement populaire connu de tous et immédiatement identifié, cette oeuvre est aussi une allusion à la tradition réaliste et aux fresques de Masaccio. Le regard de Zidane vers le sol nous rappelle celui d’Adam, chassé du paradis« , précise-t-il.

La représentation artistique du geste est à voir au Centre Pompidou, pour le plus grand plaisir, ou malheur, des uns et des autres…

Victoria’s Secret, accusée de racisme à cause de sa très sexy geisha

Candice Swanepoel habillée en geisha pour Victoria's Secret, crée la polémique.

Candice Swanepoel, déguisée en militaire sexy pour Victoria's Secret.

Candice Swanepoel illustre à merveille le fantasme de hôtesse de l'air pour Victoria's Secret.

Candice Swanepoel, lapine coquine pour Victoria's Secret.

Candice Swanepoel pour Victoria's Secret.

Candice Swanepoel pour Victoria's Secret.

Candice Swanepoel pour Victoria's Secret.

Victoria’s Secret et ses Anges ne donnent pas le sourire à tout le monde. Pire encore, la marque de lingerie et ses ambassadrices énervent et sont accusées de racisme à cause d’une campagne sur le thème du déguisement. La geisha Victoria’s Secret au coeur de la controverse…

Sujet de discorde : la collection Go East de Victoria’s Secret illustrée par la bombe Candice Swanepoel, notamment habillée en très sexy hotesse de l’air, militaire ou lapine coquine. Un de ces looks a créé un soulèvement d’humeur dans la communauté asiatique, vexée par cette atteinte à la culture geisha, originaire du Japon. Parmi les multiples réactions, notons celle de Nina Jacinto, responsable du développement de l’organisation Forward Together et rédactrice sur le blog Racialicious, qui a posté un article intitulé « Victoria’s Secret recommence : quand le racisme rencontre la mode« .

Victoria’s Secret, qui a depuis retiré l’ensemble de la collection de son site, vendait cet ensemble Sexy Little Geisha pour 98 dollars (75 euros) et le décrivait comme un « billet pour une aventure exotique. » Blâmée pour faire des femmes asiatiques « des objets de fantasme hypersexualisés« , la célèbre marque américaine était également pointée du doigt pour A night of a thousand fantaisies (Une nuit de mille fantasmes) du nom de son défilé annuel de 2010, durant lequel une majorité de mannequins noirs arpentait le podium pendant la partie intitulée Wild Thing (Chose Sauvage).

Est-ce de la paranoïa ou y aurait-il réellement une volonté cachée derrière toutes ces actions ? Victoria’s Secret ne semble pas prête à y répondre…

Je confirme, c’est stupéfiant

 
 

 

Je vous fais suivre cette petite vidéo que je viens de recevoir car elle sort de l’ordinaire.(3 mns) 

J’espère que cela vous fera passer un petit moment agréable. Ce n’est, ni violent, ni politique, ni religieux.

C’est tout simplement étonnant et s’il y a un truc c’est magistralement fait .

Une petite détente qui n’a jamais fait de mal à qui que ce soit. 

Cliquez sur le lien ci-dessous et laissez faire.

 

http://www.safeshare.tv/w/gdhRWNSrls

 

 

 

 

 

 

BIOGRAPHIE D’URSULA ANDRESS

L’actrice Ursula Andress, qui est née le 19 mars 1936 dans le canton de Berne, en Suisse, a marqué toute une génération, et bien d’autres, en incarnant une sensuelle James Bond girl dans le premier épisode de la saga, James Bond contre Dr No, sorti sur les écrans en 1962. Une scène devenue mythique qui l’a propulsée au rang de star internationale : en effet, lorsqu’elle sort de l’eau habillée d’un petit bikini blanc, Ursula ajoute immédiatement son nom à la liste des sex symbol. La comédienne incarne un fantasme, resté intact jusqu’à aujourd’hui, puisqu’en 2001, ce fameux maillot de bain deux pièces a été vendu aux enchères pour 35 000 livres sterling.

Mais avant de connaître la gloire et la notoriété, Ursula Andress fut d’abord une jeune femme au caractère bien trempé qui vivait en Suisse avec ses parents et ses cinq frères et soeurs. A 17 ans, elle quitte le nid familial et s’envole pour Rome au bras d’un acteur italien bien plus âgé qu’elle. Là-bas, elle commence à jouer la comédie dans quelques films où sa plastique prévaut sur un éventuel talent.

Mais sa non-carrière prend enfin de l’essor grâce à la rencontre improbable d’une haute figure du cinéma US : l’acteur Marlon Brando avec qui elle finit par entretenir une petite idylle. Ce dernier lui conseille vivement de tenter sa chance à Hollywood, aux Etats-Unis.

Après plusieurs entretiens, Ursula Andress signe à Londres, en Grande-Bretagne, un contrat avec les studios américains Columbia avant de prendre la direction du pays de l’Oncle Sam. Là-bas, elle fait la rencontre d’un autre comédien, devenu également une légende : l’acteur James Dean. L’histoire lui prête même une liaison avec le héros de La fureur de vivre. Puis, elle tombe amoureuse de l’acteur et réalisateur John Derek qu’elle épouse en 1957.

Alors qu’elle n’a pas encore tourné un seul film pour les studios Columbia, elle décide de racheter son contrat. Ursula Andress disparaît alors des plateaux de cinéma et ce jusqu’en 1962 où elle triomphe dans James Bond. Cette performance lui vaut même un Golden Globe, décerné en 1964.

Les sixties se révèlent florissantes pour l’actrice qui tourne dans une dizaine de productions : L’idole d’Acapulco (1963), Quoi de neuf Pussycat ? (1965) ou encore Casino Royal (1967).

Parallèlement à sa carrière professionnelle, Ursula qui parle couramment l’allemand, l’italien, le français et l’anglais (avec un fort accent), voit son mariage avec John Derek voler en éclat. Elle finit par divorcer en 1966. A la même époque, elle tourne aux côtés du comédien français Jean-Paul Belmondo dans Les tribulations d’un Chinois en Chine.

Dans les années 1970, Ursula Andress se fait plus rare à l’écran. Le public la retrouve notamment dans Safari Express (1976) et The Mountain of the Cannibal God (1979). Puis en 1981, elle partage l’affiche, du film culte Le choc des Titans, avec le nouvel homme de sa vie : l’acteur Harry Hamlin, de quinze ans son cadet. En 1980, le couple a accueilli un petit garçon, Dimitri. Deux ans plus tard, leur histoire d’amour prend fin. Ursula, elle, continue de travailler aussi bien pour le cinéma que pour la télévision. C’est ainsi qu’elle fait une apparition dans la série culte Manimal ou encore dans Pierre le Grand.

Ursula Andress, qui a célébré ses 70 ans en 2006, reste plus que jamais associée à la révolution sexuelle des années 1960 et à ce vent de liberté qui a balayé la société.
Filmographie :
2005 : Die Vogelpredigt de Clemens Klopfenstein
1997 : Cremaster 5 de Matthew Barney
1996 : Alles Gelogen
1993-1994 : La caverne de la Rose d’or (TV)
1992 : Hola Raffaella (TV)
1989 : The Dame Edna Experience (TV)
1989 :Man against the mob : The chinatown murders (TV)
1988 : Klassäzämekunft de Walter Deuber
1987-1988 : Falcon Crest (TV)
1986 : Pierre le Grand (TV)
1985 : Liberté, égalité, choucroute de Jean Yanne
1983 : Manimal (TV)
1982 : Krasnye Kolokola de Sergei Bondarchuk
1981 : Le choc des Titans de Desmond Davis
1979 : The fifth Musketeer de Ken Annakin
1978 : Double Murders de Steno
1978 : The mountain of the Cannibal God de Sergio Martino
1976 : Sex with a smile de Sergio Martino
1976 : Safari Express de Duccio Tessari
1975 : Le avventure e gli amori di Scaramouche de Enzo G. Castellari
1975 : Africa Express de Michele Lupo
1975 : L’infermiera de Nello Rossati
1974 : Colpo in canna de Fernando Di Leo
1973 : L’ultima chance Maurizio Lucidi
1972 : Five against Capricorn
1971 : Soleil Rouge de Terence Young
1970 : Perfect Friday de Peter Hall
1969 : The southern star de Sidney Hayers
1968 : La dolce signore de Luigi Zampa
1967 : Casino Royale de Val Guest
1966 : Once before I die de John Derek
1966 : The blue Max de John Guillermin
1965 : La decima vittima d’Elio Petri
1965 : Les tribulations d’un Chinois en Chine de Philippe de Broca
1965 : Quoi de neuf, Pussycat ? de Clive Donner
1965 : She de Robert Day
1965 : Nightmare in the Sun de John Derek
1963 : 4 for Texas de Robert Aldrich
1963 : Fun in Acapulco de Richard Thorpe
1962 : James Bond 007 contre Dr No de Terence Young
1955 : Le avventure di Giacomo Casanova de Steno
1955 : La catena dell’odio de Piero Costa
1954 : Un Americano a Roma de Steno